Les courriers ci-dessous ont été transmis à nos nouveaux responsables. Cela comme cela avait été fait à leurs prédécesseurs. Sans qu'il y ait eu d'écho.
Aujourd'hui, les enjeux sont plus graves... d'où l'urgence à en tenir compte !
Monsieur François HOLLANDE
Président de la République
Monsieur Le Président,
Je tiens avant toute chose, étant républicain et respectueux du suffrage universel, à ajouter mes félicitations pour votre élection à celles que vous avez déjà reçues.
Je me permets, maintenant que vous êtes le président de tous les Français, de vous faire parvenir cette lettre en souhaitant qu'elle justifiera, de votre part ou de vos services, une réponse.
Réponses que j'aurais aimées recevoir à la suite de mes envois depuis 1989, en ma qualité de président de l'association citoyenne « non partisane » Blanc c'est exprimé, faits à « l'élu François Hollande, député-président du conseil général de la Corrèze puis candidat à l'élection présidentielle, »
Celles-ci concernaient pourtant des propositions de réformes de nature à améliorer la Démocratie et à redonner crédibilité et légitimité aux élus. Propres également, ce que vous dites vouloir, à savoir faire renaître « confiance et espoir » chez les Français. J'ajouterai quant à moi, « confiance » dans leurs représentants. Ce qui sera de nature à permettre de lutter contre les abstentions et redonnera des couleurs à la Démocratie..
Durant la campagne, au cours de laquelle vous avez fait, comme votre concurrent, beaucoup de promesses, j'ai été fondé, devant le silence opposé à mes demandes, à considérer qu'il n'y avait pas de différence entre vous deux, sur le plan du respect des citoyens.
Une page est maintenant tournée et je suis déterminé, en tant que démocrate et citoyen loyal, tout en gardant mon libre-arbitre et mon esprit critique, à vous faire confiance a priori.
Cela comme je l'avais fait lors de l'avènement de Nicolas Sarkozy pour lequel j'avais émis beaucoup de réserves, ce qui s'est confirmé. Aujourd'hui notre Pays a besoin de solidarités.
Nicolas Sarkozy prônait, comme vous, «une démocratie irréprochable et un État impartial»
Il avait dit « Je sais qu'on vous a souvent trompés, qu'on vous a parfois menti, qu'un certain nombre ici se sont sentis trahis », a lancé M. Sarkozy. « Je vous le dis : je ne vous tromperai pas, je ne vous mentirai pas, je ne vous trahirai pas ».
En fait, il n'a menti qu'une seule fois : c'est le jour où il a prononcé ces paroles.
Je vous demande de trouver ci-jointes les différentes propositions de réformes que je vous ai soumises, au fil du temps et qu'attendent les Français. Je vous remercie de l'intérêt que vous porterez à la présente et de la bonne suite que vous leur donnerez.
Je vous assure, Monsieur le Président de la République, de l'assurance de mes sentiments respectueux.
Monsieur Jean-Marc AYRAULT
Premier ministre
Monsieur le Premier ministre,
Le Président Hollande et son concurrent ont occulté durant toute la campagne le véritable état de la France qui apparaît chaque jour avec un peu plus d'acuité. L'impasse a surtout été faite sur les mesures à prendre pour redresser le Pays en pleine crise économique et financière.
Ainsi a été annoncé dernièrement qu'il manquait 10 milliards d'euros pour boucler le budget 2012.
Nul ne peut croire, compte tenu du nombre de hauts-fonctionnaires, de parlementaires, de spécialistes appartenant à votre parti qu'il puisse être soutenu que pour votre gouvernement cela soit une surprise.
Certes au niveau des recettes fiscales des hypothèses de travail sont avancées : la suppression des exonérations et de la défiscalisation des cotisations sociales sur les heures supplémentaires, le relèvement de l'ISF, une nouvelle taxation des dividendes et le plafonnement des niches fiscales.
Sur ce dernier point ce serait porter une grave atteinte à la vie associative et à la démocratie de réduire, comme cela a été évoqué, en le divisant par deux, l'avantage fiscal consenti au mécénat d'entreprise.
Au niveau des « coupes drastiques » dans le budget de l’État la baisse des dépenses de fonctionnement et des dépenses d'intervention et à l'ordre du jour.
Je pense qu'à côté de ses mesures auxquelles peu de personnes durant la campagne ont cru pouvoir échapper, il est bon, pour alléger le budget de l’État, d'avoir le courage de procéder immédiatement à la suppression d'institutions et dispositifs budgétivores « non productifs» que j'ai soumise, sans avoir d'écho, en août 2011 au président Sarkozy après l'annonce faite des mesures du « plan d'austérité » justifié par l'indispensable réduction de la dette publique de la France. Je les annexe, avec d'autres propositions de réformes institutionnelles, à la présente lettre.
