Setu penaos e vez graet gant an dud a c'houlenn en un doare nann feuls ur plas evit ar brezhoneg e ti post Gwengamp. Pet gwech e vo ret stourm c'hoazh a-raok kaout ur respont speredek, simpl hag a glot gant goulenn an dud ?
Evit gouzout hiroc'h: (voir le site)
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Ar pep glac'harusañ en darvoud-se eo e vez archerion vrezhoneger, a-du gant an divyezhegezh, rediet d'ober o reuz abalamour d'ar Stad e labouront eviti...
Ai'ta a ya war greñvaat ha gwell-a-se ma vez tapet e berzhidi gant pennoù-o-zok. Er mod-se e weler penaos ez int gwir stourmerion disentus en un doare sioul ha seder.
Dewi, ar paotr zo bet tapet, zo un den-tre, war kement a dachenn a ve e brezhoneg. A galon gantañ !
Euh : rassurez-moi : c'était du second degré ce que vous avez écrit ?
Parce que je me permet de rappeler qu'en terme de dégradations à Guingamp ce sont les (certains) agriculteurs / éleveurs qui ont le plus lourd passif : la gare avait été complètement vandalisée.
Et là : le procureur peureux n'a même pas engagé de poursuites.
Aïta ne pose que des autocollants me semble-t-il.
N'oublions pas qu'en Bretagne et en France,les Gendarmes sont aux ordres des préfets et non des élus du peuple.
Comment s'en étonner, quand les 2 principaux candidats à la Présidence française vous déclare la suprématie de la Langue Française, sur les autres langues!
L'Europe a honte de la France et cela se comprend!
N'oublions pas que la France est le seul pays d'Europe, à refuser la ratification d'un certain nombre de textes sur les droits de l'homme et sur les droits de l'enfant.
Tout mon soutien, à ce jeune militant courageux!
Vous vous méprenez, Monsieur Carreta!
En Bretagne que cela vous plaise ou pas il existe 2 langues nationales : le Français et le Breton.
Quant à votre source, Le Figaro, c'est sûr qu'avec des sources aussi tendancieuses que les quotidiens parisiens, on risque de ne pas aller bien loin.
Avez-vous envisagé une fois dans votre vie que ce qui se passe en France fait figure d'exception! Pour s'en apercevoir, il suffit de sortir du pré carré de France et de voyager (pas loin en europe, donc à côté). vous y verrez que le concept de langue nationale est différente et que plusieurs langues peuvent cohabiter ensemble. Il n'y a qu'en France que cela pose problème ! C'est bizarre vous ne trouvez pas ! N'allez pas me dire comme réponse que la France est le modèle pour le Monde, j'en connais déjà quelques uns qui vont s'exclafer !! L'arrogance de France quand tu nous tiens...
Avant de dire des bêtisses aussi monumentales, il faut connaître un minimum le sujet.
Si le premier dictionnaire de breton date du XVème siècle, il est plus que raisonnable de penser que le breton écrit a été parlé naturellement par un nombre relativement IMPORTANT de bretons!
Vous confondez breton unifié et breton. Dans ce cas, la langue allemande (unifié au 19ème siècle) ne devrait pas exister!
Par la répression français, la langue n'a pas pu ête unifié au 19ème siècle, comme se fut le cas pour la majorité des langues européennes. Elle le fut au 20 ème siècle...!
Et que dire du français, dont la version actuelle est construction de l'accadémie française!
Vous avez raison de lire les articles internets d'un journal français... !
Tous le monde sait que les français connaissent mieux la langue bretonne que les bretons, d'ailleurs ils connaissent tout mieux que les autres! (Sauf l'application des droits de l'homme)
Et vous parlez de voyou, de vandale, de dégradations alors que tous les jours la Police a pour instruction de ne pas accomplir son travail dans certains quartiers sinistrés de peur d'une jacquerie fausse les statistiques de l'insécurité si chères à nos gouvernants actuels. Parlez-en à des Policiers, monsieur, et vous seriez surpris. Car la Police, c'est autre chose que ce que l'on en dit lors d'un meeting de l'UMP, voyez-vous. Vous seriez surpris de connaître l'avis de certains d'entre eux sur l'interpellation de ce pauvre gars.
Comme c'est plus facile de s'en prendre à la langue bretonne, M. Mariani. Mais l'énergumène, c'est bien vous. Car vous êtes autiste en plus d'être méprisant. Vous n'avez rien compris. Mais votre mépris, bien que provocateur (je ne suis pas dupe) nourrit la colère et le ressentiment de militants, dont je ne fais pas partie, mais dont l'action sympathique est bien souvent comprise voire soutenue par la population et
surtout, ne vous en déplaise, parfaitement légitime.
@Caretta«le français, c'est la langue parlée par tous et la langue maternelle de la quasi-totalité de la population». Sans rire ? Mais le bilinguisme vous connaissez ? Plus de 70% de la population mondiale parle au moins deux langues au quotidien. Laquelle des deux est leur langue maternelle ? Belle affaire, n'est ce pas ? Je sens que le sujet vous passionne. Si vous pouviez néanmoins cesser de bailler.
Mes parents, bretonnants de naissance et bien vivants, lisent par ailleurs le breton sans grande difficulté. Vous affirmations sur un sujet que vous ne maîtrisez pas font donc de vous un révisioniste pitoyable et porteur d'un casque à pointe ridicule modèle IIIème Republique. Vous êtes vieux, démodé, déjà en état de mort cérébrale. Car la pointe de votre casque a trop profondément pénétré votre cerveau, et vous n'êtes plus capable que de marcher au pas de l'oie en récitant votre catéchisme républicain d'un autre âge, pauvre hère dans un monde qui n'est désormais plus le vôtre. Je suis triste pour vous.
À Yann LeBleiz : le breton du XVème siècle n'est pas le breton écrit actuel. Et ce dernier n'est qu'une synthèse de quatre parlers qui étaient eux bien vivants, dont le particulier vannetais, sensiblement différent des trois autres. L'allemand, l'italien ou le français ne sont pas du tout dans ce cas de figure. C'étaient des langues vivantes localisées dans une région mais qui ont ensuite été diffusées sur un territoire plus vaste pour des besoins de compréhension mutuelle et d'unité politique.
