«1139» data-permalink=« (voir le site) data-orig-file=« (voir le site) data-orig-size=«229,296» data-comments-opened=«1» data-image-meta=«{»aperture«:»0«,»credit«:»«,»camera«:»«,»caption«:»«,»created_timestamp«:»0«,»copyright«:»«,»focal_length«:»0«,»iso«:»0«,»shutter_speed«:»0«,»title«:»«,»orientation«:»0«}» data-image-title=«image» data-image-description="« data-medium-file=» (voir le site) « data-large-file=» (voir le site) « class=» size-full wp-image-1139 alignleft« src=» (voir le site) « alt=»image« srcset=» (voir le site) 229w, (voir le site) 116w« sizes=»(max-width: 229px) 100vw, 229px« />En couverture « Le triomphe de la ville cubique » par Pierre Péron.
Le (voir le site) «>Centre de Recherche Historique du Léon est heureux de vous annoncer la parution mi-mars du Cahier de l’Iroise n°228 de la Société d’Étude de Brest et du Léon, intitulé « Le béton ça a du bon ».
Les travaux de recherche et les archives du Centre de Recherche Historique du Léon ont permis l’écriture d’un article de l’ouvrage :
KOSTIOU Jeremi, Les panneaux Michelin des années 1950-1960 dans le Léon.
Éditorial du n°228:
La ville de Brest profite cette année d’une reconnaissance architecturale bienvenue à travers la labellisation Ville d’art et d’histoire, juste retour des choses. La Société d’Études de Brest et du Léon est bien placée pour rappeler les problèmes de regard sur le passé d’une ville martyrisée et traumatisée.
À l’automne 1944, le vieux Brest est détruit, un vaste chantier de reconstruction s’ouvre selon une logique qui, sans être forcément politique, fait en grande partie table rase du passé. La vieille église Saint-Louis et le théâtre, qui auraient pu être conservés, sont sacrifiés sans trop d’états d’âme. Le vide patrimonial qui s’ensuit est porteur de toutes les nostalgies. C’est très sensible dans les premiers numéros des Cahiers de l’Iroise qui commémorent l’ancienne ville tout au long de leurs pages. Il faut attendre le début du XXIe siècle pour que les choses s’infléchissent, sans doute parce que la génération qui a connu le Brest d’avant-guerre passe.
Le regard change dans le même temps. Plus question de comparer l’ancienne et la nouvelle ville, il faut désormais comprendre celle-ci sans pour autant se référer au passé. Si l’évolution mémorielle semble aboutie, il n’en va pas encore de même de la vision des monuments et Brest est trop souvent décrite comme une ville du béton, assimilée d’une certaine façon aux grands ensembles des années 1950-1970.
Ce nouveau Cahier a pour objet de montrer que le matériau mis en œuvre lors de la Reconstruction, mais déjà utilisé avant – on a tendance à l’oublier –, a permis de superbes réalisations. La ville nouvelle a sans doute des défauts mais aussi bien des qualités et elle partage au moins avec le vieux Brest une grande homogénéité.
Yves Coativy – Président de la Société d’Études de Brest et du Léon.
Sommaire complet :
COATIVY Yves – Éditorial
ABILY Gaëlle – Brest labellisée
LE COUÉDIC Daniel – Brest et le béton, un couple à disculper
ELLEOUET Gilbert – Immeubles Art Déco à Brest
CELTON Yann – Autour du béton, un style sacré nouveau est né Brest, 1950-1970
DESCHAMPS Danielle, HOURDIN Maryse, JAOUEN Yvonne et SALAUN Yvette – Construction d’une église en béton moulé à Saint-Marc
HASCOËT André – Entre « cottage » et « caserne », les premières habitations à bon marché de Brest
HASLÉ-LE GALL Brieg – Un triple paquebot de béton… L’Hôpital Augustin Morvan
PAILLER Yves – Le Phénix du boulevard Gambetta
KERSAUSON Rémi de – Freyssinet, un grand nom de la construction
KOSTIOU Jeremi – Les panneaux Michelin des années 1950-1960 dans le Léon
CHAURIS Louis – Dans le nouveau Brest, le béton… tempéré par la pierre
CISSÉ Gérard – Méprise, rendons à César…
et vos rubriques habituelles : Autour du thème, Chronique des fureteurs et curieux, Voir et Lire, Activités de la Société d’Études.
17,5 x 22,5 cm
En vente 25 € à la Librairie indépendante (voir le site) ">Nadoz-Vor au 128 Rue Jean Jaurès – 29200 Brest ou 30 € port compris, à la même adresse.
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