Comme nous l'avions annoncé dès le 23 décembre (voir notre article) le Premier ministre a confirmé aujourd'hui l'abandon du projet de construction d'un aéroport à Notre-Dame-des-Landes en Loire-Atlantique.
Alors qu'une majorité d'élus à la fois dans les Pays-de-Loire et en région Bretagne soutenaient ce projet, alors qu'une consultation locale avait dit oui à 55%, alors que les cours administratives avaient rejeté tous les recours, alors que l'ensemble des entreprises et des grands patrons bretons soutenaient ce projet, alors que des milliers de parents rêvaient de ne plus devoir aller à CDG pour aller voir leur fils ou leur fille expatriés sur un autre continent, alors que l'agriculture intensive bretonne s'effondre et que la Bretagne se reconvertit vers la qualité, bien plus exportable par avion que les productions massives, alors que la Bretagne devient une destination touristique internationale, alors que le candidat Macron avait promis lors de sa campagne électorale qu'il ferait l'aéroport, l'État, sans en être mandaté, s'est substitué aux élus locaux pour couler un projet qui remettait en cause, juste légèrement, l'hégémonie d'une ville sur un pays de 67 millions de personnes.
■Cette citation célèbre de W. Churchill va désormais pouvoir s'appliquer à Macron. Les mesures impopulaires qu'il prenait était compensées par une apparente autorité laissant penser qu'il sait où il va mais là il vient de démontrer qu'il n'a que la peur de perdre son emblématique ministre Hulot. (ça ne vole pas haut)
Pour nous Bretons j'aimerais savoir ce que cet abandon va nous rapporter dans l'ouest breton et pour les environnementalistes ça n’empêchera pas les avions de voler toujours autour de la planète. Les Bretons iront en train à Roissy (à combien d'heures de Brest ou Quimper en TGV ?)
Admettons alors le droit de certains de défendre des zones humides dont on connaît l'importance par le fait que plus de 50% sont déjà détruites. Donnons le droit de certains de vivre tranquilles, éloignés du consumérisme, sur des zones humides qu'ils défendent.
Il faut de tout dans un monde et parfois on a besoin d'un plus petit que soit. Pendant la' dernière guerre, les citadins peu nombreux à l'époque, allaient se ravitailler en campagne. L'aérodrome de Bouguenais en 44 avait été détruit par les Anglais. Et bien bravo si des jeunes s'installent définitivement en agriculture.
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Les élus veulent attirer toujours plus : citoyens, entreprises. On construit. Plus de recettes, . Dans quelles conditions ? Tant pis si on garde les enfants au 5ème devant la télé – une catastrophe-car difficile de les surveiller de là-haut. Tant pis si l'air est pollué par des bouchons dans des rues pas faites pour la circulation. Tant pis si les citoyens passent deux heures par jour dans les transports. Eux résident dans des lieux tranquilles et ont leurs places de parking réservées partout...
JM Ayrault en son temps à Nantes : des bouchons ? Mais c'est à cela qu'on reconnaît une grande ville.
Sur NDDL, je n’ai personnellement jamais émis un avis, une opinion ni aucune certitude économique considérant ce projet depuis que j’en entends « parler », c’est-à-dire, quelques décennies, comme trop sérieux pour n’avoir que des opinions, et ne que se fier à des calculs spéculatifs incertains! Qu'ils soient économiques et de développement, car n’offrant aucune garantie pour « TOUTE » la Bretagne… Comme d'hab!...
ENFIN ! Enfin une décision définitive est tombée du sommet de l’Olympe tricolore ! Non NDDL ne se fera pas (Qui sait ?)... ET ?
Et alors j’entends tous les « surdémocrates » s’agenouiller, la tête couverte de cendres, aux pieds de la déesse Démocratie qu’ils violaient tous les jours et plusieurs fois par jour.
J’entends les « bâtisseurs et entrepreneurs du vide ou/et de l’inutile », les rapaces privés de leur proie, des commentateurs en chasse d’audience, mentir, agonir, commuer une consultation croupion en « RÉFÉNDUM » national, presque universel, et dispenser des discours où les propos haineux ont bien du mal parfois à ne pas le paraître ! Des frustrations d’enfants trépignant d’une colère plus ou moins contenue ! Á qui l’on détruit le cadeau, les rêves égoïstes qui n’ont que des promesses pour gages d’avenir…pour les autres.
