Gilles Servat et les brutalités policières lors des grèves de Fougères

Compte rendu publié le 9/02/13 21:44 dans Politique par Fanny Chauffin pour Fanny Chauffin
Sans_titre.flv

Moment magique du festival : Servat revisite des chansons qu'on avait à tort oubliées.

Il est venu en ami, pour chanter trois chansons. Il avait prévu des titres de son dernier album. Après «na gousk ket», berceuse pour un peuple endormi, il a préféré reprendre, vue la tonalité de la soirée, des chansons qu'il avait composées dans les années 70/80 mais qui n'ont rien perdu de leur actualité.

Fervente, la salle reprend avec lui, quand on vous dit qu'il n'y a rien de plus fort que la douceur...


Vos commentaires :

Anti-spam : Combien font 8 multiplié par 1 ?