À H. Callaghan : le bilinguisme, je connais très bien, merci. Je parle moi-même plusieurs langues et mon fils est dans une école maternelle bilingue. Ceci dit, le breton n'a plus aucune utilité pratique ou économique et même en Bretagne, si les parents avaient le choix, beaucoup choisiraient le bilinguisme français-anglais pour leurs enfants.
Avec ce genre d'argument, vous pouvez facilement vous passer d'au moins 95% des langues sur cette planète. Un beau progrès, certainement, l'humanité s'en trouvera parfaitement enrichie.
Vous me rajouterez quelques centaines d'espèces animales et végétales pour faire le compte. Et on va bétonner le littoral, parce que tout cet espace libre n'est pas bien «rentable», finalement, même si c'est joli. Les gens qui y vivent ? Ces ploucs dégageront le terrain pour la banlieue parisienne.
Votre raisonnement sur le breton me fait finalement penser à celui porté par les Nazis sur les Tsiganes, catalogués comme «criminels irrécupérables, asociaux et fainéants», également bon pour le grand saut, comme le brezhoneg, finalement : «pas utile». Bravo ! Au four !
Je ne crois en tout cas pas que vous ayez compris le réel intérêt du bilinguisme, car si je vous suis, vous devriez vous limiter à la seule langue réellement économiquement rentable, l'Anglais, que tout le monde baragouine de Brest à New York, arabe et chinois compris. Pourquoi s'emmerder à apprendre un autre langage ? Let's begin with the French one !
Malgré une scolarité assez courte, j'ai appris, au collège et au lycée: l'Anglais, l'Espagnol et l'Allemand. 16/20 au bac. Pour les trois. Pas mal, quand même ! Et après ? Rien. Aucune ne m'a réellement servi, et certainement pas les deux dernières. Conclusion : 3 langues inutiles à éliminer ? Non, certes, je ne goûte pas à votre logique. Seulement, j'aurais du apprendre le breton, la seule langue qui aurait pu m'être utile dans mon environnement immédiat. Voilà. Utilité, le mot est prononcé.
Heureusement que je n'avais pas pris le latin ou le grec ancien, parce que là, niveau utilité... Ave Caesar, morituri te salutan ! Quant au français, bien que n'ayant pas perdu mon temps à apprendre des patois inutiles, je fais toujours autant de fautes d'orthographe.
D'ailleurs, pour tout vous dire, nous même nous ne servons en réalité à rien : quel intérêt de passer son temps sur le net à essayer de convaincre quelqu'un qui ne changera pas d'avis ? Cela n'est pas rentable, c'est absolument économiquement inutile.
Je vous propose donc que nous nous suicidions. Moi, j'ai déjà commencé, un suicide lent, pour tout vous dire, celui d'un être déculturé qui n'a jamais trouvé sa place dans une société française qui ne lui correspond définitivement pas. Apprendre le breton m'aurait peut-être aidé à me situer un peu plus dans mon environnement, mais cela n'était pas rentable... à court terme.
Résultat ? Pas «un bon français» en tout cas. Et vous savez le pire ? Je me suis reproduit ! Et oui, la stérilisation n'est pas encore obligatoire pour les gens comme moi. Je vais scolariser mes enfants à DIWAN. Pour toutes la raisons soit disant «non rentables» que je viens d'exposer.
Le moderateur a decide que je m'appelais desormais CAMARE ???? j'obeis , mais mon nom sur mes papiers d'identite est CAMARET avec un T
Enfin, il est évident qu'en France, la langue indispensable est le français, bien avant l'anglais, l'allemand ou le chinois. C'est bien pour cela que tous les étrangers qui viennent travailler en France apprennent d'abord notre langue. Je rappelle également que les documents de travail doivent tous légalement être disponibles en français, y compris les logiciels. Et des entreprises ont été lourdement sanctionnées ces dernières années pour usage illégal de l'anglais. Par exemple, la société américaine GEMS a été condamnée à 570.000 euros d'amende pour avoir refusé de traduire en français ses documents de travail :
Voir le site
De même pour les sociétés Europ Assistance et Nextiraone, qui voulaient imposer à leurs salariés français des logiciels en anglais sans traduction :
Voir le site
Utilité économique : progression du chiffre d'affaire de 30 % grace à la seule niche bretonnante.
Et Paf !
Vous êtes complètement déconnecté du terrain, ça se voit à vos propos pseudo-experts !
A wir galon
De même, concernant la question que vous posez à la fin de votre article, oui, le français est bien sûr devenu une langue africaine car de plus en plus d'Africains l'ont pour langue maternelle. Au Gabon, par exemple, 30 % des Librevillois l'ont pour langue maternelle et il est de plus en plus perçu comme une langue gabonaise :
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Le phénomène concerne d'ailleurs quasiment tous les pays francophones d'Afrique. Le français y progresse en tant que langue seconde mais aussi en tant que langue maternelle. Sur ce continent, avec l'explosion démographique, le français gagne des millions de locuteurs chaque année. Et on prévoit ainsi 700 millions de francophones dans le monde en 2050, dont 85% seront Africains :
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Certainement pas car comme je l'ai mentionné plus haut, ce qui se passe en France n'est nullement une exception en Europe. À part en Catalogne, toutes les langues régionales disparaissent sous le poids des langues nationales. Même des langues qui ont été officialisées comme l'irlandais.
Voilà pourquoi nous demandons la même chose pour le breton. Sans statut public, le français comme n'importe quelle langue est vouée à décliner.
Les vrais voyous sont les flics ripoux qui revendent de la coke saisie par la BAC, les politiciens véreux qui vont voir les putes avec l'argent des comités d'entreprises, les dealeurs et les racketteurs qui tabassent sans raison les enfants des «sous-chiens» à la sortie des écoles. Les voyous sont ceux qui brûlent des voitures en guise de feux de la saint Jean (ce qui au passage n'est pas très écologique). Sans oublier les journalistes drogués et vulgaires qui gagnent 20000 € par mois et donnent des leçons de morale aux ploucs, les juges qui lâchent dans la nature des pédophiles notoires, les flics qui préfèrent verbaliser un bourgeois pour avoir roulé 55 au lieu de 50 au lieu de courir après un racketteur pour ne pas «provoquer de bavure». La liste est encore longue, je continue? Nous vivons dans un pays où un juge insulte au cours d'une audience un breton quand il parle sa langue, et écoute débonnairement les «chances pour la France» lorsqu'elles viennent déposer dans des jargons inconnues.