Il n'est pas possible d'imaginer que malgré toutes les mesures prises il n'y aura pas d' incidences sur la fiscalité des ménages, des entreprises qui subissent déjà celles découlant des dérives budgétaires des collectivités territoriales.
Aussi, il y a urgence à procéder, avec la volonté de réaliser une véritable décentralisation, à la réforme des collectivités territoriales à quelque niveau elles appartiennent. Ne pas le faire serait la preuve de la volonté de ne pas déplaire aux élus de ces dernières au détriment des contribuables et du Pays.
Dans l'esprit de la démarche à entreprendre, je me félicite que Marylise Lebranchu ait été investie de la charge de ministre de la réforme de l'Etat, de la décentralisation et de la Fonction publique mais pense, par contre, que la nomination de Anne Marie Escoffier, ministre déléguée à la Décentralisation encourage, du fait de ses précédentes fonctions de haute-fonctionnaire à la plus grande vigilance tous ceux qui considèrent que le jacobinisme centralisateur est en grande partie responsable de l’état de notre Pays.
Je vous rends destinataire, une nouvelle fois, des propositions présentées depuis 1989.
Je vous remercie de l’intérêt que vous porterez à ces dernières et surtout de la bonne suite que vous leur donnerez et reste à votre disposition.
Je vous assure, Monsieur le Premier ministre, de mes sentiments, dévoués.
Monsieur Pierre MOSCOVICI
Ministre de l’Économie et des Finances
Monsieur Le Ministre,
J’ai présenté depuis 1989, en ma qualité de président de l’association citoyenne « non partisane » Blanc c’est exprimé, de nombreuses propositions de réformes qui sont de nature à améliorer la Démocratie et à redonner crédibilité et légitimité aux élus et faire renaître « confiance et espoir » chez les Français.
Adoptées, elles auraient été sources d’économies et auraient évité l’augmentation permanente des déficits budgétaires et de la dette de la France qui aujourd’hui pénalisent notre économie et les contribuables.
Avec le temps et ce depuis plus de 40 ans, les politiques menées ont conduit à un État centralisé, budgétivore et pachydermique.
Nous sommes entrés dans une phase d’austérité qui va, il ne faut pas se masquer la réalité, s’aggraver. Il est donc important que les mesures budgétaires qui vont être prises et par voie de conséquences celles fiscales intègrent le souci d’une juste répartition des efforts à réaliser.
La solidarité doit renaître, à tous les niveaux, pour rendre la France productive de richesses.
La classe politique apparaît comme protégeant ses privilèges et ce n’est pas acceptable.
Aussi je me permets de vous rendre destinataire des documents ci-joints que je soumets à votre analyse pour décisions, pour certaines à prendre d’urgence.
Les citoyens, fonctionnaires, salariés, professions libérales et chefs d’entreprises, ne comprendraient pas qu’il en soit autrement si tous les efforts demandés reposaient sur eux seuls.
Je reste à votre entière disposition.
Je vous assure, Monsieur le Ministre, de l’expression de mes sentiments dévoués.
Madame Marylise LEBRANCHU
Ministre de la Réforme de l'État, de la Décentralisation et de la Fonction publique
Madame la Ministre,
Dans le courrier adressé à Monsieur le Premier ministre, je suis me félicité que vous ayez été investie de la charge de ministre de la réforme de l’État, de la décentralisation et de la Fonction publique. Pour autant, malgré que vous-même l’ayez fait à propos de la nomination de Anne-Marie Escoffier, ministre déléguée à la Décentralisation j’émets quant à moi des réserves du fait de ses précédentes fonctions de haute-fonctionnaire. Réserves partagées par beaucoup de Bretons souhaitant des Régions fortes dégagées de la tutelle que fait peser le jacobinisme centralisateur parisien et étatique qui est en grande partie responsable de l’état de notre Pays.
Il sera jugé à l’aune des décisions prises et je suis déterminé quant à moi, en tant que démocrate et citoyen loyal, tout en gardant mon libre-arbitre et mon esprit critique, à appuyer toutes les démarches qui seront prises pour simplifier la vie des citoyens, améliorer la Démocratie dans notre Pays et alléger la fiscalité des ménages et des entreprises.
