Salon Baie des plumes les 6 & 7 août à Douarnenez

Agenda publié le 4/08/21 23:05 dans Littérature par Marie-Josée Christien pour Marie-Josée Christien

Baie des plumes 2021

Baie des plumes, le Salon du livre et de la poésie de Douarnenez organisé par l'association «Poèmes bleus» se déroulera cette année les 6 et 7 août 2021 sur la place de l'Enfer, en partenariat avec le Port-musée, dans une configuration réduite compte-tenu du contexte sanitaire.

Le pass sanitaire sera demandé pour toutes les animations se déroulant en intérieur, mais pas en extérieur, sous les tentes où un système de comptage sera mis en place, avec une jauge fixée à 50 personnes maximum.

Le Salon proposera des lectures dans la salle des gréements du Port-musée.

Baie des plumes accueillera des auteurs dont Marie-Noëlle Agnau, Laurent Bourdelas, Claude Favre, Guy Goffette, Salah Al Hamdani, Isabelle Lagny, Souad Labbize, Anne-José Lemonnier, Charles Pennequin, Clara Regy, Sapho...

Les organisateurs ont également invité Falmares, jeune poète guinéen menacé d'expulsion.

Les maisons d'édition suivantes seront présentes : L'oeil ébloui, Isabelle Sauvage, Les Hauts-Fonds, Bruno Doucey, Raz Editions, les éditions 10 au carré, Diabase, Olivier Rougerie, Xerographes, Georama, Les Mandarines, Les Editions Sauvages. Elles accueilleront leurs propres auteurs.

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Vos commentaires :

Bernard Grua

Dimanche 22 décembre 2024

Yoann Barbereau sera présent au salon de Douarnenez. L'exploit que représente son évasion, depuis Irkoutsk, à travers la Sibérie puis la Russie d'Europe, alors qu'il était condamné à 13 ans de camp à l'issue d'un procès stalinien, est inconcevable. Résident maintenant à Douarnenez, il en a fait le récit. Son ouvrage «Dans les geôles de Sibérie» a été unanimement salué. Yoann Barbereau écrit, bien très, bien même. C'est un passionné des grands écrivains russes. Il est bien malheureux d'apprendre qu'il échangera avec le couple formé par André Markowicz et Françoise Morvan. Espérons qu'ils se limiteront à échanger sur le sujet annoncé à savoir «Le Maître et Marguerite» de Boulgakov. On peut, hélas, en douter tant ce denier binôme est coutumier des tirades outrageusement brittophobes.
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