Les adhérents de l’UDB de Nantes ont travaillé, au cours du premier semestre 2019, sur des propositions pour les Nantaises et les Nantais. Ce travail démocratique a permis d’arriver, par le consensus et les échanges, à un document basé sur 15 axes forts. Souhaitant un rassemblement à gauche pour Nantes, les adhérents de l’UDB ont souhaité que soient intégrées au mieux ces propositions dans le programme, soit d’EELV, soit de la maire sortante, Johanna Rolland.
Près de 6 mois de négociations avec les équipes de ces deux listes ont permis d’échanger sur les visions de la ville des uns et des autres et voir comment les propositions de la gauche autonomiste pourraient être prises en compte. Ce travail prend du temps, demande des rencontres régulières et des échanges écrits pour arriver à la proposition d’accord la plus aboutie et réaliste possible tant sur les idées que sur les moyens en terme d’élus pour les mettre en place.
A l’issue de ce processus, les adhérents de l’UDB ont jugé que l’accord proposé par Johanna Rolland était le plus ambitieux. Les propositions de la gauche autonomiste ont été largement reprises et s’inscriront dans un programme global porté par Johanna Rolland. Il est important de noter la qualité des échanges qui ont été sérieux et respectueux.
Le respect des engagements pris auprès de l’UDB en 2014 et le travail pendant la mandature précédente ont joué dans cette décision.
Rappelons que c’est dans le cadre d’un accord politique entièrement respecté et sa participation à la majorité, qu’entre 2014 et 2020 l’UDB a permis notamment et concrètement :
Ce bilan, que vous trouverez via ce lien, comporte également toutes les actions menées par les élus UDB dans leur travail quotidien, avec des succès mais aussi des échecs (comme l’impossibilité de lancer un 3e site bilingue ou encore de finaliser l’adhésion de Nantes aux Destinations Bretagne en raison de blocages dépassant la Ville de Nantes).
C’est suite à ce bilan, issu d’un accord respecté par Johanna Rolland qu’un nouvel accord, plus ambitieux a été signé et, par souci de transparence, est rendu public. Vous en trouverez les pages scannées et signées par Johanna Rolland et Arno Mahé, responsable fédéral de l’UDB Loire-Atlantique ci-dessous.
Cet accord comprend :
Afin de mettre en place ces avancées il faut que des élus participent à les porter, aussi il est acté que :
Au terme de ce processus de construction, de négociation, de consensus, l’UDB est donc pleinement engagée dans les élections municipales à Nantes.
■Outre le fait que le PS ne fera pas 1/10ème de ce qui est annoncé ici, on a l'impression de promesses qui ne s'inscrivent pas dans la durée...un moindre changement de majorité pourra effacer ses noms de rue. Or en Démocratie, une majorité, ça se change. Nous voulons du dur, du solide, qui ne dépende pas du seul PS. Une Bretagne à 5 départements et rien d'autre.
Pour 2020 le mot d'ordre aurait du être liste d'union bretonne d'abord.
Chacun de nous peut aussi commencer par agir dans les associations sociales,sportives,etc de sa commune .C'est assez facile et cela donne des résultats sans tenir compte des politiques.
Etre nous même,fiers de nous....!
Et les autres organisations bretonnes où en sont elles ?Que font elles ?
En ce qui me concerne, je pense que les plaques (de rues ou d'entrées de villes) sont des «bretonneries» pour que le pouvoir nous endorme sans nous redonner nos droits. Je pense même que les panneaux bilingues en 44 et 35 sont contre-productifs car être breton à Nantes ou Rennes n'entraine pas ce besoin de Brezhoneg pep lec'h.
La langue bretonne doit etre enseignée sur tout le territoire de la Bretagne historique et réunifiée car une langue vivante c'est une langue qui se s'étend et dont l'audience s'accroit , l'avenir c'est le tissu urbain ....
il n'y a pas si longtemps à Nantes 1886 , un recensement faisait état de 12 000 locuteurs sur 106 000 habitants , je veux dire par là que l'enseignement doit considérer la demande localement c'est à dire le désir d'apprendre le breton et par extension de voir le breton affiché dans la rue .
Il faut se demander aussi pourquoi les Québécois veulent maintenir le français en Amérique du Nord alors que celui-ci ne cesse de reculer , les affaires obligent à Montréal l'anglais est parlé autant que le français désormais .
Un peuple existe par le biais de sa ou( ses langues ) ....
La limite administrative imposée actuellement n'est pas figée comme une aire linguistique ....