En ces temps de crise, il y a urgence à procéder, avec la volonté de réaliser une véritable décentralisation, la réforme des collectivités territoriales à quelque niveau elles appartiennent. Ne pas le faire serait la preuve de la volonté de ne pas déplaire aux élus de ces dernières au détriment des contribuables et du Pays.
Souhaitant depuis 1989 la réforme des institutions de l’État je me permets de vous apporter ma contribution et vous remercie de prendre connaissance des différents documents joints.
Je vous souhaite bon courage dans vos entreprises et vous présente, Madame la Ministre, l’expression de mes sentiments dévoués.
Toutes les propositions présentées à nos gouvernants : (voir le site)
Plan d’austérité lettre à Nicolas Sarkozy : (voir le site)
Syndicats, Comités d’entreprises : la crise…. si on parlait de solidarité ? (voir le site)
Lettre à Jacques Myard ; (voir le site)
Le Drian République des Régions et réunification de la Bretagne : (voir le site)
Instrumentalisation de la vie associative : Démocratie en danger ! (voir le site)
■J'ai écrit pour défendre ma thèse concernant la réforme de la loi de financement public des... partis...qu'aucun homme politique n'était en capacité aujourd'hui de dire «qu'il était un élu libre.»
Les partis sont devenus «nourriciers» grâce aux impôts des contribuables et c'est la ligne «tracée» qui doit être suivie...ou la mise sur la touche.
Beaucoup des dirigeants, dénoncent l'abus permanent de position dominante des grands groupes gagnés à la financiarisation de l'économie et en fait reproduisent le même modèle vis à vis de leurs membres (qui acceptent en silence servilement pour garder une place au soleil...via leurs mandats et fonctions lucratives) et plus grave vis à vis des citoyens qu'ils méprisent!
Il n'y a plus d'intelligence«s» que ce soit à droite ou à gauche,il n'y a plus qu'une pensée unique...une seule tête... et Moscou et Poutine doivent regarder cela d'un œil intéressé... le modèle a été adopté.
On pourrait croire que vous (MM Gautier, Prigent, Camaret...) considérez que c'est mieux quand il n'y a pas de partis. Préféreriez-vous la dictature ? Après tout, vous avez le droit.
Eh bien, pourtant, que vous le vouliez ou non, les partis, c'est l'essence même de la démocratie. Même si on peut la juger imparfaite, inaboutie, même quand on veut l'améliorer, la faire progresser. Pour ce faire, les partis sont nécessaires, indispensables.
Et aujourd'hui, en France et en Bretagne, chacun est libre de choisir celui qui lui convient le mieux. Ou de ne pas choisir.
Quant aux courriers de M Gautier... franchement, quel intérêt ? Hollande, Ayrault, Lebranchu... pourquoi pas le pape, tant qu'il y est ? Il y en a qui n'ont aucun sens du ridicule. Mais bien sûr, il considère que ses petites réflexions personnelles ont beaucoup plus de pertinence qu'une réflexion collective dans un parti. Tout cela est à la fois prétentieux et grotesque.
Nous savons de plus en plus ce qu'est et doit être la démocratie! Et nous n'avons pas besoin de »
maîtres à penser«, de guides qui ne savent où ils vont, sinon vers et seulement, vers leurs intérêts et leurs phantasmes. de votre nature. Vous n'êtes, je le pense, qu'un propagandiste ponctuel et opportuniste!»
Les personnes que vous dénigrez, ont raison! Et vous...TORT!«Les »
gauches" sont mortes!...et la pseudo écologie politique avec elle!!!A lire les commentaires de ce forum et par exemple ceux de cette page, on se demande vraiment où est l'intolérance...
D'attaques en règle contre les partis, quels qu'ils soient, sans nuances, en insultes ciblées (propagandiste, opportuniste...), qui est l'agresseur, qui est l'agressé ?
Je maintiens ce que j'ai dit plus haut : sans partis, pas de démocratie possible. Là où ils sont interdits, c'est la dictature. Et aucun de ceux qui tartinent ici à longueur de post, n'y trouverait son compte. Ne faudrait-il pas garder un peu de raison dans les commentaires ?
Pour votre info : l'UDB des années 80 était rien moins que stalinienne... C'est d'ailleurs dans ces années là qu'elle a abandonné le fameux «centralisme démocratique» et toute référence à «l'appropriation collective des moyens de production» et autre joyeuseté.
LPC : «les gauches et l'écologie sont mortes»... Vous avez du louper un épisode... Les gauches (surtout l'une d'elles) et l'écologie sont au gouvernement. C'est plutôt «les droites» qui sont mal en point en ce moment. Mais à l'évidence, vous vivez sur une autre planète.
