Les études génétiques permettent de mieux identifier certaines prédispositions à des maladies héréditaires. Elles aident aussi les historiens à évaluer l'importance de migrations historiques dans des zones géographiques jusqu'alors restées floues.
Une revue de biologie vient de publier une étude globale de l'héritage génétique en France, un travail réalisé en collaboration étroite entre deux équipes universitaires, l'une à Brest (UMR 1078 Inserm-UBO) sous la direction du Dr. Aude Saint Pierre, et l'autre, l'équipe du Dr. Christian Dina à l'Institut du Thorax à Nantes. Cette étude est importante puisque c'est la première qui dresse une carte génétique de la France.
L'étude a identifié six groupes dans l'hexagone. Ils correspondent à la fois à des zones géographiques relativement clairement délimitées ou à des régions qui ont souvent eu une histoire différente comme pour la Bretagne, ou curieusement, à des zones linguistiques comme pour l'Occitanie. L'étude a porté sur 2184 individus selon des méthodes scientifiques rigoureuses. Les variations du génome étudiées sont basées sur le [[[Single-nucleotide polymorphism]]] ou SNP. L'unité territoriale de l'étude est le département, chaque département est doté d'un diagramme circulaire appelé cluster (voir la carte).
Les clusters ont bien sûr plusieurs composantes mais souvent avec une composante dominante. Sur la carte, le cluster breton avec une composante rose unique dominante montre une corrélation avec la zone historique du duché de Bretagne. La composante rose a une surprenante excroissance dans la Mayenne et un essaimage vers l'est jusqu'à Paris. À noter que la Loire-Atlantique est aussi rose que l'Ille-et-Vilaine. Le cluster occitan a une composante jaune dominante unique, le cluster basque-gascon a une composante brune aussi unique.
D'autres études ont montré que le cluster breton avait des [[haplogroupe]]s (voir notre article) que l'on retrouvait aussi en Grande-Bretagne. On attend une étude des SNP à l'échelon européen pour le confirmer.
Petit détail. Les haplogroupes dont on parle généralement combinent le groupe possédant un même court brin d'ADN présent dans la mitochondrie (ADN-mt, en Bretagne L21) et le groupe possédant la même variante du chromosome sexué mâle (ADN-Y, en Occident R1b). Cela permet de cartographier ceux qui ont les mêmes mères et les mêmes conquérants.
Mais ce n'est pas assez précis, car ce ne sont que nos 2 branches les plus extrêmes (lignée seulement mâle ou femelle) parmi des dizaines, puis des centaines.
Pour avoir un autre niveau de détail, il faut regarder le génome dit 'autosomal', c'est-à-dire les 22 paires de chromosomes non-sexuées. Cela fait mille fois plus de «paires de bases», ce qui ne facilite pas les comparaisons, et bien entendu, augmente le prix de l'étude. Environ 1/3000 de ces paires de bases connaissent des variations entre les hommes, on les appelle en anglais «SNP». Ce sont celles-là que l'étude a prises en compte.
C'est donc une étude vraiment nouvelle. La page 24 propose aussi un arbre phylogénétique très intéressant.
Cherchez donc les noms de villes et de lieux en France et ailleurs (il y en a pas mal), de marais en caps, qui commencent par « Bret » ; et les concernant, sur Wikipédia les indications historiques, archéologiques et toponymiques. Quand leurs auteurs et inventeurs n’essaient pas par des interprétations biscornues de donner un sens autre, ou une origine qu’elles n’ont pas.
Il ne serait alors pas étonnant que vos évolutions « Yves-linesques » soient peut-être étonnées que l’on leur découvre dans leurs chromosomes quelques gènes « keltoïsés », ou de se découvrir une hémochromatose carabinée impensable, autrement que comme cirrhose qu’un buveur d’eau ne pourrait comprendre et accepter facilement.