Bienvenue en France, un pays britophobe et pègrophile.
Vous me rappelez un certain Michel Vernet avec lequel j'ai eu l'occasion d'échanger sur le sujet. cf le fil ci-joint : Voir le site
vous y verrez que ses arguments tout comme les vôtres sont pompeux ou pire témoignent d'une arrogance caractéristique franco-franchouillarde! Même nos amis les Belges et Suisses d'expression française sont contre cela, c'est vous dire !
C'est d'ailleurs à cause de cette arrogance que je suis pour plus d'Europe, du moment que cela peut rabaisser le caquet des ses caciques franchouillards qui se prétendent être la lumière du monde civilisé.
A mon avis et au vue de la situation politique française actuelle, cela risque d'arriver plus vite qu'on le croit et je pense que vous risquez bientôt de vous mordre les doigts quand vous réaliserez que votre certitude va voler en éclat...
Avant d'asséner des arguments vides de sens ou infondés, il serait bon de lire ceci :
Voir le site
Gilbert Dalgalian : quelles perspectives pour les langues de France ?
Une politique linguistique digne de ce nom permettra au breton d'atteindre le niveau du basque ou du catalan, même si ça prendra du temps.
Et cette politique commence à se mettre en place, et on fera ce qui est necessaire pour qu'elle soit développée dans toute son ampleur, ce n'est qu'une question de temps.
Si le fils de Monsieur Carreta est dans une «école maternelle bilingue» (quel type d'école ? Quel bilinguisme ?) de quoi se plaint-il ? Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes !
1 - Vous n'avez pas répondu : en quel classe bilingue est votre fils ? anglais-français ?
2 - Quel est votre objectif en postant ici ?
Il y voit une supériorité «naturelle» et «évidente» de sa langue de sa culture, et cela le flatte.
Et puis, quand les peuples qu'il se félicite de détruire se mettre à reprendre courage et redressent la tête, il se met à crier au «communautarisme».
A ce moment là, c'est la peur qui prend le dessus, il se sent «attaqué» dans son identité par l'incompréhension que sa culture «supérieure» ne soit pas un modèle d'admiration infinie.
Le monde s'effrondre, et bien sûr, c'est la faute de l'autre, celui qui lui retire sa misérable satisfaction qui nourir son complexe de supériorité!
Une vision infinie de la misère intellectuelle, dans laquelle certains hommes s'enfoncent, et donc l'Etat Français a fait son fond de commerce!
On fête ces jours-ci, les 50 ans de l'indépendance Algérienne, mais on le voit, la France n'a toujours pas compris qu'un Algérien est pu refuser d'être un Français!
En 1956, même incompréhension quand les Allemands en Sarre, on prétendu par référendum ne pas être Français!
M.Carreta, votre «union» politique qui résonne comme domination... Algériens, Allemands, Vietnamiens, Bretons, on s'en f., surtout avec des personnes comme vous!
Il y a mieux à faire!
Je cite : « Selon le cabinet du ministre burundais des Relations Extérieures et de la Coopération Internationale, Laurent Kavakure, cette rencontre devrait « contribuer à faire du Burundi un rayonnement régional et sous-régional pour le français ». »
Ensuite, écrire que le français régresse dans le monde est encore une fois absurde. Il n'a au contraire cessé de progresser ces dernières décennies en nombre de locuteurs et progressera encore fortement à l'avenir. Lisez le petit paragraphe suivant, tiré de Wikipédia, que j'ai déjà envoyé et que vous n'avez pas lu :
Voir le site
Quant à l'Europe, le français y progressera certainement aussi vu que, selon l’institut IW de Cologne, la France supplantera l’Allemagne sur le plan économique au plus tard en 2035, grâce à sa croissance démographique. Cette enquête montre également que la population française devrait atteindre la barre des 78,9 millions d'habitants à l'horizon 2050 alors que celle de l'Allemagne ne dépassera pas 71,4 millions d'habitants :
Voir le site
Enfin, vous écrivez que vous ne vivez pas de liens mais vous n'étayez aucun de vos arguments ! Comment voulez-vous donc être crédible ? Concernant le français dans le monde, vous ne citez que deux ou trois anecdotes et en tirez des conclusions générales. C'est ridicule. Faites une analyse sérieuse du sujet et étayez un peu vos arguments. Vous y gagnerez en crédibilité.
>1 - Vous n'avez pas répondu : en quel classe bilingue est votre fils ? anglais-français ?
Non. Français - une autre langue européenne. Il est maintenant à l'école élémentaire et il y a un jour l'enseignement en français, l'autre l'enseignement dans l'autre langue.
>2 - Quel est votre objectif en postant ici ?
Débattre, tout simplement. Courtoisement.
Nous pouvons comparer les taux de croissance des pays d'afrique anglophone à ceux rencontrés dans les pays d'afrique anglophone ou lusophone, la situation economique dans les Flandres à celle en Wallonie, celle de la Dominicaine par rapport à Haiti, etc.
En ce qui concerne le développement humain, sept des dix pays les plus mal classés (sur 187) par le Programme des Nations unies pour le développement sont des États africains francophones.
«Jeune Afrique» a bien expliqué pourquoi dans son numéro de janvier:
Voir le site
Le francais devient de plus en plus la langue des plus demunis et ne donne plus envie d'etre appris ni en Afrique ni dans les pays développés.
Place aux langues locales (chez nous le breton) et à l'anglais.
1 - Pourquoi ne pas préciser quelle langue ? français-allemand ? espagnol ? suédois ?
Et où ? A Perpignan ? A Paris ?
Et quelles sont vos origines ?
2 - Votre objectif est de prouver quelque chose. Qu'est-ce que vous voulez prouver et dans quel but ?
3 - Quel lien avez vous avec la Bretagne et que connaissez-vous de la culture bretonne ? Apparemment, rien.
Je cite : « À partir de l'année scolaire 2003/04, les langues étrangères sont enseignées dans toutes le écoles primaires, et ce dès le CP. Dans les secteurs proches de la frontière française (i.e. de Weil à Karlsruhe), la langue ainsi enseignée est le français, dans les autres l'anglais. Avec l'enseignement du français dans le Rhin Supérieur, le Bade-Wurtemberg répond à l'enseignement, déjà plus largement établi, de l'allemand en Alsace. »
Oui, c'est sûr ! Lorsque j'écris des choses justes sur la Bretagne et le breton, voyez comme on me tombe dessus avec des messages on ne peut plus désagréables. Aucun argument, que des invectives !
