Une fois de plus les droits fondamentaux des breton-ne-s d’utiliser leur langue ont été bafoués par l’Etat français et par des responsables politiques breton-ne-s. Le refus de permettre à des parents de donner un prénom breton à leur enfant démontre une nouvelle fois le travail de sape mis en œuvre, au niveau politique, au niveau des services publics du quotidien et même jusque la vie privée des breton-ne-s.
Au cours de ces derniers mois, les exemples illustrant cette situation ne manquent pas : prénoms Fañch et Derc’hen refusés, emplois aidés supprimés mettant en grande difficulté de nombreuses associations travaillant pour ou en langue bretonne, langue bretonne toujours interdite sur les panneaux de signalisation des routes exploitées par l’Etat et ce malgré ce qui était prévu lors de la signature en novembre 2015 par la soi-disante « Convention spécifique pour la transmission des langues de Bretagne et le développement de leur usage dans la vie quotidienne » entre l’Etat et la Région, plainte du préfet de région Bretagne contre des militants de la langue bretonne ayant mené des actions symboliques de démontage de panneaux.
Au niveau de l’ensemble de la Bretagne, seuls 3% des élèves apprennent la langue à l’école sous forme d’un enseignement bilingue dit paritaire ou en immersion (Diwan) alors que cet enseignement devrait être généralisé. La télévision publique ne diffuse toujours que 1h30 d’émissions en breton par semaine depuis près de 20 ans, l’emploi de la langue bretonne à l’écrit comme à l’oral n’est toujours pas permis dans la plupart des services publics (transports en commun, hôpitaux, poste, démarches administratives, médias…), etc.
La tolérance du prénom Derc’hen accordée en fin de compte par un procureur, suite à l’indignation générale du peuple breton, constitue une humiliation supplémentaire car aucune mesure politique de fond n’a été prise. Nous ne pouvons en effet pas accepter que le respect de nos droits fondamentaux tienne au bon vouloir d’un simple fonctionnaire qui considère que seule la langue française a droit de cité en France.
Pendant que nous devons lutter pour défendre des maigres acquis obtenus quelques années auparavant, la situation de la langue bretonne continue à stagner, dans de nombreux domaines, ce qui l’amènera petit à petit à sa perte, si des décisions politiques fortes ne sont par prises par l’Etat et les collectivités territoriales bretonnes au premier rang desquelles la région. En effet, la langue bretonne est toujours classée en sérieux danger d’extinction par l’UNESCO. Cela n’empêche nullement, par ailleurs, le gouvernement de promouvoir le plurilinguisme… à l’étranger seulement bien entendu !
Face à ces constats, il relève du devoir de l’ensemble des Breton-ne-s, des élu-e-s et des services des collectivités territoriales, des associations, des partis politiques, des entreprises, de se mobiliser pour permettre à l’un des éléments fondamentaux de la Bretagne, la langue bretonne, de vivre. Car au-delà d’une composante essentielle de notre pays, c’est d’un trésor de l’humanité dont il s’agit. Chacun doit donc faire sa part et l’Etat doit accorder un statut officiel à la langue bretonne en Bretagne.
Malgré les menaces et la plainte toujours en cours du préfet de région, et car nous savons la légitimité de notre combat, nous avons donc décidé de prendre notre responsabilité et de mener une nouvelle action symbolique en démontant des dizaines de panneaux de signalisation méprisant la langue bretonne, de façon simultanée sur 10 tronçons de voies express en Bretagne (secteurs de Sant-Brieg, Gwengamp, Montroulez, Brest, Kreiz-Breizh, Kemper, Kemperle, An Oriant, An Alre, Gwened).
Nous affirmons une nouvelle fois que ces actions continueront tant qu’il ne sera pas accordé à la langue bretonne, la même place que celle accordée à la langue française en Bretagne. En un mot, à l'instar du français qui est langue officielle au Québec, du gallois au Pays de Galles ou du galicien en Galice, la langue bretonne doit enfin être officielle en Bretagne, la langue Corse en Corse et la langue Basque au Pays Basque !
