Le Parlement français a rejeté les différents amendements visant à la prise en compte du caractère inéquitable de cette taxe transport qui va peser lourd sur l'économie bretonne spécifiquement visée, puisque la Bretagne devra payer à elle seule près de 15 % de cette taxe (soit 3 fois son poids économique relatif).
La France s'est avérée – une fois de plus - incapable de prendre en compte les spécificités bretonnes et d'être à l'écoute des acteurs professionnels bretons.
La France démontre à nouveau son incapacité à penser et à vivre la diversité – ce qui est un véritable handicap dans un monde globalisé - et ce malgré les propos du président de la République française appelant à appréhender la diversité territoriale.
Le Parti Breton note également que nos 36 députés ont été incapables de sortir du jeu politicien français et n'ont pas montré de front commun dans l'intérêt des Bretons à cette occasion.
Pour le Parti Breton, cet épisode dramatique pour l'économie bretonne démontre une fois de plus la nécessité d'une émancipation de la Bretagne notamment sur le plan fiscal et législatif.
Le Parti Breton soutient l'action des entreprises bretonnes à La Gravelle, le 4 février 2009 et appelle les Bretons et les Bretonnes à les soutenir pour combattre une fragilisation programmée de l'économie bretonne.
Pour le Parti Breton, le président Gérard Olliéric
Voir aussi (voir notre article)
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