« Deux de ses grands pays, la RDC et la Côte d’Ivoire, ont connu au cours de la dernière décennie des troubles majeurs qui ont affecté le développement de toute la zone, alors que celle-ci avait connu depuis les indépendances une progression comparable à celle des pays anglophones. »
Ceci dit, l'Afrique dans son ensemble va fortement se développer dans les décennies qui viennent. Et parmi les quatre premières puissances africaines, deux sont actuellement francophones : l'Algérie et le Maroc.
vous croyez réellement ce que vous écrivez. Avez-vous déjà été dans les pays que vous citez ? Vu ce que vous écrivez, à mon avis non. Car si cela avait été le cas, votre discours aurait changé. Mais je ne vous en veux pas bien au contraire. Vous représentez le parfait petit soldat de la FRANCE actuelle. Pas de chance pour vous, car votre FRANCE est de plus en plus dans une impasse et cela vous ne voulez pas le voir. Votre idéologie de la France arrogante va sombrer dans les poubelles de l'histoire comme le communiste avant, idéologie petite soeur de la révolution française...
Je vous plains
Si vous voulez, je peux vous sortir une batterie d'argumentaires bétons qui iront contredire tout ce que vous dites...
Ken ar wech all (excusez moi je salue avec une langue interdite!)
Pour se faire une idée sur la langue bretonne, il lit le FIGARO!
Wouah! Ca, c'est de la référence!
Pour sa domination de la France sur l'Allemagne...
Sauf que à ce moment là, la France ce sera SANS la Bretagne, probablement sans l'Alsace, sans le Pays Basque, sans la Corse, problablement sans la Savoie, et très certainement sans la Catalogne, possiblement sans la Frandre.
Cela fera combien de millions de personnes qui ne voudront plus du projet France de M.Carreta!
Non seulement je le crois mais je l'étaie ! Pas comme ces intervenants qui vocifèrent sans rien étayer.
>Si vous voulez, je peux vous sortir une batterie d'argumentaires bétons qui iront contredire tout ce que vous dites...
Je vous en prie, faites. Pour le moment, le moins que l'on puisse dire est que les intervenants sur ce forum n'ont que très peu contredit mes affirmations, sauf par des idées reçues fausses, sans aucune source. Je résume les arguments que j'ai présentés :
1) Il est faux d'écrire que le breton serait la « langue nationale bretonne ». C'est le français qui joue aujourd'hui ce rôle. C'est lui qui fait le lien entre tous les Bretons, en étant parlé par tous et en étant la langue maternelle de la quasi-totalité de la population. 7% de la population parle le breton, 100% le français !
2) Ce qui se passe en France n'est nullement une exception en Europe ou dans le monde. Dans la quasi-totalité des pays du monde, les langues régionales
disparaissent sous le poids des langues nationales. Et les linguistes s'alarment de cette assimilation généralisée.
3) L'évolution du français est largement positive dans le monde. Contrairement à d'autres langues qui sont elles réellement en déclin : le russe, l'allemand, l'italien ou le japonais, rongés par le déclin démographique.
Pourquoi vous ne répondez pas à mes questions ? Elles sont pourtant simples !
Je me permets de ne pas répondre à celles qui concernent ma vie privée. Mes origines ou mon lieu de résidence ne concernent que moi et n'apportent d'ailleurs rien au débat.
2) Ce qui se passe en France n'est nullement une exception en Europe ou dans le monde. Dans la quasi-totalité des pays du monde, les langues régionales disparaissent sous le poids des langues nationales. Et les linguistes s'alarment de cette assimilation généralisée.
Oui et non. Oui dans le cas (exemple de la France) où le gouvernement central s’oppose à toute reconnaissance ou ne fait rien pour améliorer la situation. Non si d’une part la langue minoritaire a conservé un intérêt pour la population ou si elle bénéficie d’une zone géographique plus importante que celle qu’elle peut avoir dans le pays en question (cf. le basque et le catalan en France qui faute de reconnaissance sont oubliées en France mais en pleine forme à côté.
Enfin, non encore dans le cas où vous avez une volonté politique pour faire revivre (ou repratiquer) la langue. Prenez l’exemple de l’hébreu en Israël, l’exemple du gallois en Pays de Galle, du flamand en Flandres belges. Généralement dans ces cas, les gens se remettent à pratiquer leur langue car il s’agit pour eux d’un facteur de différenciation par rapport à la majorité d’à côté. Des exemples comme ceux-là fleurissent dans le monde et cela embête bien les tenants de « Ein Volk, Ein Reich, Ein… (je vous laisse le soin de compléter) ou plus pompeusement les états nations monolingues officiels. (Bien sûr toute coïncidence avec la France n’est pas le fruit du hasard…)
Pour le cas de la Bretagne, certes ce pays a subi une baisse drastique du nombre de ces locuteurs après la 2ème guerre mondiale à cause de la volonté de la France d’avoir comme seule langue sur tout le territoire français et non un plurilinguisme. Cela marchait quand les Bretons s’identifiaient d’abord comme français et accessoirement breton. Le problème c’est que cela est de moins en moins vrai et le sera de moins en moins…
3) L'évolution du français est largement positive dans le monde. Contrairement à d'autres langues qui sont elles réellement en déclin : le russe, l'allemand, l'italien ou le japonais, rongés par le déclin démographique.
Faux pour ce qui est de l’adjectif « largement ». L’évolution du français est positive uniquement par la poussée démographique en Afrique francophone. Et encore on pourra disserter longtemps sur la véritable influence du français dans cette région. (Tout n’est pas rose, loin de là…) Ailleurs dans le monde on assiste plutôt à une perte d’influence. (Pour plus d’info, je vous réinvite à lire le fil que je vous ai déjà transmis) Cela tout comme vous me désole parce que bien sûr je suis francophone mais cela ne me chagrine pas du tout car si cela permet à la France et à son arrogance d’être ridicules partout, alors là je suis content.
Enfin plus j’écris plus vous
Ces questions n'ont rien de privées. mélenchon est d'origine espagnol, Eva Joly d'origine norvégienne.
1 - Quelle type de classe bilingue ? français-allemand, espagnol ?
Et où ? Vous pouvez donné un ordre d'idée, est de la france, sud de la france, frontière avec l'allemagne, l'Italie, ...
