Par communiqué de presse, l'Association citoyenne pour la réalisation de l'aéroport de Nantes (ACIPRAN), qui prétend avoir 1 000 adhérents et 3 000 sympathisants, déclare qu'elle ne comprend pas qu'à l'occasion des rencontres nationales des élu(e)s municipaux écologistes (16 -17 février) qu'elle ne sera pas reçue par les autorités de Nantes, le 15 février, à 14 h 30, en même temps que les opposants.
Elle estime que le débat ne se devrait pas se dérouler qu'en vase clos et ne concerner que les opposants à l'aéroport.
L'ACIPRAN qui s'était mise en sommeil en 2005 a été réactivée en novembre 2012 lors de l'établissement du camp retranché à Notre-Dame-des-Landes.
Le président de l'ACIPRAN est Alain Mustière, ancien président du Conseil économique, social et environnemental de la Région Pays-de-la-Loire, propriétaire de plusieurs concessions automobiles.
Il préside aussi l'association pour l'interconnexion TGV Sud (création d'une gare TGV à Orly), laquelle est parfois présentée comme une alternative au développement des plateformes aériennes de l'Ouest.
Les scénarios étudiés sont chiffrés de 1,4 à 3,3 milliards ¤
Il a affronté, autrefois, Jean-Marc Ayrault, lors des élections à Saint-Herblain.
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