Quand on regarde les manifestations des Catalans comme celle de Girone (vidéo) lundi dernier, on ne voit que des drapeaux catalans, une marée de drapeaux catalans et on n'entend que l'hymne national catalan. Ni drapeaux rouges, ni acronymes de confédérations syndicales, ni bannières de la Esquerra Republicana de Catalunya (ERC) ou de la droite indépendantiste catalane Convergencia ou de n'importe quel autre parti. Le mouvement indépendantiste catalan est vigoureusement pacifiste et unitaire. Ce sont ces deux composantes qui font sa force.
Les Catalans ont fait l'unité des libéraux jusqu'aux sociaux démocrates et même l'extrême gauche anti-capitaliste ! Le point commun ? l'indépendance. Seule l'extrême droite est exclue, elle n'existe d'ailleurs plus en Catalogne suite aux immenses sévices perpétrés par le Franquisme contre les Catalans à la fin de la guerre civile et même après --une guerre qui fut avant tout une guerre contre la Catalogne et contre le Pays Basque soutenus par leurs amis espagnols républicains, qui, cette fois, étaient du côté de la loi et de la constitution. Une guerre menée par l'armée espagnole contre une partie du peuple, en fait contre des peuples. Pour rappel, Franco est arrivé au pouvoir surtout suite à la déclaration d'indépendance de la Catalogne en 1934. Ce sont les nationalistes espagnols qui ont mis Franco au pouvoir principalement pour récupérer de force la Catalogne que la République avait laissée avec une très large autonomie. Le Franquisme fut principalement la négation des nations basques et catalanes. Les idéologies des deux côtés ne furent que le décor de conflits nationaux. Si le franquisme est un négationnisme, le discours de Felipe VI mardi dernier est franquiste puisque tout autant négationniste. Le franquisme est un jacobinisme espagnol qui n'a pas réussi et qui ne pourra jamais réussir car non seulement la somme des nations périphériques de la péninsule ibérique est bien trop forte mais l'histoire va toujours dans le sens de la liberté des peuples. Pour finir, Mitterrand semble avoir tout faux : ce n'est pas le nationalisme qui mène à la guerre mais la négation des droits des autres nations. Ce n'est pas la même chose.
A l'opposé, en Bretagne, on n'arrive à rien. 50 ans de manifestations à Nantes pour la réunification n'ont abouti à rien. Le mouvement nationaliste breton est tellement faible, voire moribond, même si convulsé parfois par des spasmes genre Bonnets Rouges, que l'Etat s'apprête même à supprimer la dernière relique de la Bretagne historique à cinq départements : la carte judiciaire. Pourquoi se gênerait t-il ? Les Bretons sont incapables de laisser leurs convictions, leur idéologie ou leur religion à la maison pour présenter un front commun. Lors de son discours d'acceptation de son Collier de l'hermine en 2011, l'avocat Yann Choucq en avait fait le centre de son message. Il observait que «Les Bretons sont pour la Bretagne mais toujours aussi pour autre chose.» et qu'il fallait «Se rassembler pour porter d'une voix commune l'affirmation de notre existence en tant que peuple».
A l'extrême gauche, on a ceux qui veulent une Bretagne anticapitaliste, ceux qui veulent «l'indépendance ET le socialisme», et ça comprend aussi l'UDB qui est pour l'autonomie ET le socialisme. Que le reste de la planète ait choisi le capitalisme entrepreneurial ne les dérange pas le moindre du monde car ils se sentent plus intelligents que la masse des mortels. Que partout dans le monde les conflits soient des luttes pour les droits fondamentaux de peuples opprimés ou colonisés, ou pour l'indépendance de nations sans états comme les Kurdes, ne les dérangent pas tant que ça. Ils arrivent toujours à faire entrer l'actualité dans le moule de leur idéologie de lutte des classes même s'ils doivent déformer la réalité de toutes leurs forces pour la marxiser. Ça devient grotesque. Je me suis toujours demandé comment les marxistes pouvaient voir une guerre de classe entre Sunnites et Chiites ? Comment ils faisaient entrer le terrorisme islamiste dans leur matérialisme historique. Le pire c'est que l'extrême gauche française depuis la Révolution nie l'existence de minorités nationales sur le territoire de la République. Engels, le partenaire de Karl Marx, s'en est même pris aux Bretons en 1849, les reléguant aux poubelles de l'histoire : «l'existence de tels peuples comme les Gaëls en Écosse, les Bretons en France, les Basques en Espagne et les Slaves en Autriche sont un défi à la révolution. De tels peuples devront disparaître de la surface de la terre lors de la prochaine guerre mondiale. Ce sera un progrès.» Comment une extrême gauche bretonne peut-elle s'allier avec le NPA ou défiler avec eux ou même appeler à voter Mélenchon ? Ça dépasse l'entendement.