2 - Votre objectif est de prouver quelque chose. Qu'est-ce que vous voulez prouver et dans quel but ?
Ce n'est en rien une question privée.
3 - Quel lien avez vous avec la Bretagne et que connaissez-vous de la culture bretonne ?
Ce n'est pas particulièreemnt non plus une question privée.
On continue ?
Moi, j'estime que c'est privé. Et j'ai le droit de le garder pour moi. De plus, je ne vois pas du tout en quoi cela fait avancer le débat.
>2 - Votre objectif est de prouver quelque chose. Qu'est-ce que vous voulez prouver et dans quel but ?
J'ai déjà répondu. Je ne souhaite que débattre. Comme les autres intervenants, je pense. Du moins ceux qui ne vociférent pas pour ne rien dire.
>3 - Quel lien avez vous avec la Bretagne et que connaissez-vous de la culture bretonne ?
Je m'intéresse surtout à l'aspect linguistique.
À Ar Vran :
>Au moins vous reconnaissez indirectement que la Bretagne forme une nation, un bon point !
Je n'ai jamais écrit cela. Les Bretons font bien sûr partie du peuple français, tout comme les Franc-Comtois ou les Aquitains. La meilleure preuve est que les velléités d'indépendance sont très faibles en Bretagne.
>Sachez d'autre part que le breton est pratiqué dans toute la Bretagne même dans les zones qui n'étaient pas historiquement bretonnantes.
Cette phrase fait quand même un peu sourire car dans l'est de la Bretagne, qui n'a historiquement jamais été bretonnante, les locuteurs du breton sont presque inexistants. Voir la carte suivante :
Voir le site
>vous pouvez lire la presse en breton, lire des livres, regarder la télé en breton, écouter la radio en Breton.
Mais à quoi sert donc tout cela si presque tout le monde a le français pour langue maternelle ? Oui, les Bretons lisent des livres, lisent la presse, écoutent la radio ou regardent la télé mais ils font tout cela dans leur langue : le français.
>Si vous avez du mal à comprendre, prenez l’exemple de l’Irlande où le gaélique irlandais est une langue nationale ayant le statut officiel même s’il n’est que très peu parlé.
Le problème, c'est que, dans vos propos, vous n'évoquez jamais le français, qui est pourtant la véritable langue de la Bretagne. Même chose pour les autres intervenants. Il faut quand même signaler que l'emploi du breton est extrêmement minoritaire en Bretagne, même en Bretagne bretonnante. Alors que les parlers bretons à l'ouest de la Bretagne étaient vivaces au XIXème siècle, les choses ont radicalement changé depuis. C'est le français qui est devenu sans conteste la langue de toute la société bretonne. Le breton écrit, en plus d'être différent des parlers réellement usités, n'est aucunement la langue naturelle des Bretons de l'ouest. Et cette réalité est irréversible. Car ces derniers n'abandonneront pas le français pour un parler dont le poids géopolitique est très faible (le breton a une extension géographique très restreinte et un nombre de locuteurs réduit).
>cf. le basque et le catalan en France qui faute de reconnaissance sont oubliées en France mais en pleine forme à côté.
En pleine forme, cela fait un peu sourire en ce qui concerne le basque car celui-ci reste minoritairement parlé dans la province. De plus, il est indéniable que l'assimilation des langues minoritaires aux langues nationales est un phénomène mondial, qui a lieu dans quasiment tous les pays du monde. D'où les cris d'alarme largement médiatisés des linguistes, qui estiment que 90% des langues du monde risquent de disparaître avant la fin du siècle. La Catalogne est une exception car elle a réussi à sauver sa langue mais en luttant sans concession contre la domination du castillan, presque traité maintenant comme une langue étrangère.
>Cela marchait quand les Bretons s’identifiaient d’abord comme français et accessoirement breton. Le problème c’est que cela est de moins en moins vrai et le sera de moins en moins...
Je ne crois pas du tout à cette dernière affirmation. Même si on peut légitimement éprouver une attache à sa région (et cela ne se limite pas à la Bretagne, la Corse ou l'Alsace), le fait français est maintenant profondément enraciné dans toutes les régions de France. Entre autres du fait que presque tout le monde a le français pour langue maternelle. Et, dans ce cas-là, la différenciation ne joue plus. Même si les Franc-Comtois aiment bien leur région, ils n'en demeurent pas moins profondément français et ne rêvent nullement à l'indépendance de leur région. Même chose pour la Bretagne. Les Bretons ne sont absolument pas favorables à une hypothétique indépendance, qui ne leur apporterait d'ailleurs rien du tout.
>L’évolution du français est positive uniquement par la poussée démographique en Afrique francophone.
Bien sûr mais c'est déjà énorme ! Sur les autres continents, par exemple en Europe, les effectifs augmentent aussi mais moins spectaculairement qu'en Afrique.
>Ailleurs dans le monde on assiste plutôt à une perte d’influence.
C'est très discutable. Si l'enseignement du français a régressé en Europe (entre autres car le Royaume-Uni a décidé de rendre l'apprentissage d'une langue étrangère facultatif), il a progressé au Moyen-Orient (+13 %), ainsi qu'en Asie et en Océanie (+6 %) au cours des trois dernières années. Et, comme je l'ai écrit précédemment, la tendance reste largement positive. La population francophone est en croissance constante et le français pourrait même à la fin du siècle dépasser toutes les langues (sauf l'anglais) en terme de nombre de locuteurs, comme le montre le graphique coloré suivant :
Voir le site
Bonjour M. si vous croyez que j'allais vous abandonner comme cela et vous donner le sentiment que vous aviez gagné, cela est peine perdu. (Les bretons sont penn kalet !!)
J'espère que vous avez pu donner votre «contribution» à ABP qui vous permettra de remettre en cause vos certitudes ainsi qu'à vos «collègues» petits soldats de la France coloniale, puissance civilisatrice phare de la lumière du monde.
Par conséquent, dans mon prochain commentaire, vous verrez mes réponses (en lettres majuscules)
A bientôt
>Au moins vous reconnaissez indirectement que la Bretagne forme une nation, un bon point !
Je n'ai jamais écrit cela. [CERTES MAIS QUAND VOUS ECRIVEZ « IL EST FAUX D'ECRIRE QUE LE BRETON SERAIT LA « LANGUE NATIONALE BRETONNE »., CELA PEUT VOULOIR DIRE IMPLICITEMENT QUE LA BRETAGNE FORME UNE NATION ! SI VOUS OSEZ CONTREDIRE CELA, REVISEZ ALORS VOTRE FRANÇAIS CAR VOUS VOUS EXPRIMEZ MAL !)
