La crise des « Gilets Jaunes » en 2018, précédée du mouvement des « Bonnets Rouges » en 2013, met en évidence, la fragmentation d’une société française fracturée tant au niveau social que territorial.
Peut-être que les élites devraient s’interroger sur le fonctionnement « centralisé » d’un pays « verrouillé » qui s’est « figé » quand le nouveau monde « horizontal » demande de la souplesse.
La question sociale a été complètement oubliée, les mesures gouvernementales symboliques du début de quinquennat ne pouvaient que mettre le feu aux poudres : Suppression de l’impôt sur la fortune (ISF), augmentation des taxes pour les retraités, augmentation des taxes sur les carburants, diminution des allocations pour le logement (APL), limitation de vitesse à 80 km/heure.
Le décalage entre les élites, notamment parisiennes, et les territoires est devenu insupportable !
Tout pour Paris et rien pour les régions ! La colère des maires et des présidents de régions face à une gouvernance deshumanisante et technocratique, éloignée du réel, est le symbole du rejet d’un Etat central indifférent à la « France périphérique », qui devient invisible et progressivement victime de la « métropolisation » qui déséquilibre les régions technocratiques et « hors sol » issues de la catastrophique réforme territoriale de 2014.
La destruction des « régions historiques » qui sont les repères et l’histoire des gens est incompréhensible, dans le cadre d’une mondialisation qui oppose de plus en plus ceux qui sont de « nulle part » et ceux qui sont de « quelque part ».
En méprisant les identités qui ont fait la France, la France perd son identité.
Seule une réforme constitutionnelle débouchant sur une nouvelle organisation des institutions, et donc une VIème république, peut reconquérir la confiance des citoyens dans une démocratie qui ne soit plus seulement « représentative », donc vue comme confiscatoire de la volonté du peuple.
L’État doit devenir un Etat protecteur, stratège, dont le périmètre d’intervention ne peut plus être tous azimuts.
Les doublons administratifs entre l’État et les régions, le « millefeuille administratif », sont désuets, inefficaces et coûteux.
Nous avons besoin de plus de participation citoyenne, de plus d’écologie, mais cette évolution doit se décliner à partir du terrain, des élus de terrain et au plus proche des gens.
Nous devons conserver notre authenticité, nos identités, et mettre la société en mouvement..
Il faut désormais choisir clairement de décentraliser la France pour donner du pouvoir et des moyens financiers aux élus proches des citoyens…
Bref libérons les énergies !
Jean-Jacques PAGE
Président d'En-Avant-Bretagne
■Mais avec les nouveaux Monarques de La république ni l'Assemblée croupionne de Bretagne, ni les élus prétendument «Bretons» ou de Bretagne ne pourrait s'opposer à l'impôt du nouveau Monarque Jupiter ?
Qu'est-ce donc que cette République prétendument DÉMOCRATIQUE ?
Pour qui allons nous voter aux Européennes?
Elargir Région et Peuples Solidaires en l'ouvrant aux organisations humanistes et à des particuliers.
Monter un collectif Breton pour une union Bretonne aux élections municipales de 2020.
Avec un code d'honneur.
Et déclencher des actions visibles sur Bruxelles,Genève et New York.
Question:A quoi servent les organisations interceltiques ?
Le centralisme corrompt tous les élus, du simple maire, au conseiller départemental/régional et le pire se situe aux niveaux des députés qui du jour au lendemain oublie comme par magie les électeurs pour s'afficher ''élu de la nation...'' (?) quand ce n'est pas carrément ''élu de la République...'' (rien à faire de citoyen, de l'électeur).
Arrêtons de pleurer!
Si on veut le changement, c'est à nous de le faire...
Déjà en organisant les partis politiques bretons... (le foutoir actuel ne peut plus durer...)
Puis en virant les ''élus de la République'' pour mettre des ''élus nationalistes bretons'' des ''élus des citoyens bretons''....
Établir une constitution bretonne comme socle de référence des valeurs des citoyens bretons...
Prendre les mairies, les comcoms, les conseils départementaux, le conseil régional... puis infiltrer l'Assemblée Française et le sénat pour pourrir ces institutions jacobines de l'intérieur... rendre la présente de la Bretagne insupportable et ingérable pour l'oligarchie Républicaine jusqu'à les faire lâcher prise... réunifier la Bretagne, renouer les liens avec nos partenaires européens et étrangers puis reprendre nos libertés...
Si les Bretons ne veulent pas de la Démocratie... alors ils auront la dictature...
D'ailleurs, nous y sommes pratiquement... comme la grenouille qui meure ébouillantée dans sa casserole d'eau chaude les Bretons vont mourir asphyxiés par les taxes au prétexte fallacieux d'une égalité avec les Français...
Charité bien ordonné commence par soit-même, occupons-nous de restaurer la démocratie en Bretagne, les Français de leur coté sont suffisamment intelligent pour s'occuper de la France...!