Nantes/Naoned affirme sa place entière et légitime dans la dynamique bretonne
Depuis la campagne des municipales de 2014, Bretagne Réunie et l’Agence Culturelle de Bretagne ont oeuvré pour qu’un Gwenn ha Du trouve sa place sur le front de la mairie de Nantes.
C’est officiel !!!
Le drapeau breton Gwenn Ha Du sera bien hissé le jeudi 17 décembre 2020 à 11h sur la Mairie de Nantes, c’est gagné !
Bretagne Réunie est convaincue que ce pavoisement va donner davantage de visibilité à Nantes en utilisant un identifiant, connu dans le monde entier.
Nantes va aussi bénéficier de divers réseaux dans divers domaines notamment dans le domaine touristique.
Il en sera de même pour les acteurs culturels. On peut imaginer la satisfaction, entre autres, de Jean Blaise pour « le voyage à Nantes » qui recherche des débouchés vers le reste du territoire breton et Pierre Orefice pour « Les machines de l’île » qui recherche lui aussi de nouveaux horizons bretons.
Ainsi Nantes rejoint les 35 communes de Loire-Atlantique qui pavoisent déjà avec le drapeau breton.
Bretagne Réunie espère un pavoisement généralisé en Loire-Atlantique afin que notre département gagne en visibilité sur le plan international.
Nul doute que la pétition des 105 000 électeurs de L-A réalisée par Bretagne Réunie a fait prendre conscience que la réunification était un vrai projet d’avenir.
Liste non exhaustive des mairies de L-A ayant pavoisé avec le Gwenn ha Du :
Assérac, Batz-sur-Mer, La Baule-Escoublac, Blain, Bouvron, Campbon, Châteaubriant, La Chevallerais, Conquereuil, Couëron, Donges, Erbray, Fay-de-Bretagne, Fégréac, Le Gâvre, Guémené-Penfao, Guérande, Herbignac, Indre, Jans, Juigné-des-Moutiers, Massérac, Mouais, Piriac-sur-Mer, Plessé, Pontchâteau, Pornichet, Rouans, Saint-Herblain, Saint-Jean-de-Boiseau, Sant-Joachim, Saint-Sébastien-sur-Loire, Savenay,Treffieux, Trignac…
■En prouvant qu'un référendum est impossible, Bretagne Réunie ne se déjuge pas : l'association n'est pas à l'origine de l'idée toxique de référendum. Sa pétition en faveur d'une modeste consultation était juridiquement la seule chose envisageable.
D'ailleurs, ce n'est pas une question de jugement. Il s'agit d'une impossibilité constitutionnelle. Même si les référendums communaux étaient étendus aux départements et aux régions, le problème resterait entier : ces collectivités ne pourraient organiser de référendum que sur leur domaine de compétences. Or le découpage régional est de la compétence exclusive du Parlement. Quant au maillage aéroportuaire, il relève du Gouvernement. Tout cela se décide à Paris et les effets d'estrade n'y changeront rien.
Le droit d'option départemental n'étant plus d'actualité, la faculté d'organiser une consultation sur un département (ou une région) est revenue au seul Parlement. Celui-ci peut aussi, sans consulter la population, réunifier la Bretagne (comme il l'a fait pour la Normandie) ou l'engloutir dans un ensemble plus vaste (comme il l'a fait pour l'Alsace). Face aux élu(e)s favorables à la fusion, Bretagne Réunie dispose d'une pétition historique pour convaincre les député(e)s.