Les Bretons font bien sûr partie du peuple français, tout comme les Franc-Comtois ou les Aquitains. La meilleure preuve est que les velléités d'indépendance sont très faibles en Bretagne.
[C’EST BIZARRE VOUS NE CITEZ COMME EXEMPLE QUE DES HABITANTS DE REGIONS FRANÇAISES QUI SE DEFINISSENT DE CULTURE FRANÇAISE, POURQUOI NE PAS AVOIR CHOISI LES ALSACIENS, LES CORSES, LES BASQUES, LES SAVOYARDS, ETC. AURIEZ-VOUS PEUR DE QUELQUE CHOSE ?]
[QUI VOUS A PARLE D’INDEPENDANCE ? NE PRENEZ PAS VOS DESIRS OU VOS LUBIES POUR DES REALITES. AVEZ-VOUS DEJA ENTENDU OU COMPRIS LES TERMES D’AUTONOMIE, DE REGIONALISATION POUSSEE, DE FEDERALISME VOIRE MAINTENANT DE « DEVOLUTION » ? IL Y A UN CHEMIN ENTRE L’INDEPENDANCE QUE VOUS SEMBLEZ CRAINDRE ET D’AUTRES ORGANISATIONS TERRITORIALES. SOYEZ OUVERT ET REGARDEZ CE QUI SE PASSE AILLEURS QU’EN FRANCE !]
>Sachez d'autre part que le breton est pratiqué dans toute la Bretagne même dans les zones qui n'étaient pas historiquement bretonnantes.
Cette phrase fait quand même un peu sourire car dans l'est de la Bretagne, qui n'a historiquement jamais été bretonnante, les locuteurs du breton sont presque inexistants. Voir la carte suivante : [ Voir le site ]:Distribution_relative_des_brittophones_en_2004.png
[M. CARRETA, J’AI ECRIT QU’IL NE FALLAIT PAS CONFONDRE « NOMBRE DE LOCUTEURS MAIS DISPONIBILITE». UNE LANGUE NATIONALE N’A RIEN A VOIR AVEC UN STATUT OFFICIEL, NUANCE ! » A LA LECTURE DE CE QUE VOUS ECRIVEZ, JE CRAINS QUE VOUS RETOMBIEZ DANS CETTE CONFUSION ! QUE CELA VOUS DEPLAISE C’EST UN FAIT MAIS NE SOYEZ PAS OBNUBILE. J’AI BIEN UTILISE LE TERME DE « PRATIQUE » ET NON « PARLE », NUANCE,…]
>vous pouvez lire la presse en breton, lire des livres, regarder la télé en breton, écouter la radio en Breton.
Mais à quoi sert donc tout cela si presque tout le monde a le français pour langue maternelle ? Oui, les Bretons lisent des livres, lisent la presse, écoutent la radio ou regardent la télé mais ils font tout cela dans leur langue : le français.
[VOUS AVEZ RAISON SAUF QUE VOUS OUBLIEZ UN DETAIL QUI A SON IMPORTANCE : LES BRETONS PEUVENT LE FAIRE EGALEMENT EN BRETON !!!! ET CELA A COTE DU FRANÇAIS. C’EST JUSTEMENT CELA QUI VOUS DERANGE. SI JE PRENDS MON EXEMPLE, JE LIS ET PRATIQUE BIEN SUR LE FRANÇAIS MAIS A COTE D’AUTRES LANGUES QUI SONT LE BRETON ET L’ANGLAIS. QUAND JE LIS EN BRETON OU EN ANGLAIS, JE NE ME FOUETTE PAS POUR AUTANT ! C’EST CE QUE L’ON APPELLE LE MULTICULTURALISME.]
>Si vous avez du mal à comprendre, prenez l’exemple de l’Irlande où le gaélique irlandais est une langue nationale ayant le statut officiel même s’il n’est que très peu parlé.
Le problème, c'est que, dans vos propos, vous n'évoquez jamais le français, qui est pourtant la véritable langue de la Bretagne. Même chose pour les autres intervenants. [BIEN SUR PUISQUE LE DEBAT PORTE SUR LA LANGUE BRETONNE, MAIS SI VOUS VOULEZ ABSOLUMENT PARLER DU FRANÇAIS, JE POURRAIS VOUS CITER LE FRANÇAIS AUX ETATS-UNIS OU EN INDOCHINE, PAR EXEMPLE…]
Il faut quand même signaler que l'emploi du breton est extrêmement minoritaire en Bretagne, même en Bretagne bretonnante. Alors que les parlers bretons à l'ouest de la Bretagne étaient vivaces au XIXème siècle, les choses ont radicalement changé depuis. [ET ALORS ?]
C'est le français qui est devenu sans conteste la langue de toute la société bretonne. Le breton écrit, en plus d'être différent des parlers réellement usités, n'est aucunement la langue naturelle des Bretons de l'ouest. Et cette réalité est irréversible. Car ces derniers n'abandonneront pas le français pour un parler dont le poids géopolitique est très faible (le breton a une extension géographique très restreinte et un nombre de locuteurs réduit). [CELA EST FAUX : QUI VOUS A PARLE QUE LES BRETONS VOULAIENT ABANDONNER LE FRANÇAIS POUR LE BRETON, VOUS PRENEZ ENCORE UNE FOIS VOS LUBIES POUR DES REALITES ! ENCORE UNE FOIS CE N’EST PAS PARCE QUE JE PARLE FRANÇAIS QUE CELA M’INTERDISE DE PARLER UNE AUTRE LANGUE,, VOIRE DE PREFERER PARLER AVEC D’AUTRES UNE AUTRE LANGUE QUE LE FRANÇAIS ! QUANT A VOTRE NOTION D’IRREVERSIBILITE, JE PENSE QUE CELA TRADUIT CLAIREMENT UN AVEUGLEMENT IDEOLOGIQUE ET NON UNE REALITE. VOUS CONNAISSEZ L’AVENIR VOUS ?, CHAPEAU, VOUS DEVRIEZ DONNER DES CONSULTATIONS DE VOYANCE ! ]
[ATTENTION AU LIEU COMMUN SUR L’ARTIFICIALITE DE LA LANGUE BRETONNE ECRITE, NE CONFONDEZ PAS UNE GRAPHIE AVEC UN PARLER. D’AILLEURS VOUS AVEZ CETTE MEME DISTINCTION ENTRE LE FRANÇAIS ECRIT ET LE FRANÇAIS PARLE, A CECI PRES QU’EN FRANCE, LES DIFFERENTS FRANÇAIS PARLES (A PART CELUI FAMILIER OU GROSSIER ET CERTAINS JARGONS PROFESSIONNELS), C’EST A DIRE LES DIALECTES ROMANS ONT QUASIMENT TOUS DISPARUS. ENCORE UNE FOIS, CE N’EST PAS PARCE QUE J’ECRIS EN BRETON UNIFIE QUE JE NE SUIS PAS CAPABLE DE COMPRENDRE (OU PARLER) LE DIALECTE LEONARD OU LE VANNETAIS). SI VOUS NE COMPRENEZ PAS CELA, QUAND VOUS ECRIVEZ A UN CANADIEN FRANCOPHONE OU A UN BELGE, ALLEZ LUI DIRE QUE VOUS LUI ECRIVEZ EN QUEBECOIS OU EN BELGE ?, JE NE PENSE PAS QU’IL SOIT SATISFAIT D’ENTENDRE CELA !
