Le guide du potager bio en Bretagne
Le guide du potager bio en Bretagne vient de sortir en librairie aux éditions Terre vivante.
L'ouvrage a été réalisé par deux passionnées du jardinage bio, Marianne Wroblewski journalise spécialisée en protection de l'environnement et Aourel Cabrera enseignante bilingue issue d'une famille de maraîchers bio et de paysans.
Toutes deux sont originaires du Trégor. C'est le fruit d'un travail d'enquêtes de deux ans et demi que le jardinier bio, amateur ou non retrouvera ici : des conseils de plantation de 48 légumes avec des méthodes d'entretien, de luttes contre les nuisibles, des astuces de conservation. L'intérêt principal de cet ouvrage réside sans doute dans les témoignages concrets qu'apportent quelques jardiniers professionnels et amateurs tout au long des 150 pages du guide. Ainsi le lecteur apprendra par exemple comment on peut cultiver un jardin bio sans serre.
La seconde partie du guide propose un lexique bilingue français-breton des légumes et des variétés bretonnes ainsi qu'un glossaire et une webographie.
A noter que le jardinage bio en Loire-Atlantique n'est pas présent dans l'ouvrage, les auteurs expliquent en effet que l'été est beaucoup plus chaud dans la région de Nantes que dans les 4 autres départements bretons et que par conséquent les conditions de jardinage diffèrent trop.
Le guide du potager bio en Bretagne est en vente au prix de 18 euros dans toutes bonnes librairies et dans les magasins et les structures spécialisés.
■Eh oui, le célèbre micro-climat du 44! Lol alors.
C'est vrai que le climat de Guérande comparé à celui de Pénestin n'a absolument rien à voir. C'est fou ce que les températures peuvent changer d'ailleurs de part et d'autre d'une frontière administrative!
Au moins les auteurs me font rire, bravo à eux pour ça.
Faut arrêter de se foutre de la g***** du monde : soit c'est la flemme de traiter le 44 dans le bouquin, soit c'est un choix délibéré des auteurs - et dans ce cas-là, qu'ils assument leurs opinions sur la question.
Le climat diffère bien entre les côtes ouest et est de l'Écosse ; est-ce une raison pour ne traiter qu'une partie de l'Écosse tout en intitulant son ouvrage «Le guide du potager bio en Écosse»?