■Actions illégitimes ? Alors là : non, trois fois non ! Elles sont tout au contraire parfaitement légitimes au regard du sort fait ici aux langues historiques, qui est en totale contradiction avec les textes internationaux concernant les droits des minorités. Quand l'enseignement d'une langue se limite à 3% des jeunes concernés, on s'achemine inexorablement vers l'extinction délibérée de ce patrimoine irremplaçable, ce qui est une attaque aux droits fondamentaux dont on prétend par ailleurs être le champion !
Comme beaucoup de Bretons conscients de leurs origines et de leurs droits imprescriptibles, à défaut d'avancée par la voie démocratique normale, j'approuve donc les actions d'Aïta, tant bien entendu qu'elles restent dans le cadre non-violent stipulé par la présentation.
Et surtout, je n'oublie pas que si une «association de résistants culturels bénévoles» en arrive à prendre des risques personnels pour des actions de ce type, c'est non seulement en raison de l'absolutisme linguistique archaïque de l'Etat Nation républicain, mais bien aussi à cause du manque d'engagement global des élus politiques et culturels de Bretagne - élus et rémunérés par les Bretons eux-mêmes - sur ce dossier fondamental.
Tout aussi fondamental que l'est celui de l'absence d'enseignement de l'Histoire régionale, «négationisme sournois» ayant pour but et pour effet d'effacer des jeunes esprits la vérité de leurs origines et la conscience d'eux-mêmes pour y substituer d'autres références comme dans tout schéma colonial classique que fustigent pourtant abondamment nos beaux esprits, à condition que ce soit aux antipodes et non dans la région voisine !
Je propose que les panneaux de signalisation soient écris en deux langues: le breton et l'anglais (et puis cela sera bon pour le tourisme, les touristes y verront de l'exotisme et en plus comprendront ...) :-)
Quant à un affichage breton-anglais c'est un peu pour montrer au français ce que pourrait être l'avenir.
Également en accord avec l'aparté de Nikolaz ar Miliner.
Il y a une contradiction forte à lutter contre une dictature de pensée tout en se soumettant à une autre dictature de pensée, 2 dictatures qui a la base partage une origine commune.
En Bretagne qu'on soit pour l'égalité homme-femme c'est une évidence et les siècles (millénaires) passés le démontre, mais plutôt que de se soumettre au nouveau marqueur identitaire de l'extrême gauche bobo-parisienne (qui copie l'extrême gauche californienne) ne serait-il pas mieux que les écoles que vous citez (la première étant Diwan) enseigne cette tradition culturelle bretonne/celtique?
Hors Diwan est connu pour ne PAS enseigner aux enfants NI l'histoire NI la tradition bretonne, elle n'enseigne donc PAS cette tradition d'égalité mais comme vous elle se soumette volontiers à la mode identitaire de la gauche et de l’extrême-gauche Française qui fait que les familles bobo sont sur-représentées (un repoussoir vers le plus grand nombre, raison probable pour laquelle la croissance des effectifs de Diwan est actuellement au point mort).
Oui, il est temps que le mouvement breton comprenne que défendre la Bretagne doit être un mouvement neutre et rassembleur et non un vecteur à un extrémisme de gauche que rejette la majorité de la population. Si la Bretagne est l'unique nation sans état d'Europe où rien ne bouge, actuellement la raison est plus à rechercher chez les Bretons que chez le colonisateur.
En espérant être entendu et compris... je vous renouvelle mes félicitions pour votre opération.
C'est clair qu'il existe dans le mouvement breton un écart de vision, non seulement entre membres du mouvement breton mais aussi avec l'ensemble de la population.
D'un coté, il y a les personnes comme vous qui ne voit la Bretagne comme un territoire d'expérimentation d'un socialisme internationaliste qui passe par une évolution à marche forcée de la société pour correspondre à vos idées... Il s'agit pour l'essentielle d'une minorité qui souhaite imposer à une majorité sa manière de pensée au nom de l'humanisme, de l'internationalisme, du Républicanisme, du progressisme, de l'égalité sociale et que sais-je encore... les bonnes raisons de manquent pas et il y en a toujours de nouvelles comme aujourd'hui l'égalité femme-homme..
