Dans un communiqué le réseau d'écoles DIWAN salue l'annonce d'une aide exceptionnelle des communes de Gouesnou, Plouhinec, Vannes et Lorient, au côté des départements du Finistère et du Morbihan ainsi que la région Bretagne.
Diwan dénonce aussi des communes qui refusent de verser le forfait scolaire, ou qu'elles versent une somme en deçà du montant attendu, et ce, en dépit de la loi Molac votée en 2021 qui les y oblige. La perte pour Diwan s'élève à 100 000 €
Selon Diwan, ces communes du Finistère, ont refusé de payer le forfait scolaire pour l'année scolaire 2023-2024 : Cast, Le Cloître-Saint-Thégonnec, Landévennec, Landudal, Lanvéoc, Pencran, Plougonven, Plounéventer, Santec, Telgruc.
Ces autres communes ont versé un montant incomplet :Coat-Méal, Lanildut, Plourin, Pont-de-Buis-Les-Quimerc'h, Porspoder, Rosnoën, Saint-Ségal, Sibiril,Tréméoc.
Selon Diwan, les autres départements sont également concernés, mais la problématique est plus pénalisante dans le Finistère au vu de la situation financière des établissements de ce département.
■Pour ceux qui n’ont pas encore compris !!! la loi dite Molac… s’est discutée à Paris, a été votée à Paris, et par qui ? ! Pourquoi donc ? Et cela n’est pas sans conséquences d’habitudes installées, ni tentatives d’explications ! Et ainsi donc s’est « […]en dépit de la loi Molac votée en 2021 qui les y oblige. », à Paris que « la rédaction » met, cloue au pilori des communes de BRETAGNE (bretonnes ?)
Donc tous ceux qui semblent ne pas avoir compris ce qui se passe en BRETAGNE depuis…des siècles, me paraissent-là, bien adossés aux pratiques politiques franco-parisiennes intégrées, un peu du jacobinisme, comme les idiots utiles (pour utiliser une formule éculée!
Que cela est le fait logique pour des « Bretons mais Français » à la fois, dans la confusion mentale instaurée induisant en finalité, le laisser aller, le renoncement dans tous les compartiments sociaux , culturels et sociétaux, compréhensible et inévitable tant l’absence, la négligence, la colonisation des esprits, et les brouillages identitaires ont prospéré partout en BRETAGNE ! De Paris où se fait, ou plutôt, défait, s’impose, ce qui se passe et se vit dans notre pays !
"Cela aurait été bien plus regrettable si vous aviez pu écrire "en dépit de la loi votée par l'Assemblée de BRETAGNE "! Et bien plus alors, la réaction des communes et des Bretons (de ceux utiles encore au Pays!)