Les polysaccharides sulfatés que l’on trouve dans des algues brunes du littoral breton sont anti covid-19

Dépêche publié le 29/07/20 2:18 dans Bio & Santé par Philippe Argouarch pour ABP
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Laminaria saccharina, saccharina latissima, saccharina japonica, sweet kelp, kombu royal et en breton tali friz, tous ces noms pour cette même algue brune aux propriétés étonnantes. Un anti-viral naturel. Pas surprenant que les Chinois la réservaient pour l’empereur ! (photo Gabriele Kothe-Heinrich wiki)

Les laminaires et autres algues brunes qui recouvrent le littoral breton contiennent des substances, les polysaccharides sulfatés, aussi appelés fucoïdanes et héparines. Ces substances ont la propriété de leurrer les coronavirus comme le SAR-COV_2 qui donne le Covid-19. Le virus s’accroche à ces macromolécules et au lieu d’introduire son ARN dans les cellules des tissus, il l’introduit dans les molécules de polysaccharides sulfatés.

Cette découverte in vitro publiée par l’Institut polytechnique de Rensselear à New-York à propos de recherches conduites par des chercheurs coréens est rapportée dans la revue Cell Discovery dans un article du 24 juillet et aussi mais plus facile à lire pour certains dans First Post . Le laboratoire a testé des extraits de fucoïdane issus de la saccharina japonica, plus connue chez nous sous le nom de kombu royal ou de laminaria saccharina et en breton sous le nom de tali friz.

En fait ces algues sont plus efficaces que le [[remdesivir]], l'antiviral standard actuellement utilisé pour lutter contre le covid. Le laboratoire américain Gilead qui développe cet antiviral le vend à $390 par flacon portant le prix total d’un traitement de 5 jours avec 6 flacons - à 2 340 $ (2 085 €) par patient !

Consommer régulièrement du kombu breton ou du kombu royal est donc une protection contre le covid-19 et c’est bien sûr gratuit. Les polysaccharides bloqueraient la reproduction du virus via les tissus des parois intestinales. De son côté l’industrie pharmaceutique travaille sur un vaporisateur nasal basé sur ces molécules afin de bloquer la reproduction du virus dans les cellules des tissus des fosses nasales.


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Samedi 27 avril 2024
L’université de Bretagne-sud qui devait tester le produit à abandonné le projet par manque de fonds.
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