Festival La Gacilly Photo 2019

Exposition publié le 13/06/19 12:04 dans Festivals par Philippe Biet pour Philippe Biet
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Jacques Rocher au micro, des photographes et l'équipe du Festival.
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Valério Vincenzo et les frontières de la paix.
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Alexey Titarenko , St Pétersbourg, la Ville des Ombres.
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Axelle de Russé, Togo, les jardiniers de la forêt.

Pour cette 16è édition, l'ambition est d'exposer une photographie toujours plus créative, toujours plus engagée, toujours plus lumineuse. Une vingtaine de sites est concernée, principalement dans la cité, mais aussi Glénac et la Chapelle-Gaceline, en accès libre.

Cyrille Drouet, commissaire des expositions « C'est un festival pour une humanité positive. Cette année, c'est le 30è anniversaire de l'effondrement de l'empire soviétique. Nous avons souhaité mettre en lumière des artistes venus de Russie et des pays limitrophes : Pologne, Géorgie, Estonie...En local, nous découvrons le travail d'Alphonse David qui sillonna le Morbihan, il y a un siècle »

Auguste Coudray, président du Festival « Chaque année, notre manifestation attire plus de 300 000 visiteurs. Grâce à sa présence en gares bretonnes et parisienne, il s'adresse également à des centaines de milliers de voyageurs de début juin à fin septembre »

Jacques Rocher, fondateur du Festival, maire de La Gacilly « La vocation de la fondation Yves Rocher est d'agir pour une empreinte positive sur la planète. Ainsi, d'ici 2020, nous aurons planté 100 millions d'arbres. Les grands enjeux environnementaux et sociétaux sont au coeur même de l'existence du festival »

En arrivant de Rennes ou Redon, le premier site d'exposition est le Bout du Pont, le végétarium, avec le portrait d'une Russie pré-soviétique. Les clichés couleurs de Sergey Prokudin-Gorsky datent de 1905 à 1915.

Une vingtaine de thèmes « A l'Est du nouveau » sont à découvrir : anachronies moscovites, Alexander Gronsky, l'oeil révolutionnaire du constructivisme, Alexander Rodchenko, l'esprit slave, Sergey Maximishin, les dernières gueules noires de Pologne, Kasia Strek, vivre dans le grand froid, Eléna Chernyshova, invasion Prague-68, Josef Koudelka...

Depuis 1918, le Festival s'est internationalisé à Baden, Autriche. Cet été la 2è édition présente l'intégralité de la programmation de l'année passée : La Terre en questions.

En juillet et août, une navette en bus, 3€ l'aller-retour, est possible entre la gare Sncf de Redon, le jeidi 10h30 et le dimanche 10h45.


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