Voire même qu'il se trouve, tout à coup, affublé d’ un infime ajout en prime, d’un pourcentage d’Ibère, de Néanderthalien, de Dénissovien ! Tout le « package », en plus ou à la place d’une partie de la « main » originelle, pour une « évolution » garantie de leurs descendances!... (^0^)
Une spécificité génétique ne peut se constinuer que si des gens ne bougent pas pendant des siècles.
On ne trouve aucune trace Viking en Normandie ou Angleterre sud. Par contre suivant les zones on retrouve quelques % du génome Neanderthal en Europe, à une époque ou la Manche était un fleuve.
Je trouve extraordinaire la démonstration que les zones linguisitiques historiques correspondent à des zones ADNs.
Page 14
[Brittany region is also detected as a separate entity in both datasets. This could be explained both by its position at the end of the continent where it forms a peninsula and, by its history since Brittany has been an independent political entity (Kingdom and, later, duchy of Bretagne), with stable borders, for a long time.
However, we observe that Brittany is substantially closer to British Isles population than North of France, in spite of both being equally geographically close. Migration of Britons in what was at the time Armorica (and is now Brittany) may explain this closeness.]
«quoique les véritables changements des sociétés sont en général plus d'ordre culturel, civilisationnel, politique que d'ordre génétique»
Est-ce la civilisation, la langue qui ont chamboulés l'Amérique ou bien la démographie ?? En plus dans le cas de la Bretagne, il semble bien que la démographie et les migrations aient eu un role majeur dans sa formation
Je comprends vos inquiétudes et je les partage.
Néanmoins ce que je voulais dire, trop brièvement, c'est que des Bretons «génétiques» (si cela se trouve à l'état pur et non sous forme de statistiques) sont en train de devenir massivement des Français non par «grand remplacement» physique mais par imprégnation culturelle française.
Vous pouvez à l'inverse trouver aussi des non-Bretons d'origine qui se bretonnisent par imprégnation et apprentissage linguistique et culturel bretons, les exemples ne manquent pas.
La population bretonne s'est constitué, on le sait, à partir de différents fonds ethniques :
- les constructeurs de mégalithes représentant une population déjà forcément mélangée au cours des temps préhistoriques, sur laquelle vinrent se greffer :
- les Gaulois de la dernière invasion ( les Belges) élite minoritaire qui imposa sa langue, sa culture, sa religion aux autochtones descendants des mégalithiens plus nombreux qu'eux, alors qu'ils étaient eux-mêmes déjà mélangés ethniquement depuis leurs origines du côté de l'Ukraine.
Pourtant ces deux populations finirent par se fondre en une seule qui, au moment de la conquête de César quelques siècles plus tard se considérait comme gauloise, en ayant pour l'essentiel adopté la civilisation, de gré ou de force je ne sais ...
Jusque là, il n'y a de Bretons que chez les homologues des Gaulois, outre Manche.
Leur venue massive sur les terres armoricaines sous-peuplées, avant mais surtout après le départ des Légions, receltisa notre population et fit bientôt de nos Gallo-romains de l'époque des Bretons plus ou moins conformes, mais sur des bases culturelles encore une fois beaucoup plus significatives que les génétiques, éléments toujours difficile à déceler surtout quand les populations sont d'un type proche.
Par la suite, la naissance d'un Etat breton au 9ème siècle fit de tous les habitants du nouveau royaume, quelles que soient leurs origines, des Bretons à part entière et non plus seulement ethniques, mais politiques, comme dans tous les états modernes d'aujourd'hui.
Que nous puissions disposer de dispositifs politiques nous permettant de mener nos affaires à notre convenance, d'enseigner nos langues, notre Histoire et notre culture au sens large et nous serons tous beaucoup plus sereins sur toutes ces questions !
Cordialement
Vous vous voulez Breton pur sang comme nos voisins Germains se voulaient Aryens il y a quelques décennies ? Etes-vous sûr de rassembler assez de monde pour vous suivre sur cette pente périlleuse et sans issue ?
