Yes Scotland - BD inédite

Présentation de livre publié le 24/08/14 3:09 dans Littérature par Embannadurioù Nadoz-Vor pour Embannadurioù Nadoz-Vor
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L'actualité se bouscule ! Voici un projet inédit des Editions Nadoz-Vor ! Aidez-nous à éditer cette BD-reportage avant le 18 septembre !

Mais que veulent les nationalistes écossais ? Membre du Royaume-Uni depuis trois siècles, l'Écosse avait déjà obtenu, à la fin des années 1990, une autonomie limitée avec l'instauration d'une parlement et d'un gouvernement à Edimbourg. Mais cela ne suffisait pas à Alex Salmond, chef de file du Parti National Écossais (SNP) s'appuyant notamment sur les réserves pétrolières de la Mer du Nord, le premier ministre écossais, qui remporte aux élections de 2011 une victoire écrasante, réclame l'indépendance de son pays. Tout en promettant de garder la reine comme chef de l'Etat, de maintenir la libre circulation des citoyens avec l'Angleterre et de conserver la livre sterling, ce parti de centre gauche, qui se démarque radicalement des autres partis nationalistes ou indépendantistes européens, a réussi à imposer la tenue d'un référendum le 18 septembre 2014. Quel qu'en soit le résultat, cette consultation sonne le glas du Royaume-Uni dans sa forme actuelle.

Olivier Hengsen est journaliste basé en Écosse, à Édimbourg. Il contribue à différents médias français et francophones, parmi lesquels RFI, Libération, Le Soir ainsi qu'à des publications spécialisées sur l'énergie.

Daniel Casanave vit et travaille à Reims. Il est dessinateur de presse, illustrateur jeunesse, scénographe, auteur de bandes dessinées.

Langue : breton

Genre : reportage/histoire/politique

Public : adolescents et adultes

Nombre de pages: 32

Format : 186x242mm

ISBN : 979-10-93241-04-3

Le crowdfunding c'est quoi ?

On peut le traduire littéralement par «financement par la foule», ou «financement collectif». C'est un système de financement alternatif qui permet de conserver l'esprit solidaire tout en obtenant un ensemble de soutiens qui, de fil en aiguille, peuvent aider au financement d'un projet original et à la réalisation d'idées qui vous correspondent. Car un grand nombre de projets intéressants ne voient hélas pas le jour, faute de financements.

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Vos commentaires :
SPERED DIEUB
Dimanche 24 novembre 2024
DERNIERE NOUVELLE DEUX CENT PATRONS DISENT YES A L INDEPENDANCE
Voir le site

PIERRE CAMARET
Dimanche 24 novembre 2024
Je parlais ce jour avec un ami anglais . Tres pragmatique , si les Ecossais se sentent plus heureux avec l'independance , qu'ils la prennent .De toutes les facons , les liens economiques et culturels resteront forts.... et je le crois .
La Reine Elisabeth 2 restera Reine d'Ecosse mais comme Elisabeth 1 , la langue anglaise sera conservee comme langue Nationale , les ecossais voudraient garder la Livre Sterling comme monnaie Nationale .
Tres bien ,en fait cette independance sera une devolution etendue .En Bretagne , nous ne pouvons meme pas obtenir 10% de ce que les Ecossais recevront.
Il n'y aura aucun statut particulier pour la Bretagne a dit Francois 1er le Juste ........ et avec les concessions , qu'il est oblige de faire,maintenant , sur les plans economique et financier face a la Pression Europeenne, des marches, et disons du monde entier (Globalisation) ... il va rester intrangisant sur le decoupage territorial et son Premier Ministre aussi . On n'est pas sorti de l'Auberge .

Alwenn
Dimanche 24 novembre 2024
Bien que l'Angleterre ait été un empire, et qu'on ne saurait l'en félicité pour ça, il y a quand même quelque chose de bien chez ces Anglais qu'on ne trouve pas beaucoup (mais un peu quand même, depuis la sortie du francquisme et les autonomie accordées) chez les Espagnols et, alors là, pas du tout chez ces enflures de français qui chercheront à garder la Bretagne prisonnière coute que coute, par tout les moyens, alors que si ils étaient démocrates, ils feraient comme les Anglais avec l'Ecosse : vous votez pour resté unis ou non avec l'Angleterre. C'est votre choix. Vous avez cette liberté.

Même la réunification de la Bretagne par un vote des habitants de la Loire-Atllantique, c'est pas possible pour eux, car c'est la voie vers l'indépendance.

Il faut que nous Bretons, soyons capable de trouver les moyens d'offrir ce choix démocratique aux Bretons.


Paul Kerguelen
Dimanche 24 novembre 2024
En attendant, c'est en restant unis que les Écossais en sont là, et non désunis...
Ils ont réussis à faire un seul parti quand, nous,bretons, nous en avons plusieurs se battant «à la française»...
Oui il est bon d'avoir plusieurs propositions d'avenir, plusieurs façon de voir le futur de la Bretagne...
Mais en attendant, au lieu d'avoir 1 parti regroupant tous les partis, nous en avons plusieurs qui se font la guéguerre, à savoir celui qui fera mieux que tous les autres... de bons petits français!
Ce qui fait les beaux jours de la france jacobine...en effet, tant que nous ne serons pas UNIS, c'est la france qui se frotte les mains....
Quand les différents partis bretons auront le courage de s'allier pour faire une union, présentant les différents partis????
N'aurions nous pas à gagner???
Nous sommes plus d'un à le réclamer!!!!!
Suivons l'exemple non pas de les partis français, mais de l'Écosse!

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