Mais, ils ne peuvent plus cacher dans le discours qu’ils ne contrôlent parfois plus ou mal, qu’ils œuvraient à « une région de 9 millions d’habitants », ou pour les PDLL. Puis que c’était seulement pour la Loire Atlantique, et en même temps pour la Vendée, puis encore pour le Grantouest, puis surtout pour Nantes.
Un « vomitorium » à ciel ouvert dans lequel les jets montrent la réalité des menus qui éclaboussent! Et pour le moins laisse à l’observateur à distance du cloaque, une vraie sensation plus que nauséeuse.
La Bretagne quasiment jamais citée, en dehors de Rennes à l’occasion, et de Nantes encore et encore. Un Brest dans la bouche du premier ministre.
En Bretagne quoi de neuf ? La Brittany Ferry où le Prince de Bretagne aidé des actionnaires-paysans bretons basculent dans le renouvellement, le changement d’équipage! Exit pour les marins bretons de la Brittany ? Paysans, Bretons du Léon et d'ailleurs réveillez-vous!
Merci Europe, pour tous ces petits moments !...
Gourvennec? Personnellement j’éviterais de faire parler les morts… Les actes des vivants le font si bien!
Celà pose cependant la question du référendum pour la réunification de la Bretagne. 100 000 signatures doivent être récoltées en Loire-Atlantique , soit 10 % des électeurs 44, pour que ces «messieurs de Paris» puissent ouvrir les prérogatives afin de donner l'autorisation de pouvoir organiser un référendum pour ou contre la réunification de la Bretagne. Nous avons dépassé les 50 000 actuellement. Quand je vois tous ces obstacles à franchir, depuis mon hameau du pays nantais, je pense que que celà va être vraiment difficile d'autant qu'«ils» ne respectent pas le résultat d'une consultation populaire en haut lieu...qu'en pensez-vous ? les anciens.
Soyons positifs, prenons modèle sur les fondateurs du Celib. Vous pouvez compter sur les nantais et cessons de bougonner.
la région Bretagne cité 1fois (à déjà versé 8 millions d'Euros)
va bénéficier de l'agrandissement de Brest (1 million de passagers) et Rennes (675.000 ) dont Vinci est concessionnaire,
La Consultation (voir bulletins de vote) n'est pas un référendum, elle n'a servi qu'à consulter le peu de nantais qui se sont déplacés avec un résultat mi figue-mi raisin.
Le Concorde ne viendra pas à NDDL pour traverser plus vite l'Atlantique et l'Airbus A380 non plus vu qu'ils vont sûrement arrêter les frais personne n'en veut, les compagnies préfèrent des avions plus petits.
La mafia PS « qui n'est plus un parti mais une petite mafia politique avec ses parrains, ses lieutenants, ses exécutants.» (le Parisien dixit Delphine Batho, candidate) de Loire atlantique, Ayrault/Johanna Rolland ne pourra pas se gaver des terrains Nantais pour spéculation foncière, pour la maire c'est "un mauvais coup porté au GrantOuest.
L'ancienne politique des Le Fur, Le Drian, J. Rolland, N. Appéré et autre GrantOuestitis sont affligés d'une grande perte pour leur GranTOuest.
Grand Ouest ...étiquettes, innovation, carte, transport, détection, Grand Ouest Américain ... (dans Google)
ou néologisme ... moitié ouest de la France métropolitaine, relevant de l'Arc atlantique. Cet ensemble territorial de plusieurs régions n'est pas figé et ses multiples définitions sont dues notamment au fait qu'il n'a jamais eu de structure (selon Wikipédia) de Caen à Bordeaux en passant par le centre de l'Hexagone.
il doit sûrement être le futur compagnon du Grand-Est. et de ses habitants les Grand-est ce toi ?
2éme bataille remportée en Bretagne, de Nantes à Brest, par le Peuple en résistance contre les élites et leurs grands projets pharaoniques inutiles comme l'Écotaxe.
