Moment magique du festival : Servat revisite des chansons qu'on avait à tort oubliées.
Il est venu en ami, pour chanter trois chansons. Il avait prévu des titres de son dernier album. Après «na gousk ket», berceuse pour un peuple endormi, il a préféré reprendre, vue la tonalité de la soirée, des chansons qu'il avait composées dans les années 70/80 mais qui n'ont rien perdu de leur actualité.
Fervente, la salle reprend avec lui, quand on vous dit qu'il n'y a rien de plus fort que la douceur...
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