Jean-Yves Cozan est parti, le vieux lion qui se battait «contre un État de droit qui met en place des injustices»
Jusqu'au bout, il a continué avec la même conviction, la même pugnacité.
De droite ou de gauche, les communes n'étaient pas très favorables à l'implantation d'écoles Diwan. Alors, il arrivait avec son flegme presque britannique, et les choses impossibles devenaient simples. Être soi-même, Sinn Fein !
Kenavo Jean-Yves !
Obsèques ce jeudi 15h00 à la cathédrale St Corentin de Quimper.
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