Vous vous réclamez de l'esprit de résistance des Vietnamiens contre Français et Américains ? C'est très bien, mais précisez nous alors comment vous comptez vous y prendre !
Je peux être raciste et poser les questions comme Jorl treger les pose. Je peux être antiraciste et poser exactement les même questions …pour avoir, par miracle, bien des réponses ou réflexions différentes et plus instructives, plutôt qu’une seule « réflexion » toujours la même, tournée vers La Mecque, c’est-à-dire « orientée » selon la loi , la doctrine, du moment et de la bien-pensance de groupe, grégaire. Enfin l’illusion d’un grand, grossier et faux consensus qui veut faire taire, mais ne résout absolument rien, bien au contraire. Vu les modes de « résolution »utilisés !
Mais au delà du frisson nazi, qu'elle génère chez certains, des prudences verbales, des anathèmes et procès en sorcellerie, sur le « Grand Débat »racial je me suis interrogé : « Pourquoi parmi les antiracistes ou chez des racistes, d’entre lesquels il doit, immanquablement, y avoir une part importante de personnes qui ont un animal de compagnie, il en est qui ne veulent qu’un (ou plusieurs) qui soit seulement de RACE ? Sinon …Rien !
Seraient-ils des « racistes » contrariés ? Et par procuration, projetteraient sur l’animal (inconsciemment ?), manifesteraient des tendances profondes mais pas nettes, rageusement enterrées six pieds sous terre avec une lourde pierre tombale par-dessus… mais qui « renaissent ailleurs ?».
Je regarde pensif « Le Loup », puis alternativement le « caniche toy », et aussi « le chihuahua ».
L’on me dit que les chiens« descendent » du Loup, ou quasiment tous, …
Ces deux-là ont-ils hérité de son intelligence, son organisation sociale, sa détermination, et savent-ils chasser en meutes, même le fameux doberman, ou le mâtin de Naples qui n’a rien d’ensoleillé ? Si pour une rééducation « culturelle », non humaine, si on les replaçait dans un des « clans » de leurs aïeux géniteurs, que se passerait-il ? Chasseraient-ils en meute aussi, ou bien se feraient-ils tout de suite bouffer ?
Les Bretons sont-ils devenus des « chihuahuas » ? Ou des « jackos » du Gabon eux, si prisés, qui répètent si bien ce qu’ils entendent de leur cage, ou enchaînés sur leur barreau. (^0^)
Pour prolonger un peu le dernier commentaire de Jorj treger, je dirais que je suis fier de mon patrimoine génétique cent pour cent européen. Concocté, et mis à jour professionnellement de puis des centaines de milliers d’années, et je ne vois absolument pas pourquoi me mortifier qu’il soit …Moi. Principalement du Noroît de cette vieille Europe ; et fier des quelques pourcentage de néanderthalien et d’ibère qui l’ont intégré et ont apporté sans doute une spécificité à des peuples du continent « euroasiatique ».
On peut justement le penser et pourrait creuser leur importance. Surtout lorsque l’on voit ce qu’un pour cent dans le génome à « créé » de différences entre le bonobo et moi/nous. Mais peut-être que certains estiment que ce n’est pas souhaitable, pour de bonnes raisons, toujours. Il y a peu encore le Néanderthalien, n’était pas miscible avec sa majesté« sapiens »… Par nos savants et sachants qui l’assuraient depuis plus d’un siècle.
Ce patrimoine je trouve qu’il ne m’a pas fait défaut, je ne dirais pas autant de la culture et du culturel « inapproprié », et pratiquement inexistant, à moins que le culturel de certaines catégories sociales tende au vide général, et pour d’autres au trop-plein de superficiel !
Ainsi errent les peuples « agricultivés/aigricultivés », plus quelque doberman bien domestiqués, dans une Europe de plus en plus dirigée et orientée par des chihuahuas et caniches toys, que montent des jackos du Gabon.
