«https://www.brezhoweb.bzh/Alan-stivell-pennad-kaoz_fiche_4347.html» target=«_blank»>Alan Stivell : il n’y a pas eu et il n’y aura sans doute pas d’autre artiste comme lui.
Il a commencé à jouer devant un public à 10 ans avec une Harpe Celtique — instrument délaissé dans les pays celtiques depuis l'époque médiévale — imaginée et construite par son père Georges Cochevelou en 1953.
Tout jeune déjà, autour de cinq ans, il développe un amour presque « physique », comme il le dit, pour la Bretagne, les pays celtiques, leur culture, mais aussi pour la science-fiction. Il en vient même, alors qu’il sait à peine lire, à comparer des mots bretons avec des mots gaéliques et cornouaillais. Autant dire que le jeune Alan est différent des garçons de son âge.
Nous voilà quelques années plus tard. Il a déjà enregistré quelques disques qui se sont tellement bien vendus que la production de Philips (Universal) en reste sidérée. Le disque The Wind Of Keltia avec le thème Pop Plinn a été la meilleure vente de l’époque, au même titre que les disques d’un certain Hallyday.
Depuis sa plus tendre enfance, «https://www.brezhoweb.bzh/Alan-stivell-pennad-kaoz_fiche_4347.html» target=«_blank»>Alan a le désir d’être celui qui fera le lien entre la musique celtique et le Rock ’n roll.
Il parviendra à le faire, quelques années plus tard, la chance étant de son côté, en s’immergeant dans la vague Folk et Rock-Fusion en provenance d’Amérique et d’Angleterre durant ces années-là. Enfin, le voilà en 1972 sur la scène de l’Olympia où des millions de personnes vont découvrir cette nouvelle musique bretonne.
1980 est une autre année très importante dans sa carrière. Cette année-là, à Lorient sera donnée la première Symphonie Celtique : 300 musiciens sur scène, un Pipe band, une chorale, un sitar indien, un orchestre classique, tout cela sous le vent et la pluie. Une image incroyable qui marquera profondément les esprits.
Nous voilà en 2024 et «https://www.brezhoweb.bzh/Alan-stivell-pennad-kaoz_fiche_4347.html» target=«_blank»>Alan Stivell vient d’achever l’écriture d’une deuxième Symphonie Celtique. Si nous osions faire le rapprochement ; à l’instar d’un Miles Davis, tout au long de sa carrière, Alan Stivell renaîtra, renouvellera son art en s’entourant de jeunes artistes talentueux, tout en gardant un esprit ouvert et un cœur généreux.
Retrouvez cet artiste unique dans ce long entretien en breton, sous-titré en français en cliquant «https://www.brezhoweb.bzh/Alan-stivell-pennad-kaoz_fiche_4347.html» target=«_blank»>ici.
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