Et de l'autre, il y a des personnes qui estiment que l'ensemble des sensibilités de la population doivent être respectées, qu'il n'est pas question de vouloir changer la population pour correspondre à un modèle et donc que la population est souveraine... on en vient rapidement à des notions de démocratie, de pouvoir du peuple par le peuple pour le peuple, etc...
Le socialisme que vous nommez ''progressisme'' est de plus en plus en échec au sein des populations européennes/occidentales qui n'acceptent plus qu'une minorité (souvent en lien avec l'oligarchie) impose sa volonté et la manière de voter (on entent souvent que les gens ont mal voté, dernièrement c'était les Catalans du fait du vote nationaliste...).
Le mouvement breton est faible car il a préféré la soumission idéologique au respect du peuple... En Bretagne, il n'y pas pas d'équivalent au SNP écossais / Républicain Catalan (Social-Démocrate) ni d'équivalent au PeDECAT (droite libérale) qui sont des courants rassembleurs mais considérés par le mouvement breton comme non compatibles (pour ne dire que cela...)... Or ce sont bien ces courants qui aujourd'hui sont porteurs d'espoir et non le progressisme absolutiste...
Vous le dites vous même, «Je préfère me détourner de l'idée d'une Bretagne maîtresse de son destin si les acteurs de cette émancipation vous ressemblent....»
=> C'est donc que si les Bretons ne pensent pas comme vous et que vous ne pouvez pas imposer vos idées, vous n'êtes plus disposé à accepter la démocratie... et vous préférez un totalitarisme conforme à vos idées...!
(Exemple de totalitarisme actuel de la France imparfaite qui vous convient : la réforme territoriale, l'interdiction de la langue, des prénoms et d'une démocratie territoriale, NDDL, mais aussi l'écriture inclusive imposée ou les programmes scolaires intégrant des idéologies non acceptés par les parents, etc...).
Les gens qui hier s'exclamaient : ''il est interdit d'interdire...!'' nous disent aujourd'hui : ''' Il n'est de bonnes manières de penser que ce qui est autorisé par ceux qui on le droit de penser...!''
Quelle évolution!
Comme le sujet initial est l'écriture inclusive (soit disant porteur d'une égalité femme-homme), il est normal pour des Bretons (qui sont les héritiers d'une tradition d'égalité plus que millénaire en ce domaine) de s'étonner que cet aspect traditionnel/culturel soit occulté mais qu'à l'inverse on impose à la population un principe non débattu démocratiquement et qui agit pour l'essentiel comme marqueur identitaire d'un segment politique extrémiste minoritaire en plein effondrement...
Je suis désolé pour vous, mais qui en Bretagne à part la gauche républicaine et l’extrême gauche tente d'imposer ce concept?
Or Aï'ta a une mission autrement plus importante que de faire la promotion des marqueurs identitaires d'une certaine gauche politique!
«Si vraiment l'égalité femme-homme était l'objet réel, la logique semble plutôt aller dans le sens d'enseigner à nouveau la tradition bretonne en la matière...» mais ce n'est pas le cas... donc force est de constater que seul le marqueur identitaire politique est mis en avant... et ça, les gens (l'ensemble de la population) en a RAZ LE BOL (d'où la faible popularité du mouvement breton)!
Alors si vous n'aimez pas les 4,6 millions de Bretons au point de vouloir nous quitter, il serait peu respectueux de vouloir vous retenir!
Vous me jugez et m’attribuez des pensées sans me connaître.
Car, à l'inverse de ce que vous faites, je n'étale pas des obsessions, des vomissures psycho-rigides plusieurs fois par semaines sur ce site.
Vous me connaissez donc bien moins que je vous connais, car vous, vous révélez aux lecteurs chaque semaine. Au moins par vos prises de position et votre vocabulaire redondant.
Vous ne connaissez rien de ma position sur les mouvements d'émancipation des Catalans, des Corses et des Écossais.
