« Danielle du Bobay », c’est comme ça qu’on l’appelle.
Depuis 1983, elle y tient un bistrot de campagne comme on en trouve peu. Paradis du bouliste ou du beloteur, institution du chasseur, lieu de rencontre entre amis, certains le décrivent même comme lieu faisant partie du patrimoine mondial de l’Unesco.
Par une belle journée de février, Danielle me reçoit et me parle de son expérience de tenancière.
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