M. Gautier, au moins, s'est aperçu que la gauche avait gagné. La preuve ? Il lui écrit pour lui dire ce qu'elle doit faire. D'accord, cela ne fait que 15 jours que les élections sont terminées. Mais ça, bien sûr c'est un détail. La gauche au pouvoir doit donner au plus vite satisfaction à M Gautier... qui a pourtant voté blanc...
L'idéologie jacobine est toujours là, inchangée.
Ces gens-là ne connaissent que la force. Tout le reste, pour eux, c'est de la littérature !
Il est évident, pour moi, ne serait-ce que pour représenter des personnes qui, comme lui, voient le doigt et non la lune, que les partis sont indispensables.
Mais, dans la mesure où ces derniers confisquent la Démocratie à leur seul et unique profit il est du devoir des citoyens de ne pas l’accepter.
Je préfère quant à moi « Etre résistant en temps de paix pour ne jamais être un ancien combattant. »
Il ne peut oublier, même sis nous n’en sommes pas encore là que Staline, Hitler et bien d'autres, ont existé en s’appuyant sur… des partis politiques.
Il appartient donc aux citoyens d’être vigilants. C'est un de leurs devoirs.
Joseph Victor n’a pas du percevoir que depuis l’avènement de la loi de 1995 de financement public des partis, le bipartisme s’imposait de manière insidieuse, en l'absence de proportionnelle, amenant les électeurs à « voter par défaut » et que cela peut être, à terme, la voie tracée vers la création, à terme d’un parti unique.
Joseph Victor ne parle pas du contenu des réformes que je propose et qui sont pourtant de nature à « améliorer la Démocratie. »
Je ne retournerais pas le « sens du ridicule » à ce Monsieur qui va continuer à vivre dns « sa bulle »
Beaucoup me reprochent de ne pas utiliser la manière violente. Je préfère exposer des propositions. J’ai l’ambition quant à moi, peut-être utopique d’être enfin entendu et écouté avant qu’il soit trop tard et que la rue ne s’embrase…
Cela s’est produit, dernièrement, dans des d’autres Pays « démocratiques »
Alors Joseph Victor, si vous repreniez le « sens » des choses et de la Société à laquelle vous appartenez…
J'espère que Victor ne m'en voudra pas d'avoir rajouté ces quelques amendements à nos «piètres argumentaires».
Et j'ai pourtant voté UDB aux législatives !
Spered Dieub, je n'attaque personne, je défends le rôle irremplaçable des partis pour la démocratie... Quand les partis sont interdits ou que le parti unique est imposé, on est en dictature. Dévaloriser en permanence les partis politiques, parler «d'UMPS»... c'est faire le jeu de l'extrême droite qui ne demande que ça...
Les partis ne sont pas parfaits, loin s'en faut. C'est normal, ils sont constitués «d'humains», ils sont donc sujets aux mêmes travers, ils en ont les mêmes défauts, et les mêmes qualités. Mais ils ne sont pas «tous pourris» et le proclamer comme le font certains ici, c'est suivre le chemin tracé par le FN, ni plus ni moins.
Pour votre info, enfin, l'UDB des années 80 n'avait rien de stalinienne (je n'en dirais pas forcément autant de celle des années 70...). Les années 80, c'est au contraire la période où l'UDB s'est débarrassé du fameux «centralisme démocratique», où elle a abandonné des notions aussi connotées que «appropriation collective des moyens de production»... Vous pouvez le vérifier, c'est dans les textes des congrès...
Sinon... dire comme le fait LPC que «les gauches et l'écologie politique sont mortes»... franchement... Il a du louper un épisode et ne pas suivre les dernières élections ! C'est plutôt la droite qui est au plus mal, mais LPC ne s'est rendu compte de rien...
Contrairement à M Gautier. Cela fait moins de 15 jours que le gouvernement dispose d'une majorité à l'assemblée, que le voilà sommé de donner immédiatement satisfaction à M. Gautier ! C'est d'un crédible !!!
Je persiste à penser que l'action et la réflexion collectives d'un parti vaudra toujours mieux que les initiatives isolées de quelques farfelus. Heureusement que ceux-ci ont l'ABP pour recueillir le fruit de leurs cogitations...
Je pense toutefois qu'il devrait prendre des lunettes permettant de voir «au delà de ses convictions intimes et bien bloquées.»
Tolérant et connaissant ce que provoquent les blocages intellectuels, je ne pense pas à avoir nécessité à lui retourner le compliment de «farfelu.»
