Ploërmel : Blé noir défend le sarrasin breton

Communiqué de presse publié le 6/06/18 23:11 dans par pour

«aligncenter wp-image-6488» src=« (voir le site) alt=«20180518_115913» width=«692» height=«389» />

Basée à Ploërmel, l’association Blé noir – Tradition Bretagne défend et promeut la culture et la transformation du sarrasin breton. Sa force ? Son produit à la fois naturel et régional.

L’association Blé noir est un organisme de défense et de gestion du blé noir breton. En effet, aujourd’hui, le sarrasin breton entre en concurrence directe avec le blé noir venu des pays d’Europe de l’Est et de Chine. De ce fait, en France, le blé noir de Bretagne représente 30 % du marché français. Or, les responsables de l’association en sont convaincus : on peut mieux faire en prouvant au consommateur que le blé noir breton est le meilleur des produits.

Qualité et traçabilité

Ce qui différencie le blé noir breton de ses concurrents, c’est sa qualité et sa traçabilité. Le blé noir cultivé en Bretagne ne fait l’objet d’aucun traitement chimique ou herbicide. Sa résistance naturelle, qui induit une culture rustique et respectueuse de l’environnement, fait de lui un candidat parfait pour la culture biologique. Grâce à toutes ses qualités, le blé noir breton, qui répond aux attentes qualitatives et dégustatives des consommateurs, a le vent en poupe. C’est pourquoi, l’objectif premier de l’association est d’assurer sa promotion et ainsi obtenir une meilleure position sur les marchés.

Une Indication géographique protégée

Pour ce faire, Blé noir – Tradition Bretagne bénéficie d’une reconnaissance européenne grâce à l’Indication géographique protégée indiquée sur chacun des produits. Cette certification atteste que ses produits sont bien issus du blé noir breton. Elle permet ainsi de valoriser les savoir-faire, tant en matière de production que de transformation, de notre région.

A noter que l’association, basée à Ploërmel pour des soucis de centralité régionale, regroupe les principaux acteurs du blé noir cultivé en Bretagne, c’est-à-dire 1400 producteurs, 9 meuniers et 3 organismes stockeurs.

«wp-image-6491 alignleft» src=« (voir le site) alt=«thumbnail_COMPUBA4_2» width=«368» height=«521» />

«wp-image-6490 alignleft» src=« (voir le site) alt=«CaptureOKK» width=«457» height=«249» />

«wp-image-6489 alignnone» src=« (voir le site) alt=«20180518_115913OK» width=«436» height=«264» />

Ce communiqué est paru sur Le blog de paul Molac


Vos commentaires :

Anti-spam : Combien font 4 multiplié par 0 ?