>cf. le basque et le catalan en France qui faute de reconnaissance sont oubliées en France mais en pleine forme à côté. En pleine forme, cela fait un peu sourire en ce qui concerne le basque car celui-ci reste minoritairement parlé dans la province. [FAUX, MR, RENSEIGNEZ-VOUS ET VOUS VERREZ QUE VOTRE AFFIRMATION N’EST PLUS EXACTE ! J’AVAIS BIEN SUR CHOISI VOLONTAIREMENT CES 2 EXEMPLES]
De plus, il est indéniable que l'assimilation des langues minoritaires aux langues nationales est un phénomène mondial, qui a lieu dans quasiment tous les pays du monde. D'où les cris d'alarme largement médiatisés des linguistes, qui estiment que 90% des langues du monde risquent de disparaître avant la fin du siècle. La Catalogne est une exception car elle a réussi à sauver sa langue mais en luttant sans concession contre la domination du castillan, presque traité maintenant comme une langue étrangère. [EFFECTIVEMENT ET POUR PLUS D’INDICATION, JE VOUS INVITE A PRENDRE EN COMPTE L’INFLUENCE DU POUVOIR POLITIQUE LOCAL DANS LA SAUVEGARDE D’UNE LANGUE, C’EST A DIRE SI LA REGION DANS LAQUELLE EST PRATIQUEE UNE LANGUE MINORITAIRE, LES POUVOIRS POLITIQUES LOCAUX SONT NULS OU TRES FAIBLES (CAS DE LA FRANCE PAR EXEMPLE), PARCE QUE FORTEMENT DEPENDANT DE L’ADMINISTRATION CENTRALE DE L’ETAT NATION, ALORS CELA PEUT ETRE VRAI. EN REVANCHE, QUAND LE TERRITOIRE EN QUESTION DISPOSE D’UN CERTAIN DEGRE D’AUTONOMIE, IL EN VA TOUT AUTREMENT…]
>Cela marchait quand les Bretons s’identifiaient d’abord comme français et accessoirement breton. Le problème c’est que cela est de moins en moins vrai et le sera de moins en moins...
Je ne crois pas du tout à cette dernière affirmation. [C’EST VOTRE DROIT ET JE CROIS BIEN L’AVOIR COMPRIS MAIS JE VOUS LE REPETE LE VENT TOURNE…]Même si on peut légitimement éprouver une attache à sa région (et cela ne se limite pas à la Bretagne, la Corse ou l'Alsace), le fait français est maintenant profondément enraciné dans toutes les régions de France. Entre autres du fait que presque tout le monde a le français pour langue maternelle. Et, dans ce cas-là, la différenciation ne joue plus. [SELON CE MEME RAISONNEMENT, CONSIDEREZ-VOUS LES WALLONS ET LES SUISSES ROMANDS COMME FRANÇAIS, JE NE PENSE QU’ILS SOIENT FORCEMENT CONTENTS DE S’ENTENDRE DIRE CELA ! ENCORE UNE FOIS, CE N’EST PAS PARCE QUE JE PARLE UNE LANGUE QUE JE SUIS FORCEMENT DE LA NATIONALITE D’ORIGINE DE CETTE LANGUE. JE ME SUIS JAMAIS SENTI ANGLAIS JUSQU’A PRESENT…]
[QUANT A LA DIFFERENCIATION, ELLE NE RESUME PAS HELAS QU’A LA LANGUE, IL Y A AUTRES CHOSES (LES HABITUDES, LA CULTURE, LA FAÇON DE VIVRE, …CONSIDEREZ-VOUS QUE LES ECOSSAIS SONT DES ANGLAIS ? MOI NON, LOIN DE LA !]
Même si les Franc-Comtois aiment bien leur région, ils n'en demeurent pas moins profondément français et ne rêvent nullement à l'indépendance de leur région. Même chose pour la Bretagne. Les Bretons ne sont absolument pas favorables à une hypothétique indépendance, qui ne leur apporterait d'ailleurs rien du tout. [SUJETS DEJA TRAITE, CF. PLUS HAUT, PETITES REMARQUES : POURQUOI PARLEZ-VOUS DES FRANCS COMTOIS, ALORS QU’IL EXISTE D’AUTRES REGIONS EN FRANCE ? ET QUI VOUS A PARLE D’INDEPENDANCE ?]
>L’évolution du français est positive uniquement par la poussée démographique en Afrique francophone. Bien sûr mais c'est déjà énorme ! Sur les autres continents, par exemple en Europe, les effectifs augmentent aussi mais moins spectaculairement qu'en Afrique. [C’EST MARRANT MAIS JE VOYAGE BEAUCOUP EN EUROPE, MAIS JE N’AI PAS L’IMPRESSION QUE LES EFFECTIFS AUGMENTENT, PEUT-ETRE NE DOIS-JE PAS VOYAGER DANS LA MEME EUROPE ? OU PEUT-ETRE QUE JE CROIS QUE VOUS CONFONDEZ LES TERMES « APPRENANT UNE LANGUE » ET « PARLANT COURAMMENT LA LANGUE ». CE N’EST PAS PARCE QUE J’AI QUELQUES NOTIONS D’ESPAGNOL, LANGUE QUE J’AI APPRISE QUE CELA FAIT DE MOIS UN HISPANISANT, LOIN DE MOI CETTE IDEE !]