Vous osez m'enlevez mon point de vue ou plutôt m'attribuez autoritairement une opinion indiscutable et définitive sur l'interdiction brutale de la langue bretonne qui m'a pourtant traumatisé, sur la censure des prénoms bretons, sur l’infâme réforme territoriale imposée par les socialistes français.
Sottement, vous me collez même une adhésion à l'écriture inclusive ! Là, je me marre carrément !
Certes, je me réjouis de l'abandon courageux du projet de l'aéroport de NDDL et je vais aller, samedi prochain, faire la fête avec les paysans qui travaillent sur la ZAD.
Mais pour le reste, vous vous gourez lamentablement...
Vous ne savez pas si je suis « socialiste » au sens politique français du terme.
Vous ne savez pas davantage si je suis véritablement républicain.
Vous me reprochez un manque de respect du peuple et de la démocratie et c'est vous, parce que je pense différemment que vous et m'appuie sur un socle de valeurs humanistes, qui me condamnez à l'exil. Vous m'écrivez : « Alors si vous n'aimez pas les 4,6 millions de Bretons au point de vouloir nous quitter, il serait peu respectueux de vouloir vous retenir!« - comme si les presque cinq millions de Bretons adhéraient à votre idéologie nauséabonde! Et que j'étais condamné par l'ensemble de la population! C'est du pur délire...
Sachez que tous les adjectifs que vous me collez sur le dos, tous les étiquettes dont vous me dotez, je vous les renvoie.
A mon humble avis, c'est vous l’extrémiste. Qui plus est, réactionnaire et arriéré.
C'est vous qui, en m'excluant du territoire breton, « préférez un totalitarisme conforme à vos idées ».
C'est vous, le totalitaire, allant m'intimer de quitter définitivement la Bretagne parce que je ne pense pas comme vous
et que vos prises de positions me choquent.
Encore une fois, vous vomissez comme dans chacun de vos posts, cette fois dans votre réponse, les termes obsessionnels d’ « extrême gauche », d’ « extrémisme minoritaire »... Vous êtes décidément indécrottable ! Et pitoyable.
Vous croyez « représenter les Bretons ». Je pouffe !
Heureusement que vous vous égarez et que la haine qui vous rend aveugle vous fourvoie.
Certes, l'alignement des Bretons, aux élections de des dernières décennies sur le Parti Socialiste ou tout dernièrement le mouvement macroniste sont à déplorer. Car la trahison est au bout de chaque vote.
Mais les gens comme vous seraient carrément dangereux pour nous, pour notre démocratie, pour notre vivre ensemble en Bretagne d'abord, en Europe ensuite et, bien sûr sur la planète.
Heureusement que l'idéologie que vous représentez est, en fait, largement rejetée par les Bretons
que vous pouvez alors qualifier d'extrème-gauchistes, de bobos écolos humanistes et progressistes.
Venant de vous, c'est un honneur.
Le souci, c'est que vos prises de position personnelles et celles de la franche « réac » d'une ( j'espère toute petite) partie du mouvement breton qui vous ressemble, servent de repoussoir à l'immense majorité des Bretons d'aujourd'hui. C'est à des personnes comme vous que vous devez attribuer « la faible popularité du mouvement breton». C'est en partie à cause de gens comme vous que de pourtant jolis mots comme « autonomiste », « fédéraliste », même « indépendantiste » sont des insultes dans la plupart des bouches bretonnes.
Parce qu'ils renvoient, hélas, à des gens comme vous dont les Bretons pressentent l' « arrièrisme » et la dangerosité.
Malgré tout, je vais encore davantage m'investir pour la Bretagne et pour nous, Bretons.
Mais pas avec vous. Car nous n'avons, décidément, pas les mêmes valeurs.
Et j'essaierai de démontrer que le mouvement breton, dans sa majorité, ne vous ressemble pas.
Ne dalv ket 'r boan adlâret pe adskriv oc'hpenn tra ha sotonioù evel ma skrivit bemdeiz pe 'gozig. Ne respontin ket. Ite missa est.