Pendant 50 ans, le PS a investi des hommes, de l'argent, du temps et des promesses pour s'assurer que cette gauche bretonne vote bien pour eux au second tour des élections. Ces militants furent les dindons de la farce socialiste française. Quant aux milliers de Bretons écologistes, ils veulent bien une Bretagne autonome mais elle doit être verte ou rien du tout, même si ça met l'agriculture bretonne sur le carreau. Sauver les rivières ou les plages bretonnes est pour eux bien plus important que sauvegarder ce qui reste de la nation bretonne. Ils veulent sauver la baraque mais se foutent bien des locataires.
A droite, on a vu lors de certaines élections comme les régionales une petite partie du mouvement nationaliste se rallier à Marc Le Fur dont le courant régionaliste est tout aussi minoritaire que celui qui existe au PS ou chez la République en Marche. Aussi des dindons de la farce de droite.
A l'extrême droite, on a des groupes qui veulent une Bretagne «race pure», des groupes qui se battent contre le grand remplacement venant d'Afrique mais qui trouvent très bien que des centaines de milliers de retraités parisiens et londoniens viennent ou vont venir racheter nos terres pour y finir leurs vieux jours. La francisation apocalyptique tous azimuts de la Bretagne, commencée au siècle denier, ne les dérange pas le moindre du monde. Ils n'ont peur que de l'islamisation. Dans les manifs ils défilent non pas derrière le gwenn-ha-du mais derrière le Kroaz-du. Une croix noire sur fond blanc. Certains d'entre eux votent Marine Le Pen. Oui pour celle qui veut supprimer les régions et en finir une fois pour toutes avec le breton et tout ce qui n'est pas 100% français. On approche ici un degré du [[syndrome de Stockholm]] qui touche à l'absurde.
Toute l'extrême droite bretonne est aujourd'hui au bout de la lorgnette avec le retour à peine voilé du franquisme en Espagne. Sous Franco les nationalistes basques étaient garrottés et le seul président élu qui ait jamais été exécuté en Europe est Lluís Companys, le président de la Catalogne, fusillé le 15 octobre 1940 après avoir été capturé en Bretagne où il était en exil et livré à Franco par la Gestapo. L'extrême droite est toujours contre les minorités nationales, des plus anciennes aux plus récentes, et contre les droits des peuples sauf les droits de leur peuple et ceci dans tous les pays du monde. Comment un Breton peut-il être d'extrême droite sans être complice de ce négationnisme ?
Comment peut-on avancer dans cette cacophonie ? Pour beaucoup de politologues, le mouvement breton n'avancera que lorsque les Bretons mettront leur idéologie, leurs convictions ou leur religion au placard avant de défiler pour quémander quelque chose à Paris. Comme les Catalans, les Bretons ne devraient-ils pas défiler derrière un seul drapeau, le gwenn-ha-du ? puisque c'est le drapeau officiel aujourd'hui ? Ne devraient-ils pas chanter le Bro Gozh ma Zadoù en chœur comme les Catalans avec leur hymne ? et même le chanter en français si c'est la seule façon que tout le monde puisse le chanter ? La langue ne devrait pas être un obstacle, quitte à garder le refrain en breton. La convergence n'est-elle pas plus importante que la langue ?
modifié le 10/10 à 19:30
■Pour quand et ou ?
Ar Burev
Merci toi le Catalan pour cette lettre. Nous avons avec elle, nous Bretons un modèle pour lequel il nous suffira de changer les «matricules», et y écrire Breton à la place de Catalan lorsque «nos» gardes mobiles qui, sans autre «mobile » que celui des états sans envergures démocratiques, agiront en Bretagne de la même façon.
