Nous recevons cette information d'une auditrice de France Bleu Breizh Izel qui l'a entendue ce soir, et en fut outrée.
Écoutez bien la rediffusion de ce soir : (voir le site) c'est à 1'47 que l'animateur Axel Perret profère cette énormité.
■En fait, les radios et TV prétendument régionales sont toutes réalisées dans un «style artisanale», tant au niveau du son, des paroles, que de l'a présentation générale et de l'image... Il faut que cela fasse «proximité»...!
C'est proche du style des radio ou TV associatives... (on doit sentir l'odeur du garage...)
A mon sens, c'est très volontaire et décorrélé du budget...
Le but est de donner un sentiment de «région»... (un truc de niveau inférieur...).
La meilleurs preuve est quand vous voyagez dans des petites pays européens souvent de PIB moindre à celui de la Bretagne et que vous constatez que l'ambiance de leurs radios et TV sont largement d'un niveau supérieur.... avec un son et une image bien plus professionnelle (proche des grands médias internationaux)...
Et quitte à me répéter, en France les souverainistes avec TV Libertés parviennent également au même résultat qualitatif avec un financement par don...
Ce qui démontre que le milieu militant breton aime la «ploucitude» qui correspond à l'image d’Épinal que les Bretons ont d'eux même, quoi qu'on en dise... sinon, cela fait longtemps qu'on aurait développer des médias alternatifs pour renvoyer les France Bleues et autre TEBEO au musée...
A mon avis, cet amour de la ploucitude est une forme de réponse que les Bretons se donnent pour justifier leur statut actuel d'être mis sous tutelle de la France (ne plus pouvoir rien décider par soi-même...). Ce qui plait au mouvement breton majoritairement d'une gauche romantique et théorique qui cultive une image populaire (au sens péjoratif)...
Puis avez vous essayé d'intervenir lors des débats télévisés, de personnalités bien pensantes triées et toujours les mêmes?
Une autre frontière et garde barrière est là.Démocratie bouclée.
La Bretagne aujourd'hui,c'est d'abord la Loire Atlantique avec nos associations et adhérents qui ont deux fois plus de boulots que ceux du 29 ,du 22 ,du 35,du 56.
Les discours,bla bla bla sur les constats,y en a marre,
S'nterroger sur :
«Comment peut on être Breton au pied d'une tour HLM ou il y a 50 % de chômage», aideront peut être les intellectuels,conférenciers,historiens,petits chefs bretons à se réorienter pour proposer à notre jeunesse d'autres chemins de vie.
Comment se faire respecter?
Nos quelques élus bretons issus de nos groupes vont à la soupe dans les salons ,Rennais,Nantais,Parisiens et Bruxellois,sans rien obtenir sur la réunification au minimum.
Quelques rappels où il a fallu se mouiller,passer des nuits se déplacer, se confronter aux CRS et Gardes Mobiles,mettre sa carrière professionnelle en jeu dans les luttes et dans la construction de projets breton et social:
Exemples:
La révoltes des paysans du Léon et la création de la Brittany ferries,Années 60
Les projets Nucléaires:Plogoff /le Pellerin,Le Carnet,«noyés», par les effets de nos longues luttes très physiques et argumentées.
Les écoles DIwan créees en 1977,malgré des oppositions ,y compris dans le mouvement breton syndical de l'époque.
Les projets, années 74/75,de Marina et Rocade dans le marais salant de Guérande -Batz sur Mer,la Brière transformée en Ranch par le Baron Olivier Guichard ,abandonnés grâce à nos actions,pétitions,GFA,
L'obtention de la CMU en 1998 grâce à nos occupations,manifestations de plus d'un mois et demi.
La seconde révolte des Bonnets Rouges contre les portiques de l'Eco taxe en Bretagne,
Comme proposé par ailleurs il faut un CELIB 2 et aussi des meneurs de mouvements, Bretons
Les élections européennes de 2019 avec des listes hexagonales et peut être transnationales sont à faire dans l'union Bretonne nécessaire et vitale.
Les éléctions municipales de 2020 sont à préparer dans l'UNION.pas de CHI CHI.