“Plus on parle des otages, plus on a de chances qu'ils reviennent vivants”

Interview publié le 11/08/10 11:10 dans Politique par Fanny Chauffin pour Fanny Chauffin
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Martine et Jonathan à Lorient.
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Martine Gauffeny, secrétaire nationale de l'association : “Otages du monde”, sillonne la Bretagne toutes ses vacances pour qu'on ne les oublie pas. Elle est souvent au service presse du Festival interceltique, distribue à tous des bracelets que Marthe Vassalo, Annie Ebrel, Gilles Servat, et tant d'autres ont porté sur scène, grâce à elle et Jonathan.

Après le Tour de France, les Vieilles Charrues, le Festival du Bout de Monde, la Solitaire du Figaro (ils étaient à l'arrivée du vainqueur avec la marraine du comité de l'association, Florence Aubenas), ils arrivent à deux à Lorient pour rencontrer artistes et festivaliers.

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Stéphane et Hervé sont otages en Afghanistan, leur photo figure sur la mairie de Lorient, la dernière preuve de vie date de quelques mois. Ils sont très fatigués. La “profession des grands reporters est dangereuse” affirme Martine. Saint-Brieuc, Lorient, des maires de toutes tendances politiques les ont invité Martine et Jonathan.

Des bénévoles comme elle, il y en partout en France. «Pendant ces vacances, il y a des lieux de rassemblement exceptionnels, il faut donc frapper un grand coup”.

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Son plus beau souvenir depuis sept ans ? La libération d'Ingrid Bétancourt, après six ans de travail. »Quand on a été otage, on revient différent et on n'est pas la même personne. Ce jour de la libération a été un jour formidable pour moi".

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Pour en savoir plus, se rendre sur leur site : (voir le site) et

(voir le site) de facebook


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