L’on a peu de risque de se tromper sur la programmation de ce type d’action, chez nous, de ces formes d’États, de ces Nations. Seules la violence et l’intensité sont une inconnue.
Et plus encore, l’inconnue des réactions de l’Homme face à ces États aux dirigeants figés et pétrifié depuis quinze mille ans de sédentarisation et du développement de la propriété «individuelle». Toujours sans autre réponse que la violence aux demandes d’évolutions et d’élévations politiques, de transformations bénéfiques pour tous des sociétés. Toujours montrant les déficiences d’évolution mentale, de développement intellectuel de «l’espèce», lorsque disposant de pouvoirs «des plus infimes aux plus élevés» qu’ils s’octroient, ou se font accorder d’une manière ou d’une autre, toujours discutable!
Il est fort possible que chez nous, la demande d'indépendance cela n’arrivera pas avant… «un certain temps», comme disait Fernand Raynaud le comique, l’humoriste déjà d’une autre époque. En répondant à la question qu’un personnage de son sketch se posait sur le temps que mettait un canon de mitrailleuse à refroidir avant de pouvoir être réutilisé…
Pour l’Espagne en ce moment est-il venu le temps de la réutilisation, avec modes et méthodes réadaptées ? L’Espagne comme réflexion et exemple qui vaut pour à peu près toutes ces nations et états pour qui «l’autonomie» accordée ici, et autres avantages sociaux ailleurs ne seraient «ce temps rerndu obligatoire de refroidissement entre deux ères de dictature aux formes différentes,mais imposées par des évènements, et dont la deuxième vient peut-être de démarrer en Espagne?…
Quoi qu’il en soit, comme je l’ai écrit il y a quelques jours ce qui ce passe en Catalogne et en Espagne démontre que l’autonomie offre peu de garanties aux peuples qui »l’ont obtenue« en d'autres circonstances, mais si surtout gérée sous la tutelle plus ou moins importante d’un tel État dont les fièvres de la dictature précédente, n’ont pas été parfaitement et totalement soignées.
Rajoy conforte la précarité du principe d’autonomie encore davantage, car il envisage même de supprimer, ou de suspendre le statut d’autonomie…De la Catalogne. Ce qui rend le statut d’autonomie pour un peuple ambitieux quasiment inutile ou pour le moins garant de rien. L’indépendance donc seule, logiquement pouvant apporter aux peuples que la question investit, représente le plus haut niveau d’autonomie !
Pour moi il n’y a pas d’État modernes, encore moins de progressistes dont les plus »ouverts« ont des fonctionnements et organisations qui sont absolument des circonstances locales. Tous par des tas de concepts éculés, s’auto justifient d’avoir à employer des actions primitives, d’un archaïsme (lorsqu'elles surviennent), qui ne sont que des éléments d’intoxications, d’asservissement mental…Bref de conditionnement par propagande assujettissant des Peuples depuis toujours.
Quant à ceux qui recherchent l’indépendance _l'autonomie étant actuellement sujette à réflexion_ qu’ils envisagent enfin une autre gouvernance, un autre rapport aux Hommes, et d’autres projets d’avenir que ceux des malfaisants à la tête des nations jusqu’à aujourd’hui ! Sinon quel serait donc l’intérêt des poerteurs des mêmes logiciels, avec d’autres costumes ou carrosseries ?
Lheritier Jakez, c’est bien connu, l’on ne met pas de vin nouveau dans de vieilles outres ! Pas plus que l’on ne met de vin à vieillir dans des fûts de chêne neufs sans « …brûlage qui crée des composés aromatiques qui n’existaient pas dans le bois. ». Donc demander un »programme commun" sent le bidon commode!
Á chaque millésime l’on change de fût ! L’on reprend des neufs qui se doivent d’être en chêne d’où les pratiques d’usage de mise en condition pour un bon crû… et surtout pas en résineux, et quatre planches de sapin!