Mon cher Monsieur, je n'ai jamais prétendu représenter l'ensemble de la population mais je revendique le droit de m'exprimer, moi comme à toute personne et quelque soit les idées.
Or vous avez visiblement une difficulté radicale face aux idées qui ne sont pas les vôtres... et vous vous autorisez à l'emploi de certains termes bien spécifiques que vous utilisez sous forme d'insultes.
Pouvez-vous me dire quel pourcentage de la population utilise encore de nos jours les termes «réac» et «réactionnaire» comme vous le faites?
Pouvez-vous me dire quel pourcentage de la population qualifie de «vomissure» et s'autorise à parler «d'aveuglement» pour un avis différent du sien?
Allez, je dirai 1,5 à 3% de la population... surtout dites moi si je me trompe!
Là aussi on peut raisonnablement parler de marque identitaire d'une certaine gauche politique.
Oui, je dis ''gauche'' car sauf erreur de ma part, ceux qui s'expriment comme vous s'en revendique.... (du moins, jusqu'à présent car la roue a visiblement tournée).
Mon cher Monsieur, nous ne sommes plus dans les années 60... mais en 2018... juste pour repositionnez votre curseur du terme ''arriéré''...
Malheureusement, cette qualité d' EXCLURE les «insupportables réactionnaires» (il y a peu on utilisait un autre mot) est largement présente au sein du mouvement breton... C'est une réalité rappelé par C.Guyonvac'h lors de son dialogue avec son ami Corse, un ami qui bien que positionné à gauche a tenu à faire part publiquement de son désaccord profond avec cette manière d'agir en la décrivant comme la meilleure manière de n'obtenir aucun résultat.
Mais vous qui êtes si éclairé (vu que vous n'êtes pas ''aveuglé'' contrairement à moi), pouvez-vous nous dire pourquoi le mouvement breton si ''humaniste«, si »progressiste«, si ''tout plein de belles qualités» est l'unique mouvement en Europe à ne pas réussir à convaincre la population???
J'avoue n'avoir aucune difficulté à préférer le coté des réactionnaires (selon l'utilisation de ce mot qui est la votre) que de m'afficher du coté des dictateurs de la pensée...
Le plus amusant c'est que vous n'assumez pas votre positionnent d'extrême gauche, vous n'assumez même pas le mot socialisme... c'est bien que votre monde est en train de s'effondrer... (suffit de voir la déconfiture de l'extrême gauche catalane, pourtant si souvent invitée en Bretagne... bien oui, en Bretagne le mouvement breton invite peu les libéraux du PeDeCAT...)
Pour terminez, NON je ne vous ai pas condamné à l'exil j'ai seulement repris votre souhait de quitter la Bretagne (si les Bretons avaient des idées différentes des vôtres) et considérez qu'il ne faillait pas vous dissuadez dans votre démarche... Donc je respecte votre volonté et vous faire une virevolte pour vous posez en victime de la répression... Quoi dire...?!
Bon, je vais arrêter cet échange car toute personne qui a une fois discuté avec une personne d'extrême gauche sait que le dialogue est impossible... c'est tellement impossible que même entre vous vous finissez par vous mangez le nez car il vous faut toujours un déviant à condamner...
La bonne nouvelle, comme déjà évoquée, c'est que la page du socialisme et de la pensée unique autorisée est en train d'être tournée...!
A l'évidence cela prendra un peu plus de temps dans le mouvement breton, mais il faut rester optimiste... car la Bretagne, cela n'a pas toujours été cela...!
Et ce jour-là les cicatrices se refermant, j'espère que les citoyens bretons prendront enfin confiance dans le mouvement breton... suivant en cela ce qui se passe partout en Europe autour de nous...!
Ce jour-là peut-être vous quitterez la Bretagne pour la France progressiste (?) selon votre souhait!
Peut-être pourriez vous même trouvez un public pour vous présentez comme dissident en exil, victime de quelque chose... Donc, tout ira bien... et tout le monde sera heureux!