Après une âpre lutte pour faire taire les rumeurs diffamatoires, suite à une campagne de débaptisations de noms de lieux publics (voir le site) menée par Bemdez en guise de miroir brandi à la face des détracteurs de Polig Monjarret, nom humblement et logiquement choisi pour ce collège par le mairie de Plescop, des panneaux de signalisation validant l'appellation du futur collège (photographies en pièces jointes) sont apparus devant les bâtiments en construction.
Cette bonne nouvelle intervient alors même que les relais de la poignée d'individus ayant tenté de salir la mémoire de Polig Monjarret se sont murés dans un profond silence pour les uns ou ont entamé leur mea culpa pour les autres.
Gardons en mémoire les organisations politiques qui n'ont pas démenti leurs propos : des représentants du NPA et du Front de Gauche en Bretagne, conduits respectivement par Philippe Poutou et Jean-Luc Mélenchon, dans la même mouvance La Libre Pensée, des associations d'Anciens Combattants et surtout le groupe d'opposition au conseil municipal de Plescop, représenté par Cyril Jan.
Si le Conseil général n'a pas officiellement tranché sur le choix du nom du “Général des Bagadoù”, cette nomination s'est largement répandue dans la population, certains la revendiquant par attachement à la culture bretonne, d'autres par simple ironie face à l'absurdité de la polémique.
L'anti-Bretagne n'aura pas eu raison de la dignité des Bretons. A travers l'oeuvre de Polig Monjarret, c'est le combat d'un peuple, une lutte universelle, se levant pour le droit de vivre, de travailler au pays et de s'épanouir dans sa culture.
Pour Bemdez, Bertrand Deléon