Depuis la fin des années 1980, le Club des trente manœuvre discrètement
dans les coulisses du pouvoir. Ce lobby breton compte ou a compté parmi
ses membres les plus influents patrons de la péninsule : François
Pinault, Vincent Bolloré, Louis Le Duff, Jean-Pierre Le Roch, Émile
Bridel, Daniel Roullier, Charles Doux, Jean Stalaven, Claude Guillemot…
Depuis leur première réunion en novembre 1988 dans le château d’Yves
Rocher jusqu'à leurs récents débats sur l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes en passant par ce déjeuner avec Nicolas Sarkozy à l'Élysée en 2011, ces chefs d'entreprise murmurent à l'oreille des puissants afin de défendre leur conception de l’économie bretonne, de l'identité régionale mais aussi... leur business.
Après deux ans d'enquête, Philippe Créhange, grand reporter au Télégramme et rédacteur en chef du Mensuel de Rennes, décrypte dans cet ouvrage l'histoire, le fonctionnement et la tant fantasmée influence du Club des trente.
■Ah bon ? ils sont aussi influent que l'UDB ;-)
«Ils murmurent à l'oreille des puissants» ?
Ça serait bien qu'ils gueulent un bon coup et mettent l'Etat français devant ses responsabilités.
Mais ces milliardaire sont surtout apatrides ou plus exactement leur patrie c'est le pognon. Des milliards détenus par quelques «Bretons» et rien pour la Bretagne.
Avec seulement 1% de leurs fortunes, ils aurait pus sauver la langue bretonne et gommer la partition administrative.
Ils sont perdus pour notre patrie