L’homme, un Loup pour l’homme ? Qui peut encore croire ça ? Il ne faut pas insulter LE LOUP , mais peut-être réapprendre de lui ce que nous avons oublié pour notre survie. Ou que l’on a étouffé, asphyxié en nous ! D’autres voudraient peut-être dire « civilisé » ?
Il ne s'agit absolument pas de nier l'apport génétique - relisez ma première intervention - il s'agit de le mettre à sa place, car l'homme a développé au cours des temps une capacité encéphalique exceptionnelle que les animaux n'ont pas (ou beaucoup moins) et qui a considérablement accru chez lui la capacité d'acquis (d'ordre culturel) par rapport à l'inné (d'ordre génétique).
L'homme est fini génétiquement à sa naissance après 9 mois de gestation et les vingt ans qui suivent vont développer son acquis.
Même le 1% du génome qui nous sépare du bonobo n'a été suffisant pour éviter ce qui nous sépare de lui grâce au notre développement de notre troisième cerveau, le conceptuel. Alors s'il vous plait, laissons là le chihuahua et le perroquet du Gabon !
Il s'agit d'autre part d'envisager une Bretagne de type moderne et viable, ce qui ne peut se concevoir que sur des bases civiques et non pas génétiques, ceci sans que LP Creton, qui me connait pourtant depuis longtemps à travers ce blog, ne ramène de façon inamicale mon point de vue à un recours opportuniste au Point Godwin, ce qui ne m'empêchera nullement d'exprimer ma pensée ni ma crainte justifiée par l'Histoire de certaines dérives.
Bien entendu la plupart des Bretons possèdent des bases ethniques où la génétique joue son rôle à l'évidence et que cela subsiste est évidemment à souhaiter, mais si vous comptez constituer un Etat autonome ou indépendant sur ces seules bases, vous construisez un état racial qui ne sera pas reconnu par la communauté internationale, point Godwin ou pas.
Voilà, je n'ai rien d''autre à ajouter sur ce sujet.
Bon dimanche à vous.
Lucien Le Mahre, je vous réponds tardivement, mais je réponds. Il est très compréhensible, au vu de la liberté d’interprétation que les commentaires qu’internet ou toute discussion écrite, laissent aux lecteurs, l’idée que vous considériez que mon commentaire puisse avoir un ton inamical à votre endroit. Effectivement je vous « connais », nous nous connaissons, depuis longtemps et je partage beaucoup de convictions exprimées par vous sur ABP.
Mais je peux vous assurer, très honnêtement, et amicalement, que ce n’est pas le cas. Provocateur sûrement, ironique en général et avec un peu d’humour. Ou du moins ce qui en moi croit que s’en est. Quand je trouve une ou des raisons de le faire, je m’adresse nommément et sans équivoque aux personnes. Ce qui dans le temps n’est pas très fréquent.
Le point « Godwin » (non attribué ;0), c’était anecdotique et uniquement sur la tendance évolutive des échanges. Ni vous, ni d’autres n’étaient visés…
Mais en, ce qui concerne « les grandes dérives », le modèle sautant à l’esprit, ne fait aucun doute pour moi. Et pour la plupart des lecteurs non plus, je pense !
Ce modèle, a tout de même comme reconnu dans son « ADN CULTUREL », (avec d’autres inspirateurs) des métissages plus anciens, idéologiques.
LA Grande Dérive, c’est donc un héritage culturel que tant de pratiques qui ont sans doute finalement infiltré le génome idéolo-biologique. Il parait que le chien Bobtail à qui l’on coupe systématiquement la queue, se reproduit quelques fois sans queue. « Le gène «queue courte» est peut-être à prendre en considération (selon certaines études vétérinaires il serait à «protéger»). »
Transmis par insémination idéologique, apprentissage par l’exemple, dont l’apport politico-économico-technique (Idéologie, organisation et méthodes d’extermination, puis utilisation des « produits dérivés » de/des exterminations ou pragmatisme circonstanciel). Non germaniques (quelques soldat et généraux peut-être en plus des nôtres, pardon desc leurs ?) les campagnes bucoliques dans le « Grantouest » de 1793/1794 des armées de la grande et magnifique Révolution des Danton, Robespierre et consorts, a beaucoup inspiré, LE Modèle en fût, qui n’est pas le premier, ni n’a été le dernier !
