Mercredi 11 mars dans la salle de Querrien, fumigènes et éclairage intimiste. La grande cornemuse du maître Dominique Molard évoque tout à tour grande musique écossaise, reals endiablés et accompagne Melaine dans ses chants presque initiatiques, essayant d'imiter la voix de l'instrument.
Création du Festival de la parole poétique, le voyage proposé aux 100 personnes présentes est un concert très original, mêlant musique et textes, terre d'Écosse et références au pays de Quimperlé quand Melaine raconte les aventures de son grand-père qui s'occupait du sablier et utilisait des mots étranges ...
Padrig chante comme son maître le lui a appris (voyelles pour les notes, consonnes pour les ornementations), et refuse de jouer au final, quand Melaine, à la demande d'une personne de l'assistance, débute le grand texte de l'Indien Seattle : «Après un si beau texte, on ne peut rien ajouter».
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