Le 23 novembre 2012, les faucheurs avaient «neutralisé et rendu impropres à la consommation 3 500 tonnes de soja transgénique stockées au port de Lorient». Pas de nouvelles depuis.
Dans une lettre adressée le 7 décembre 2012 à Lorient, le collectif des faucheurs volontaires d'OGM s'adresse aux Ministères concernés et aux Préfets et Présidents de la Région Bretagne.
Leur acte de désobéissance civile n'a pour l'instant pas été suivi d'un jugement : or, ils revendiquent et assument «pleinement leurs actes».
«Comment se fait-il que, dans un État de droit, la justice ne soit pas intervenue suite aux actions pénalement répréhensibles citées précédemment ? ».
Ils attendent donc d'être jugés et veulent une explication : si l'État est le garant de l'égalité entre les citoyens, il se doit de les traduire en justice.
Pour lire la lettre, consulter la pièce jointe
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