Je pense personnellement que c’est sur la base des individus « de bonnes et sûres volontés » que le renouveau doit se mettre en place et se « faire ». Cela ne veut pas dire que certaines personnes venant d’associations et de partis encroûtés et vermoulus, pour ne pas dire parfois impropres pour la création d’un millésime d’exception un vin nouveau car s’ingéniant à tout faire tourner en vinaigre, ne puissent apporter leurs compétences. Mais à conditions qu’ils n’aient pas stagné trop longtemps (deux ans maxi) dans des tuyauteries dont l’utilisation et la provenance et surtout l'entretien et la rénovation seraient inconnues ou ignorés !
Sinon l’on ne risque pas de guérir de la gastro bretonne… Á titre personnel je refuse de m’en remettre pour mes dernières années, à des gens qui ont tellement manquer de vision ou qui ont fait tellement preuve de duplicité et pour qui l’échec était la fidèle compagne de leurs jours et de nos nuits !
Assez de divisions à cause d'idéologies, de lutte stériles et arrêtons de faire le jeu de la France!
Devenons fort, et les Bretons nous suivrons.
Mais quel sera l'acteur, le parti, l'association qui prendra l'initiative de proposer cette refonte nécessaire afin de créer (enfin!) un VRAI mouvement breton?
Quant aux autres, accepteront-ils seulement cette refonte pourtant si nécessaire? Accepteront-ils seulement de mettre de coté leurs idéologies pour faire passer la Bretagne avant?
Tout l'enjeu est là.
Nous en avons la possibilité, le potentiel.
À chacun de savoir ce qui prime pour lui: la Bretagne ou son idéologie.
Pour ma part, j'ai choisi, et c'est la Bretagne....
Quant à l'idéologie, ça sera aux Bretons de la choisir démocratiquement..
«Chaque pays à ses spécificités...»
Quelles sont les spécificités de la Bretagne hormis d'avoir la bêtise de ne pas comprendre des principes vieux comme le monde quand les autres régions l'ayant comprit touchent du doigt leur autonomie/indépendance?
À savoir:
«L'union fait la force», quand en face, «il faut diviser pour mieux régner.»
La spécificité de la Bretagne?
Ne pas l'avoir compris et faire le jeu de la France?
Faire passer ses idéologies plutôt que la Bretagne?
Continuer dans la même voie qui ne fonctionne pas en espérant que un jour, un jour peut-être, tout les Bretons se réveilleront avec l'idéologie qu'on met en avant avant que de mettre en avant la Bretagne?
Proposer à chaque élections 100 000 listes «bretonnes» à chaque élections, chacune calquée sur des idéologies bien françaises?
Et si moi, cette idéologie ne me convient pas? Dois-je pour autant arrêter d'être indépendantiste?
Je suis pour une seule dictature: celle du peuple. Avec des votations comme en Suisse et non une pseudo démocratie à la française ou le seul choix que l'on ait et de choisir celui qui nous entubera le plus profondément.
Dois-je alors rejoindre à tout prix des partis «démocrates» proposant des idéologies d'un autre temps, et qui ne me conviennent pas, PAR DÉFAUT quand ils n’acceptent pas de défiler avec des partis n'ayant pas la même idéologie?
Coté respect et démocratie, on repassera...
Ce n'est certainement pas en restant sur ses «spécificités» que l'on avancera.
Cela fait plus de 20 ans qu'à chaque fois que je clame qu'il faut nous unir, on me répond avec ses fameuses spécificités...
Si fameuses que depuis plus de 60 ans elles ne donnent AUCUN résultat, sinon de la poudre aux yeux lancés par l'état français à chaque soubresauts des Bretons....
Exemple? le pacte après «les bonnets rouge» version 2000...
Ce n'est pas se porter en donneurs de leçons que de réclamer de faire passer la Bretagne avant que de faire passer son idéologie en premier.
Ce n'est pas se porter en donneurs de leçons que de réclamer que les Bretons s'unissent pour la Bretagne et de vouloir que le peuple breton choisissent sa politique par la suite via le vote démocratique.
C'est juste une questions de bon sens.... L'UNION FAIT LA FORCE
Et que vaudrait le meilleur des programmes, sans autonomie pour l'appliquer?
C'est oublier que les politiques sont décider sur Paris, que les impôts prélevés en Bretagne vont sur Paris et que la Bretagne n'en reçoit que des miettes...
Et qui dit Bretagne dit Bretons.