Des Fleurs pour nos abeilles et la paysannerie sans pesticides plutôt que que du Béton !
Rappelons une liste de projets industriels planifiés (planification étatique) par Paris qui finissent au mieux à la poubelle et au pire en désastre financier.
- Paquebot France
- Concorde ( période NDDL )
- voiture à 160 km/h type SM sur autoroutes qui partent de Paris.
- ISDN/Minitel.
- Superphenix jusqu'à la réussite Areva.
- TGV (à comparer avec les bus 5 fois moins chers)
Avec 57% de prélèvements (et 1% décentralisé en Bretagne) il faut bien que ça passe quelque part. On trouvera toujours une équipe d'élus/entreprises pour expliquer que c'est prometteur. Les pays autonomes n'ont jamais de grosse infrastructure. La grosse infrastructure est intégrationniste. Les étatiques, socialistes, républicains, jacobins ... vous expliqueront ensuite que vous ne pouvez pas vous en sortir seul.
Je suis déçu par cet article.
Le principal problème de NDDL, c'est que ce projet comme sa décision finale, a été fait SANS les Bretons et SANS la Bretagne (dexit le 1er Ministre français qui parle de Rennes et Nantes comme les 2 villes du Grand Ouest... en effet, il faut retirer bretonnité...)
Vous évoquez les élus bretons, lesquels?
Ceux qui doivent leur carrière à leur parti politique jacobin?
Êtes-vous sûr que le projet NDDL aurait été ressorti des cartons si la Bretagne avait le statut de l’Écosse ou de la Catalogne actuelle ??? (c'est à dire, disposant d'un vrai gouvernement régional, avec un vrai budget et avec des personnes élues sur des programmes de développement bretons et non sur une étiquette politique parisienne...)
En effet (avis personnel), j'imagine sans grande difficulté que les élus bretons auraient privilégiés l'aménagement des voies expresses nord-sud, la modernisation des aéroports existant (voir l'évolution civile de Lann-Bihoue) et la renaissance de nos ports de commerce. (Idem pour la ligne LGV qui a épuisé le faible budget régional et dont se passent bien Irlandais et Danois...)
«NDDL c'est avant tout un projet où les Bretons sont ABSENTS du processus décisionnel, comme le démontre parfaitement la décision finale...» (et ce n'est pas notre verbiage breton qui change ce fait).
On plus entendu José Bové que les Bretons, et je n'ai jamais entendu ce Monsieur dire '' ...je soutiens les Bretons (les opposants) mais je n'ai PAS à m'exprimer à leur place...!'' au contraire, il s'exprime à notre place et cela ne le dérange pas beaucoup...
Il fait comme la République, il considère que les Bretons n'ont pas leur mot sur ce dossier...!
Il est temps que les Bretons (au delà de notre droit au dialogue citoyen et donc aux avis divergents) défendent enfin leur droit à la démocratie pour que les décisions politiques et économiques concernant la Bretagne soient prises EN Bretagne...!
Or pour l'instant, à part se chamailler, les Bretons sont au niveau zéro que cette prise de conscience...
Un cas unique en Europe qui saute aux yeux dès partout ailleurs et en particuliers vers la Corse, la Catalogne et l’Écosse...
Voir le site
Tout est dans le titre : - NDDL : Brest prépare son envol -
Il n'y avait que les élus du Finistère - à commencer par le maire de Brest - pour ne pas avoir voulu voir ou comprendre
l'équation qui était en jeu.
La plupart des Bretons qui étaient contre NDDL ne prenaient jamais l'avion sauf pour de petites vacances au chaud autour de la Méditérrannée au départ de Nantes, Rennes ou même Brest. Très peu prenaient des long courriers et ceux que je connais étaient tous favorables à NNDL car ca touchait leur portefeuille directement meme si l'intercontinentalité de NDDL n'était pas assurée.
