Erik Menneteau, le onzième et dernier chanteur sur la scène de Taol Kurun

Souriant, le badge de Notre Dame des Landes sur la chemise, voici le jeune chanteur avec une chanson ancienne...

Pas si ancienne que ça en fait : une femme blessée de coups de couteaux par son mari, dit qu'elle est tombée d'une échelle sur des morceaux de viande... Et c'est son fils de deux mois qui va prévenir les gendarmes.

Aujourd'hui les femmes disent qu'elles sont tombées dans l'escalier. L'histoire n'est pas finie...

Erik Menneteau fait partie de la génération des jeunes chanteurs qui aiment explorer un répertoire ancien, le frotter à d'autres musiques comme dans Badume's band. Il a sorti récemment un très beau CD avec Yann Fañch Kemener et la création les «Brithoniques» a été jouée en 2013, sur la scène de Taol Kurun aussi. Et ici, comme il était le onzième chanteur à passer sur scène, il allait clore le spectacle des vingt ans du festival, il lançait en riant «me zo an hini diwezhañ !».