Sur l’île d’«Ouessant», des touristes parisiens sont assassinés avec une sauvagerie d’un autre temps.
Un adjudant du cru, Floc’h, enquête à sa manière peu académique et s’oppose au fringuant colonel de Gelis aux méthodes plus expéditives.
C’est qu’il va falloir bousculer l’île pour lui faire cracher son secret.
Un lourd secret auquel accèdent ceux qui savent regarder au loin, derrière les choses.
Un secret sur lequel veille comme à la prunelle de ses yeux, Jo Cueff le menuisier de l’île.
Car l’île de la mort est le lieu de tous les possibles. Le lieu où tout commence et finit à la fois. Le lieu où les âmes combattent pour la vie, et reviennent de si loin parfois.. Le lieu où le réel côtoie la légende d’un peuple oublié qui défie le temps et attend son heure.
La «proella» désigne à la fois la croix symbolisant un disparu en mer et la cérémonie funèbre. Le terme vient du breton bro (pays)et de elez (rapatriement).
Un prêtre procède à la levée du corps (la proella), qui est mené à l'église et déposé, après une messe, dans une urne spéciale.
«Yvon Ollivier» est juriste, membre de l'Institut culturel de Bretagne et auteur de plusieurs ouvrages sur l'histoire et la politique en Bretagne.
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Broché -11x17 cm - 248 pages -ISBN 978-2-916579-86-3 - 10€
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