Ayons à minima une autonomie et nous pourrons avoir nos propres programmes politique plus à même de répondre aux problèmes des Bretons, qu'ils soient agriculteurs, pêcheurs, artisans commerçant ou autre...
Mais pour l'avoir, il faut être en mesure de la demander... Ce dont nous sommes loin!
Pour l'instant nous ne faisons que proposer des programmes politiques, que des partis français proposent à l'échelon national. A une différence prêt: eux peuvent les mettre en application, pas les partis bretons, quand bien même ils seraient majoritaire au Conseil Régional...
On espère que les Bretons se réveilleront autonomistes sur des programmes dont ils savent que même le plus beau ne saurait être applicable, puisque tout se décide à Paris ou à Bruxelles.
Alors oui, allions nous, rappelons aux Bretons qu'en droit international la Bretagne est de fait indépendante, réclamons que les impôts Bretons reviennent en Bretagne, pour les Bretons, en leur donnons des chiffres fiables qu'ils peuvent vérifier, promettons leur une véritable démocratie et non une pseudo démocratie à la française, démontrons leur la viabilité d'une Bretagne autonome...
Or pour l'instant, nous n'avons pas d'unité pour le réclamer.
Alors oui, nous ne sommes que les comiques de la France, de doux idéologiques qui proposent 1000 programmes idéologiques, inapplicables qui ne parlent pas aux Bretons... ce qui fait bien le jeu de la France, mais pas celui des Bretons...
C'est bien! c'est folklore, cela fait bien rire......
Plants bien rangés, suspendus techniquement, ou suivant le cas serrés les uns contre les autres pour ne pas s’affaler et vivoter puis finir par mourir tristement. Plus de terre qui permette de se maintenir, bien «planté», dans et par sa nature profonde élaborée par des siècles d’Histoire… L’UDB avec R Leprohon ne veulent à l’extrême limite, pardon ne voulait en ce qui le concerne, qu’une Bretagne ! Celle qui serait de gauche ….uniquement ! Un peuple, une pensée, une seule de gauche et cultivée dans les mêmes serres jacobines que les Français, mais quand même en lisant Franz Fanon à la lueur des lumières, de normes NF!
Un peuple, comme les tomates, bien calibrées, de la même texture caoutchouteuse, et sans plus de saveur et qui même sous l’appellation «Kuzh Heol» ou «Kousk Héol», ne serait pas davantage une garantie de la qualité de celles de grand papa !
Mais monsieur LEFORT c’est déjà le cas de ce que l’on appelle un peuple en France la super endiverie, Ça l’est déjà depuis 1789 ? Regardez aussi le tas de pays où l’on défile régulièrement l’on défile comme des endives dans leurs bassins de culture… et de culture. Militaires ou civils qui ne sont que matières à utiliser, à consommer…à servir ! Donc au préalable à asservir.
Mr Leprohon à fait partie dès 1977/1981 de ceux qui, qui m’ont fait prendre conscience de certains aspect des pratiques politiques et logiquement pour moi de prendre «la déchirante» décision de fuir l’UDB, et de considérer ce cor aux pied, jusqu’à aujourd’hui néfaste aux intérêts bretons. Je ne fais plus depuis longtemps, de différence entre eux et un parti français de gauche…et de droite !
Sur ce « plan » là, ils ne m’ont jamais déçu d’avoir eu cette réflexion, et pris cette décision. Et une partie du peuple breton répète, et ânonne comme les Catalans « union-loyalistes » en Espagne : Je suis Breton ! Je suis Français ! Je suis Européen. Voilà donc leur Gloire à ces Bretons ? Á ces Catalans ? Vous avez, pardon j'ai dit hydroponique, comme c’est… hydroponique !
De 1964/68 à aujourd'hui, n’est-il pas possible de faire un bilan complet et objectif des résultats de ces choix politiques ? Et Les critiques qui doivent logiquement en découler ? Les résultats obtenus depuis 60 ans devraient abréger considérablement les palabres sous le baobab celtique ! R Leprohon a rejoint le PS, pourquoi? Puis est revenu à l'UDB bien accepté je pense, Pourquoi faire? Pas de problème c'est une union n'est-ce-pas? Partouzante!