Couple ou moteur, quel futur pour les relations franco-allemandes
Communiqué de presse publié le 23/05/23 10:49 dans Europe par Emmanuel Morucci pour Emmanuel Morucci
La question est d'importance au moment où les complexités du monde font s'entrechoquer les pays européens.
Quel avenir pour l'énergie, les voitures automobiles, l'environnement, le réchauffement climatique, La Défense de l'Europe et la diplomatie ? Quelles institutions adaptées pour l'Union européenne ? Les échanges culturels et les jumelages ?
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Vos commentaires :
Alain E. VALLÉE
Vendredi 15 novembre 2024
La France endettée bien au-delà du raisonnable, nationale-étatiste, jacobine, nucléaire, et qui dépense beaucoup d'énergie à maximiser sa capacité de nuisance est évidemment pour une UE interétatique sorte de «France en grand» et ainsi, pour le moins, incompatible avec la RFA décentralisée, exportatrice et anti-nucléaire qui serait beaucoup plus pour une UE fédérale et communautaire. Le poids politique et économique des deux là cumulés qui ne sont que 2 parti 27, est tel que, dit-on, rien ne peut se faire dans l'UE s'ils ne se mettent d'accord sur ce qui ne peut être qu'un minable minimum commun souvent tardif et donc inadapté.
En être là est bien triste, plombe le projet européen et démontre que ce serait à la France de se réformer pour devenir compatible avec l'UE.
AV
Emmanuel Morucci
Vendredi 15 novembre 2024
Bonsoir
Il est dommage que vous n'ayez pu participer au débat fort interessant et donner ce point de vue.
Bien cordialement
E. Morucci
Anne Merrien
Vendredi 15 novembre 2024
Le droit européen pourra-t-il être d'un quelconque secours pour la pétition de Bretagne Réunie non mise dans l'ordre du jour du Conseil départemental de la Loire-Atlantique ?
Brocélbreizh
Vendredi 15 novembre 2024
Tant que l'Europe et l'Allemagne ne donneront pas un kopeck pour l'entretien de l'armée française ou de son nucléaire...Tout ira pour le mieux !
Le moteur allemand a les moyens de patienter et la France jacobine n'a pas plus d'essence que d'idée.
Alain E. VALLÉE
Vendredi 15 novembre 2024
Fonder l'UE sur le don serait assez efficace.
La RFA donna l'Économie Sociale de Marché et le Mark. Le fait est qu'elle en a trouvé grand bénéfice.
La GB ne voulut que récupérer l'argent qu'elle devait payer pour la PAC et généraliser l'UE en tant que vaste super-marché ! Sur un ton déplaisant, cela donna pour commencer : «Give me my monney back !», puis le Brexit si favorable aux intérêts russes. Il ne fut surtout que la manifestation de l'impossibilité pour le Royaume-Uni à concevoir une UE communautaire où l'intérêt de l'ensemble de l'UE était réputé être supérieur à celui des États membres.
La France prit l'argent de la PAC. Mais elle ne donna pas grand chose, sinon rien. Pourtant elle aurait beaucoup à donner selon le principe vérifié tel que pour recevoir beaucoup, il faut préalablement donner un peu. Le don qui pourrait être d'évidence celui de la France, est ultra-sensible mais décisif pour l'instauration d'une UE puissante. Avec de grandes précautions, garanties et d'abord d'autres institutions européennes de préférence fédérales (assez faciles à mettre en oeuvre avec un peu de volonté), la France pourrait «donner» à l'UE réorganisée son siège de membre permanent au Conseil de Sécurité de l'ONU. Cet acte historique et fondamental aurait un effet tel que l'UE ne serait plus un acteur faible presque hors de l'histoire.
AV