La Bretagne n'est qu'une zone électorale parmi les autres pour les grands partis politiques de l'hexagone . A l'issue d'une campagne électorale ayant fait la part si belle à la défense des langues minoritaires, à celle de la réunification bretonne, et, par le jeu des alliances régionales, à l'autonomie de la Bretagne dans une France des régions résolument anti-jacobine, EELV a fait le choix électoraliste de l'abandon, au profit du Parti Communiste, d'une candidature au sein de la circonscription de Guingamp, en échange d'une autre, au soleil d'Aubagne dans les Bouches-du Rhône.
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