>Ailleurs dans le monde on assiste plutôt à une perte d’influence. C'est très discutable. Si l'enseignement du français a régressé en Europe (entre autres car le Royaume-Uni a décidé de rendre l'apprentissage d'une langue étrangère facultatif), il a progressé au Moyen-Orient (+13 %), ainsi qu'en Asie et en Océanie (+6 %) au cours des trois dernières années. Et, comme je l'ai écrit précédemment, la tendance reste largement positive. La population francophone est en croissance constante et le français pourrait même à la fin du siècle dépasser toutes les langues (sauf l'anglais) en terme de nombre de locuteurs, comme le montre le graphique coloré suivant : [ Voir le site ] [ENCORE UNE FOIS, IL Y A UN PAS ENTRE LE FAIT D’APPRENDRE UNE LANGUE ET DE SE DEFINIR PRATIQUANT DE LA LANGUE .QUAND VOUS REGARDEZ DANS LE DETAIL LES CHIFFRES FOURNIS PAR L’AGENCE DE LA FRANCOPHONIE ET CEUX VENANT DE WIKIPEDIA, VERSION FRANCOPHONE, ON MELANGE ALLEGREMENT TOUT ET N’IMPORTE QUOI ! REGARDEZ VOTRE GRAPHIQUE, JUSTEMENT ET SURTOUT LES COMMENTAIRES EN HAUT, C’EST A MOURIR DE RIRE !!
ENFIN POUR PRECISER JE N’AI RIEN CONTRE LA LANGUE FRANÇAISE PUISQUE C’EST D’UNE PART MA LANGUE MATERNELLE ET QUE D’AUTRE PART JE M’EXPRIME EN FRANÇAIS. EN REVANCHE, JE SUIS FAROUCHEMENT OPPOSE A SON DETOURNEMENT AUX PROFITS D’IDEOLOGIES OU A DES PRETEXTES PERMETTANT DE DEFENDRE L’ORGANISATION ACTUELLE D’UN ETAT NATION A BOUT DE SOUFFLE QUI S’APPELLE LA FRANCE. JE PENSE SINCEREMENT QUE LA LANGUE FRANÇAISE MERITE BIEN MIEUX QU’A ETRE CANTONNEE DANS UN ROLE DE JUSTIFICATION DE LA SOI-DISANTE SUPERIORITE DE L’ETAT –NATION FRANCE OU DE CELUI D’UN ROULEAU COMPRESSEUR JACOBIN. POUR MOI, LA LANGUE FRANÇAISE CE N’EST PAS CELA ET LE SERA JAMAIS…]
En tout cas, vous n'avez pas répondu à ma question du début : seriez un clone de Mr. Vernet ou pire une sorte de Troll, qui est uniquement là pour faire tourner en rond un débat avec toujours les mêmes arguments pompiers ? J'espère pour vous que non.
Salut à tous !
Bon, sacrée affaire fidamdoul !
Après avoir eu le courage de lire tous les commentaires, je suis interloquée par l'étroitesse d'esprit de certains (bien que ce ne soit pas la première fois que je me retrouve confrontée à ce genre de discours malheureusement...).
Plusieurs choses me viennent à l'esprit :
- le nombre de bretonnants diminue, c'est un fait, mais comment peut-on se réjouir de ce genre de choses ? et à qui la faute d'après vous ?
- « il est évident qu'en France, la langue indispensable est le français, bien avant l'anglais, l'allemand ou le chinois. (...) Je rappelle également que les documents de travail doivent tous légalement être disponibles en français, y compris les logiciels.» Pourquoi ça ? Les personnes concernées ne comprennent-elles pas l'anglais ? S'il y a ce genre de lois c'est bien pour défendre le français et rien d'autre, tout comme la loi Toubon qui s'appuie sur la Constitution et le merveilleux article disant que : «La langue de la République est le français». Il a été quelque peu rallongé je vous l'accorde, mais dans les faits cela ne change rien. Je ne dis pas que c'est une mauvaise chose de défendre le français face à l'anglais, mais comment pouvez-vous à la fois abonder dans ce sens et ne pas comprendre que nous voulions, de la même manière défendre le breton ? Veillez m'excuser mais c'est à n'y rien comprendre... Je ne comprends pas en quoi c'est un argument pour vous cher monsieur.
- Tout le monde parle français en Bretagne, c'est vrai, mais en quoi la signalétique bilingue peut poser problème pour des gens qui ne parlent pas (encore) breton ? Ils peuvent lire les panneaux tout comme les bretonnants qui ont plaisir à voir, lire et parler leur langue !
- Vous dîtes que l'orthographe qui a été choisie en breton ne tient pas la route et n'est fondée sur rien... mais je parle Vannetais et il me semble qu'aucun bretonnant ayant lu ce que j'ai écrit plus haut a eu du mal à me comprendre, grâce à l'orthographe unifiée justement. On n'écrit pas comme on prononce certes, mais en français non plus si je puis me permettre, ou alors écrivez en SMS !
Dans ma famille il y a eu une coupure dans la transmission de la langue, mais mes parents ont appris le breton lorsqu'ils étaient étudiants, puis mis leurs quatre enfants à Diwan et nous parlons maintenant tous breton à la maison. Je vais devenir professeur des écoles à Diwan, je parle toujours breton à bon nombre de mes amis et c'est un vrai plaisir vous pouvez me croire. Ce n'est pas pour autant que je fais preuve d'étroitesse d'esprit, au contraire je pense. Nous ne restons pas repliés sur nous-mêmes. Je n'oblige personne à apprendre le breton, je souhaiterais simplement pouvoir parler la langue que je veux et avoir des lois pour la défendre. Parler plusieurs langue c'est une vraie richesse. Je parle breton tous les jours et j'en suis plus que fière.
El evit ar panelloù divyezhek, pep hini en do gellet lenn ar lodenn en doa c'hoant digudenn...
Tout comme les panneaux bilingues, chacun aura pu lire la partie qu'il souhaite, sans le moindre problème...
Setu bevet Breizh, bevet ar brezhoeg ha bevet Ai'ta ! Joa deoc'h !