Le mensuel gratuit "La Baule +" de mars 2014 est sorti

Communiqué de presse publié le 4/03/14 10:53 dans Cultures par Gilles Delahaye pour Gilles Delahaye

Mensuel La Baule+ de mars 2014.

La Baule+ de mars 2014. La Une.

La Baule+ (1), le mensuel gratuit bien connu dans la presqu'île guérandaise, de la gare à la boulangerie, en passant par le bureau de tabac, le marché et le cinéma..., vient de sortir, sur papier et en ligne.

En Une l'annonce du long entretien de Louis Melennec avec Yannick Urrien, rédacteur en chef (texte en PDF ci-dessous).

Le docteur Melennec était l'invité de Yannick Urrien sur radio Kernews (2) le mercredi 5 février 2014, pour parler de la nouvelle édition de son Livre Bleu de la Bretagne (3).

1 - (voir le site) de La Baule+,

Tél. 02 40 60 77 41, courriel : redaction@labauleplus.com

Le mensuel est disponible chaque mois en PDF sur le site.

Toutes les archives de La Baule+ depuis 2005 sont en en PDF.

2 - (voir le site) de Radio Kernews, dont Yannick Urrien est le président. On peut l'écouter en ligne en direct et sur 91,5 FM (voir le site) mais non la réécouter en ligne.

8 avenue du Bois d'Amour, 44500 La Baule

02 40 60 91 50

3 - Édité par l'Association Bretonne de Culture, 98 pages, 17 x 11 cm.

(voir le site) pour le résumé du contenu et sur son blog : (voir le site) Sur Breizh info : (voir le site)

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Vos commentaires :

Ronan Badouel IB

Vendredi 22 novembre 2024

Ca va faire du bruit dans Landerneau! Evidemment on ne va pas manquer de dénigrer le bonhomme soit à cause ses accointances politiques passées, soit contre les faits historiques qu'il exhume sans vergogne. Vous allez voir qu'on va l'affubler de tous les maux! Mais il a le courage, lui, de dénoncer et d'afficher tout haut ce que la plupart des militants ou historiens bretons pensent tout bas. Et ne me sortez pas l'argument irrecevable d'identitaire extrémiste! Rien de cela, il s'agit simplement mais urgemment de dire les choses telles qu'elles sont, loin de toute hypocrisie «francophiliste» et confiscatoire. Ouvrons un peu les livres d'heures et les archives qui ont échappé aux incendies ou aux inondations(!) pour comprendre les sinistres réalités.