Jean-Pierre Rey vient présenter son dernier « roman » un exercice sportif et engagé qui ne saurait laisser le lecteur indifférent. Toute vérité est-elle bonne à écrire ? En tout cas la liberté d’expression le permet. L’auteur chahute ceux qui sont aux affaires, son intime conviction n’engage que lui mais au moins il a le courage de s’exprimer et il met des accents poussés sur diverses problématiques sur les petits arrangements entre amis. Les jeux olympiques sont au cœur du sujet et le reflet très voyant d’une société qui ne se porte pas bien sauf pour quelques-uns qui tirent les ficelles...
Qui est l’auteur :
Jean-Pierre Rey partage sa vie entre Paris et Plourivo. Diplômé de l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, et gérant de sociétés, sa légitimité n’est pas à prouver. Dans un souci de clarification, il a éprouvé la nécessité de partager ses craintes, avec le plus grand nombre. Le débat reste ouvert.
Chronique d’une catastrophe annoncée, présentation de l’éditeur :
Des dirigeants hors du temps et de l’espace, une administration parisienne lourde, sourde et gourde, ont ruiné le plus beau des rêves, l’harmonie universelle par le sport. C’est à marches forcées que les organisateurs ont avancé vers le chaos. Sous la machinerie de la superstructure olympique, la nature humaine résiste. La famille de l’auteur, celle de Chérif Feraoun, Marcorel, le poète et philosophe, Louis le syndicaliste, et Albert, l’énarque de service. Tous ces personnages attachants sauveront-ils les Jeux de la démesure et des milliards engloutis ?
Après le succès éditorial de Moi, Moustache, chien-soldat, héros des guerres napoléoniennes et de La Route de la Foi, Jean-Pierre Rey, d’une plume caustique raconte l’organisation, si l’on peut dire, des Jeux de Paris.
« Coubertin, réveille-toi, ils sont devenus fous ! »
Derrière les JO de Paris, c’est notre société malade qui dit son désespoir. Les sportifs n’en sont-ils pas les premières victimes ?
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