Dans un entretien avec le quotidien Ouest-France paru hier vendredi, Marine Le Pen réaffirme « que la langue de la République est le français » puis « Leur apprentissage ne pose aucun problème, à condition qu’il se fasse dans le parascolaire ou le milieu associatif. Pas à l’école, qui doit se concentrer sur l’enseignement des savoirs fondamentaux. Dont l’enseignement de l’histoire régionale, à raison d’une heure tous les 15 jours. Ça, j’y suis très favorable. »
Sur la réunification administrative qui intégrerait la Loire-Atlantique, elle répond : « Je n’y suis pas opposée, mais je pense que ça ne pourrait éventuellement se décider qu’avec l’accord des habitants. Ça pourrait ainsi faire l’objet d’un Référendum d’initiative citoyenne. »
■. an dibenn (la fin). Avec là aussi des dérivés : an dibenn-sizhun (le Week-End), un dibenn-pred (un dessert), dibennadiñ (dissuader), dibennadoù (des actes ou propos insensés)…
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A-benn ar fin, pennek eo an intron Ar Penn a lavarfen-me. N’eus nemet dibennaj (absurdité, e galleg flour) ganti da geñver ar yezhoù rannvroel dre vraz (ne soñj ket din emañ-hi a-enep-groñs ar yezhoù arall : galleg, alamaneg, ha me oar….). Ma vefe-hi kaset e penn ar Republik gall e vefe kaset d’an traoñ ar brezhoneg, a dra-sur. Penn-da-benn. Ha memestra gant an holl tudennoù lec’hiet e tu-pellañ (a-gleiz pe a-zehoù). Eurusamant evit hon yezh, ne c’hoarvezo ket. Pas er wech-mañ, d’an nebeutañ.
Vraiment de la perte de temps en vain, pour ne rien réunifier à coup sûr. Et en plus on nous dit que c'est un préalable à tout, la langue officielle, un début d'autonomie etc de qui se mqoue t-on ??
Le Pen propose ce RIC en connaissance de cause. Elle a bien compris que cela ne menerait nulle part, ne l'engageait en rien, juste un petit crédit sympathie localement exactement comme le font les Verts and co.
Les pro-actifs là-dessus n'ont d'autres ambitions que d'obtenir un poste, un petit article dans la presse locale, monter une boutique avec des T-Shirts. Vu l'état du sentiment breton dans le 44, c'est une cause perdue de vouloir un référendum à l'échelle de tout le 44...ou alors ce sera un référendum Grand-Ouest.
Il faut concentrer les efforts, et pas avec de la parlotte, en presqu'ile guérandaise ou dans le pays de redon, plus dans la méthode corse que dans le méthode Coué.