A moins que WOW AIR ouvre une ligne BREST-Reyjavick, qui est depuis deux ans un hub vers l'Amerique du nord (et le gouvernement fera tout pour l'en empêcher ) , je pense de plus en plus repartir aux Etats-Unis où j'ai mes enfants et un petit fils. Sans aéroport intercontinental , pour moi, la Bretagne est juste un ploukistan condamné à devenir un immense parc naturel pour les touristes venant du coeur industriel de l'Europe y compris la région parisienne. D'autre part, je n'ai pas les moyens de payer, ni l'énergie, pour des voyages de 24 heures deux fois plus cher et deux fois plus long que pour un Irlandais. je ne suis plus si jeune que ca. Mon dernier voyage en novembre dernier a été presque un fiasco avec l'arrêt du RER vers CDG pour problèmes techniques sur la ligne, donc taxi à 50 euros, (des fois c'est des grèves et byebye your flight), en plus du retard d'une heure de Ouibus. Durée du voyage Quimper-Baltimore (côte Est, je precise) : exactement 24 heures dont 10 heures de OUIbus. En train ? pas directe du tout et comptez 200 euros aller-retour, départ la veille de Quimper, sans compter l'hotel à Roissy, soit plus de 50% en plus du prix minimum du vol. Merci les anti-NDNL.
Mais pour ces/des raisons aux intérêts différents unissant bon nombre de personnes dans un même désir et combat, la seule vision de « l’utilité publique » d’un tel projet, c’est qu’il soit situé de façon satisfaisante pour leur confort personnel. Sans parler et compter des sous projets, politiques, immobiliers…
Ce/un projet qui ne serait que retenu qu’en « raison » de choix de vie et conséquences induites, positives pour les uns et négatives pour les autres, présents ou passés et par des dépendances, affectives, culturelles et politiques (migrations pour diverses raisons, bi-nationalités, mariage mixtes etc…), ne pourrait être retenu !
Pour d’autres au contraire, en raison des nuisances éventuelles se battent pour ce même projet, mais qu’il pour se fasse ailleurs dans le jardin du voisin, ailleurs !…Que et seulement des choix personnels, qu’il est de bon ton de napper d’utilité publique, de développements économiques, incertains, imprécis et aléatoires ! Dont les résultats bénéfiques ne sont jamais acquis.
Á dire vrai, bien au delà des promesses qui ne valent rien, ce qu’en ont dit les uns et les autres ne m’a pas permis, là où ce projet devait se faire, qu’il pouvait avoir une utilité publique pour la Bretagne et les Bretons. Je regardais un spectacle de loin qui ne semblait jamais devoir concerner vraiment, du moins positivement, une majorité de Bretons. Cette fameuse « utilité publique », n’a pas la même utilité partout…Ni pour les plus «intéressés», pour ou contre.
Alors, ces modes de raisonnement aux intérêts autocentrés et masqués souvent, ouvrent, pour ceux qui ne l'auraient pas déjà entamé, de profondes réflexions sur le poids que font peser les éléments de cosmopolitisme humain et la « démondialisation », la désorganisation des sociétés humaines, les racines abandonnées ou rejetées. Considérations limitées à leur seules vies, à celles de quelques uns, qui pour moi, à elles seules (les considérations) justifient que cet aéroport ne se fasse pas, sans plus de certitudes sur son bien fondé supposé…blablabla !
Un aéroport en Bretagne ? Je propose qu’on le fasse à l’Île Longue. Mais je ne suis pas sûr que certains Brestois, mobilisés par le son lointain du trafic aérien couvert par le ronron des automobiles, ne préfèrent plutôt le dangereux silence nucléaire !
… ou militer pour un aéroport à Brest qui leur permette de partir et maugréer contre ceux qui seraient contre, de fuir d’un seul jet, et « djet », vivre auprès de leurs enfants ou petits enfants en Afrique, à la Réunion, aux Marquises à Los Angelès, à Manhattan, à Manille, à Hong Kong, à Santa Barbara, Saint Barth, etc…
Aaaaahh ! Partir quand je veux, partir au soleil…et laisser mes poubelles sur le trottoir ! Oublier mes vieux, mon passé. Le pied !
Puis revenir dans un vase, demander que mes cendres soient dispersées en Mer d’Iroise…un jour ? Non ?
Arrêtons de perdre du temps et de l'énergie.
Il s'agit maintenant de tourner la page et que nous bretons se réunissent pour affronter les défis et les attaques contre la Bretagne.
