Bretagne : la chaîne logistique de tous les possibles

Communiqué de presse publié le 23/03/18 4:52 dans par pour

Par la mer, la route, le rail, et avec l’appui d’outils numériques des plus innovants : en Bretagne, terre maritime et péninsulaire, les acteurs du transport et de la logistique (90 000 emplois) ont développé une chaîne logistique intégrée et performante, adaptée aux besoins des entreprises : service conteneur au départ de Brest, transport combiné rail-route entre Rennes et Lyon, livraison mutualisée vers les plates-formes GMS, logistique du e.commerce, transition énergétique du transport routier… C’est cette offre multimodale que la Bretagne, ses ports de commerce, ses entreprises et prestataires de services présentent à la SITL 2018.

Brest, Lorient et Saint-Malo jouent la complémentarité

Le système logistique régional s’appuie en Bretagne sur trois places fortes maritimes : les ports de Brest, Lorient et Saint-Malo. Chacun avec leurs spécificités, ils constituent un maillon essentiel de cette « supply chain » à la bretonne. Tous trois seront présents à Paris-Villepinte.

Une offre logistique de services innovants

En matière d’infrastructures, la Bretagne dispose aussi d’un réseau routier et ferroviaire autour duquel se sont déployés des services innovants : ils permettent aujourd’hui de proposer une offre logistique intégrée qui peut séduire les acteurs nationaux et internationaux.

Un plan logistique breton

La Bretagne s'est dotée d'un plan logistique régional pour faire évoluer le système logistique breton au service des entreprises.Consciente de la nécessité pour les entreprises bretonnes de disposer d’outils performants pour développer leurs échanges commerciaux, la Région accompagne cet écosystème logistique (90 000 emplois en Bretagne), en misant sur la montée en compétitivité des trois ports de commerce dont elle est propriétaire

La Région Bretagne en visite au salon 2018

Pierre Karleskind, vice-président à la mer & aux infrastructures portuaires, et Gérard Lahellec, vice-président aux transports & mobilités, se rendront sur le salon le 21 mars. L’occasion de :

  • Faire un point d’étape sur le service combiné rail-route Rennes-Lyon (associant Naviland Cargo, Lahaye Global Logistics et la Région Bretagne) un an après le redémarrage,

  • Echanger sur l’offre logistique « conteneurs » au départ du port de Brest (qui associe la CCI, le groupe chinois Synutra et la Région),

  • Présenter la nouvelle offre logistique « export céréales » au départ de Lorient, (associant la CCI, le groupe agro-alimentaire Triskalia, Maritime Kuhn et la Région),

  • Participer à un atelier sur le déploiement de la filière GNV, animé par le cluster Bretagne supply chain.

  • Egalement au programme : une rencontre avec Jean-Jacques le Hénaff, pour le GIE Chargeurs Pointe de Bretagne et des échanges avec les exposants du numérique autour du e-commerce et de la traçabilité des camions et des colis.

Ce comminiqué est paru sur Région Bretagne (voir le site)


Vos commentaires :
Loïc. L
Dimanche 22 décembre 2024
Belle action pour la Bretagne. Continuerpourz son développement économique et rester dans le la ligne de ce qui a fait sa richesse, les transports (maritimes) et maintenant en vivant avec son temps.
Mais: « trois places fortes maritimes : les ports de Brest, Lorient et Saint-Malo. »
Et Nantes Saint Nazaire alors? Un article paru récemment cite que la région déploie des moyens financiers pour de la communication dans le but de rattacher la Loire Atlantique administrativement. Il faudrait d'abord par inclure Nantes et Saint Nazaire dans vos discours sur la Bretagne!!!! Sinon les annonces précédentes ne sont que des effets d'annonce, sans réelle volonté.

jo charruau
Dimanche 22 décembre 2024
Habitant un village breton en Loire-Atlantique, je suis surpris de ce genre de discours qui sent le renfermé. Je suis d'accord avec Loïc L . Ignorer le port de Nantes-Saint Nazaire, je ne comprends plus. Qui fait le porte-parole de cette région tronquée : un fonctionnaire ? un élu ? . La Bretagne , c'est toujours cinq départements. Vous contribuez, mine de rien, à construire le mur Redon- Châteaubriand. Ce que ne veulent pas les nantais dans leur majorité. Eh oui ,il y a une majorité silencieuse 44 qu'on écoute même pas y compris quand elle est consultée ( vote nddl ). Nous devons revenir vite à l'esprit des fondateurs du Celib. Place aux entrepreneurs et autres innovateurs.

spered dieub
Dimanche 22 décembre 2024
D'accord avec vous Loïc ,vous faites de la critique constructive ,et non pas comme certains de ce site ,qui par dogmatisme dénigrent gratuitement notre seule instance représentative des Bretons .Par contre je me demande s'ils seraient aussi audacieux devant une population bretonne lambda ?

Paul Chérel
Dimanche 22 décembre 2024
@esprit libre. Je ne sais pas exactement QUI est visé par ce dénigrement de NOTRE SEULE instance représentative. Entre les deux commentaires de @Loïc.L et @Jo Charruau, que j'approuve, je préfère le deuxième plus direct. Comme instance représentative, on peut certainement faire mieux que ce CRB4. Les Etats généraux, du temps de la monarchie, étaient certainement mieux porteurs de la voix du peuple que lui. Et ce seul oubli courtisan (lèche-bottes dit-on maintenant) des activités maritimes du 44 en est la triste démonstration. Paul Chérel

Emilie Le Berre
Dimanche 22 décembre 2024
S'il est évident que Bretagne et maritime vont de paire, il est tout aussi évident que la région amputée de la Loire-Atlantique ne peut avoir Bretagne dans son intitulé. La région Bretagne région administrative de Rennes unijambiste vient nous parler de mobilité (sic!).
Ma longue expérience dans le monde industriel m'a montrée que lorsqu'on parle de «montée en compétitivité» cela cache une diminution des emplois remplacés par de l'automatisation. L'intelligence artificielle, sujet d'actualité depuis plusieurs mois, est particulièrement développée dans le monde de la logistique.
La force de la Bretagne est son maillage de petites et moyenne villes, c'est dans ce maillage que doivent s'organiser les flux terrestres, maritimes et aériens de demain et non pas de métropôle à métropôle.

Fañch
Dimanche 22 décembre 2024
La région couchée qui veut prendre des parts dans l'entreprise Doux
aurait pu prendre des parts dans les chantiers de St Nazaire, industrie essentielle en Bretagne,n'ayant qu'autour d'elle que des Mers et un voisin endetté de 2.400 milliards, exemple à ne pas suivre !

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