Il aurait pu lire si sa vue «n'était pas aussi brouillée» que depuis 1989 et en permanence je n'ai jamais cessé de faire parvenir aux destinataires en cause, des courriers et courriels «de propositions» en leur suggérant de les reprendre à leur compte.
Je peux, s'il le souhaite, lui faire parvenir gratuitement à l'adresse postale qu'il me transmettra, mon livre «Vote blanc la longue démarche.»
J'aime beaucoup les personnes qui ont des opinions même si parfois je les combats.
J'aime encore plus lorsqu'ils essayent de ne pas être jusqu'auboutistes et sont tolérants en apportant à la réflexion.
Je respecte toutes les idées pour autant que l'on veuille bien m'accorder la réciprocité.
Comme lorsque l'on est en Démocratie éclairée. Or en France les Lumière ont tendance à s'éteindre?
- je suis favorable à la reconnaissance du vote blanc (mais je n'irai pas jusqu'à en faire un fond de commerce...);
- je suis pour la proportionnelle intégrale, pour toutes les élections ;
- je suis bien sûr favorable à une restructuration des régions sur leurs bases historiques (Bretagne, Pays Basque, Normandie...) ;
- nous sommes donc tous d'accord sur le rôle irremplaçable et indispensable des partis politiques...
- nous sommes tous contre le «bipartisme». C'est bien aussi pour ça que je suis et reste à l'UDB...
- nous sommes globalement d'accord pour dire que le système démocratique français est (pour le moins) imparfait et devrait être réformé. C'est aussi le cas de l'audiovisuel public...
Mais,
- nous divergeons sur ce que vous appelez «l'UMPS», expression empruntée au FN. L'UMP et le PS, ce n'est pas la même chose, et d'ailleurs si M. Camaret a tant milité pour la réélection de Sarkozy... il avait ses raisons... (que je ne partage pas, évidemment) .
- surtout, nous divergeons sur les qualificatifs à apporter au système politique français. Il est certes pour le moins imparfait, il conserve, c'est évident, des relents très forts de monarchie, mais il demeure une démocratie. Il y a des élections, et, ne vous en déplaise, ce sont les électeurs qui décident. Ils élisent les députés et ceux-ci font les lois. Ce sont ces électeurs qu'il faut essayer de convaincre et cela ne se fera pas en tournant en rond ici.
Alors, pour finir, c'est peut-être blessant, mais oui, je juge farfelue cette avalanche de courriers expédiés 15 jours après le second tour des législatives. J'irai même un peu plus loin : que ne feraient pas certains pour tenter d'essayer de donner l'impression qu'ils existent... Mais c'est un jugement perso, et personne n'est obligé de le partager.
Oui à mon avis face à la réalité, « les gauches » n’ont plus grand chose à partager _surtout de ce qu’elles ne produisent pas_ et bientôt plus rien ! La plaisanterie au sujet des »socialistes » partageurs, n’en ai plus seulement une. Les patrons, capitaux et riches entrepreneurs sont partis produire en Chine…nouveau paradis du « communisme réussi » ;0) !
Le socialisme de droite « …a atteint son niveau d’incompétence » qui faisait illusion aux périodes de « vaches grasses », c'est-à-dire il a atteint le point où il ne peut faire « que » comme la droite, ça se remarque vite. Non , Victor ?
En ajoutant, que si les forces productrices ont pu permettre aux « belles gauches » durant un siècle les belles promesses électorales de partage, de justice et d’humanisme, comme territoire réservé il faut reconnaître que les gens de « gauche » ne sont pas l’essentiel des producteurs de richesses. Vous êtes donc aujourd’hui complètement au pied du mur!Produire, organiser …et partager avec nous, comme des frères, les fruits que vous aurez obtenus. Le premier mur bolcho-socialo-communiste était de sable de mer plein de sel, il s’est donc effrité, désagrégé ! Vous, vous voulez peut-être le reconstruire…avec les mêmes ingrédients ?
Et chanter : » La haut sur la montaaagne, l’est un nouveau chalet » ( ;0))))
Vous me feriez « injure » Joseph Victor, si vous ne preniez pas mon commentaire pour une plaisanterie, ou encore pour une attaque d’extrême droite. N’hésitez pas, rétorquez ! Ne sortez surtout pas de la ligne, cela m’amuse par avance !
Il veut avoir le dernier mot je le lui laisse après avoir cité un de mes amis, le poète Pol Le Doré qui demandait « As-tu planté un arbre aujourd'hui»
Qu'avez-vous fait Joseph Victor pour faire «avancer les choses... et la Bretagne?»