Depuis quelques années, nous assistons, ça et là en Bretagne, à une dégradation de l'habitat par rapport à son environnement.
Sous prétexte de modernité et d'adaptation aux contraintes énergétiques, nous sommes les témoins d'une rupture totale avec l'esprit des lieux.
De la même façon, toujours sous prétexte de regroupement de communes et création de communes nouvelles, la toponymie bretonne se trouve malmenée, frisant parfois le ridicule. Nous voyons là, la conséquence de la confiscation de la démocratie locale au profit d'une technostructure étatique de plus en plus abusive, sans méconnaître l'indifférence de certaines municipalités sur ce sujet.
■