- Danger d'un «Grand-Ouest» qui est toujours, celui là, dans les cartons de nos «chers» élus locaux. (les mêmes qui étaient pour NDDL)
- Danger sur l'unité judiciaire des 5 départements Bretons.
- demande de reconnaissance de notre langue .
Les Corses ont sus d'une manière démocratique par les obstination et leur union obtenir le pouvoir chez eux,
les bretons seraient-ils plus bêtes pour ne pas y arriver aussi ?
Je trouve votre réponse un peu trop centré sur votre besoin personnel d'autant que NDDL n'est probablement pas la meilleure réponse à ce besoin...
J'ai aussi apprécié de vivre dans une mégapole européenne (Paris) ou avec un simple ticket de métro je pouvais me rendre à l'aéroport pour me rendre de l'autre coté de la planète...
Mais bien que je vivais dans cette mégapole, il m'arrivait souvent que pour ces destinations (de l'autre coté de la planète) que je ne prenne qu'un avion régional dans ce fameux aéroport international parisien pour me rendre dans un autre aéroport international situé dans un autre pays (Heathrow/London) pour y prendre l'avion qui me conduirait de l'autre coté de la planète... c'était d'ailleurs assez fréquent!
Or dans votre cas, prendre un avion à Brest (qui va se développer) pour aller à Heathrow (plus proche de Brest que Paris) me semble relativement raisonnable...
Je doute que les Danois peuvent prendre l'avion à Copenhague pour toutes les villes des USA en vol direct... Ils passent eux aussi par Heathrow ou Frankurt et ne disent pas que le Danemark est un ''Ploucquistan"...
Par contre, au Danemark le réseau routier et maritime est sans comparaison bien plus moderne qu'en Bretagne, tout comme leur économie...
Mais comme déjà dit, le sujet n'est pas là... mais bien dans le fait que les Bretons et la Bretagne ont été sciemment écartés du débat et de la décision... Et si nous sommes ploucs de quelque chose, c'est moins en raison de cet aéroport mais par le fait qu'on laisse d'autres décider pour nous de l'utilisation de notre pays et de notre argent...
spered dieub
Dimanche 7 janvier 2018
TY JEAN a raison quand il parle du temps de trajet des villes de l'ouest Breton à NDDL .En fait le projet de NDDL peut ,peut être tenir la route ou la piste ! dans un concept de rapprochement de Paris à l'est Breton et est un des facteurs qui va favoriser l'émergence de la région grand ouest ,et donc éliminer toute référence à la moindre existence d'une Bretagne politique 'grand rêve des Ayrault et compagnie .Ce projet va à contre sens d'une organisation des infrastructures dans l'organisation de la Bretagne et de son équilibre territorial ,dans ce sens je suis un peu jacobin Breton !!! ,car il va évidemment confirmer définitivement la fracture territoriale avec un est breton qui se tournera prioritairement vers le Maine l'Anjou ,le Poitou,la Normandie et se rapprochera du futur grand Paris .Ensuite comment voyez vous l'avenir de l'ouest Breton ? paradoxalement ce cas de figure pourrait provoquer un mécontentement de la population, favorisant cette fois naturellement la montée d'un sentiment indépendantiste dans le territoire concerné .La solution la plus cohérente serait le développement de l'aéroport de Lann Bihoué assez bien centré dans la perspective d'une Bretagne à cinq départements .(Je parle volontairement d'est et d'ouest de la Bretagne ,car ses limites ne se superposent pas sur celles de la haute et de la basse Bretagne ) Mon analyse se situe également en dehors des éventuels problèmes environnementaux vu que l'on ne ferait que les reporter plus ou moins sur un autre site .
spered dieub
Vendredi 12 janvier 2018
Quoique que l'on pense ,il va falloir se rendre à l'évidence qu'il y a une forte probabilité que le projet de Notre Dame des landes va être abandonné .C'est justement l'occasion opportune pour les politiques et acteurs économiques Bretons de demander de faire étudier en urgence la faisabilité d'un aéroport international à Lann Bihoué ,et si ce n'est pas possible dans un autre endroit, qui serait un bon compromis dans le cadre de la Bretagne à cinq départements