Quant au Bonobo… j’ai appris que le « un» pour cent de différence entre les grands singes et nous, nous a permis le langage et bien d’autres évolutions, je me suis dit que le «un à quatre pour cent voire plus» issus de l’Homme de Neandertal encore moins éloignés de nous, que l’Institut Max Planck de Stuttgard en Allemagne a trouvé dans notre génome devait, ou pouvait avoir concouru à une évolution disons, encore plus « substantielle ».
Le scientifique de cet institut, dans cette émission documentaire sans davantage de précisions et d’explications, m’a laissé dubitatif lorsqu’il a déclaré que ces quatre pour cent n’avaient eu « aucune incidence » sur notre évolution. Ce qui me laisse toujours dubitatif et interrogatif !
« Tant qu’il aura des Hommes », en lui et elle, la génétique pèsera ou se manifestera d’une façon ou d’une autre, quels que soient les modes d’organisation des humains, état ou d’état.
Elle, la génétique humaine, a produit des qualités et des défauts, elle en produit et elle en produira, et nous n’avons pour éventuellement en juger au plus justede ses activités , pour une estimation prospective, que les productions technologiques, culturelles, les organisations des civilisations (matérielles), politiques et sociales, noyées dans les imbrications complexes de la biologie et de l’intellect, des instincts et déviances du corps et du mental, de la Matière et de l’Esprit.
Jusqu’à la mise en boîte, en clé USB d«un bagage de données électro-matéro-intellectuelles reconnectables à un transporteur mécanique interchangeable et reconductible à souhait pour une éternité, de bonheur ? Je me demande si la Conscience et l’Esprit pourront être, capturés et mis en conserve dans la même « opération » ? Et branché à la machine à café, de l’entreprise par exemple ? ( ;0)
Ensemble génome avec interface cerveau, plus performants que d’autres ? Ou plutôt plus, que moins, placés dans les conditions équivalentes, d’éducation et environnementales, climatiques, etc ? Si moins, améliorations possibles pour le meilleur d’entre eux s'il est possible, ou se le refuser pour un respect du Hasard (déjà remis en question), contre peut-être la Nécessité , pour aller plus loin, plus haut ? Trop vaste la question !
Ceci mis au point, il se vérifie donc, que rien ne naît de rien ! La poule et/ou l’œuf ? Toujours ? Mais je m’arrête là !
De toute façon, pour moi tous les »états« sont »ratio"' (cf; Petit Robert)
Cordialement
Sans revenir sur le fond, merci de cette mise au point qui me réconforte quant à vos véritables intentions, car j'ai moi aussi toujours lu vos commentaires avec intérêt, d'où ma réaction.
Le mini-incident est donc clos.
Bien cordialement.
Je suis breton originaire du Trégor avec mes ancètres étant tous du trégor.
Je suis remonté dans mon arbre généalogique jusqu'à 1600 voir 1400 pour certaines branches.
La plupart du temps mes ancètres ont des noms bretons.
Même les nom «français» sont liés avec le Trégor.
Le résultat sur myheritage : 51% Breton/Irlandais , 25% Scandinave ??? , 17% ibère, 6% Baltique.
Je ne sais pas si ces tests sont fiables mais je suis rassuré dêtre en majorité breton :).
C'est cohérent.
Bizarre la partie scandinave /baltique ???
Bien sur je me sens 100% Breton :) !!
Thierry kerneur as tu des origines scandinaves également ? Peut être clea peut expliquer ton I2a ?
Les ibères c'est pas eux les constructeurs de mégalithes ?