Pour la deuxième fois en dix ans, face à la mobilisation d’une partie des juges et avocats bretons et des politiques locaux, la carte judiciaire n’a pas pu être modifiée. Ainsi la Loire-Atlantique dépend toujours de la cour d’appel de Rennes, et il reste au moins un domaine dans lequel la Bretagne historique est préservée.
C’est une belle victoire, mais c’est encore un acte de résistance face à un Etat central qui a décidé que les Régions historiques, cela ne servait à rien. Pire, cela pouvait même être dangereux.
Il est temps pour les Bretons de ne plus se contenter seulement d’actes de résistance et d’avoir une attitude offensive. Ainsi l’on attend avec impatience les premières actions de la mission pour la Réunification qui voit le jour au sein des instances de la Région Bretagne. Et l’on se félicite de la santé florissante de l’association Produit en Bretagne qui inclut avec la force de l’évidence la Loire-Atlantique dans son organisation. Il faut soutenir par ailleurs la pétition lancée par Bretagne Réunie pour l’obtention des 100 000 signatures nécessaires en 44 afin que le département puisse décider de son avenir institutionnel. Félicitons-nous de l’action, en lien avec Bretagne Réunie, des vignerons de Loire-Atlantique dans leur volonté de faire flotter le Gwen Ha Du haut et fort !
Et allons au-delà : il est temps de boycotter toutes les entreprises, banques, assurances et autres, qui auront décidé de s’organiser (sièges sociaux, réseaux, partenariats) autour de ce Grand Ouest sournois qui avance avec l’aval bienveillant des pouvoirs publics. Boycottons également les institutions qui nous préparent cette région technocratique et liberticide dont nous ne voulons pas. Eloignons-nous des media qui présentent ce Grand Ouest dans leur ADN. En effet, si nos arguments, fondés démocratiquement et culturellement et inspirés par ce qui se passe dans toute l’Europe, ne leur paraissent pas suffisants, il faut atteindre au porte-monnaie tous ces soutiens actifs du barnum Grand Ouest. En association avec VigiBretagne par exemple, commençons par établir la liste de ces entreprises et institutions qui ont décidé, à terme, de la mort de la Bretagne. La liste est longue. Il reste à l’établir et lui faire la publicité qu’elle mérite ! Le débat est ouvert !
Frank Darcel
Président de Breizh Europa
■Pour ce qui est de l'audiovisuel, il faut noter France 3 Ouest, vous savez la pseudo chaîne régionale.
Ensuite les chaînes locales bretonnes comme Tébéo, TébéSud
et une mention particulière à Radio Hit West (groupe OF) qui s'adresse aux Ouestitis.
Liste bien sûr non-limitative
Je verrais bien cette réunion comme thème d'action de la Bretagne Réunie,se tenir sur des villes comme
Guérande,St Nazer,Chateaubriant,Blain. Nantes..Pornic,Clisson..?
Ne pas attendre les accords des structures étatiques pour cela.
Faire avec les signataires que l'on connait pour la réunification
et ceux qui ont signé la lettre des 41 élus (Carte judiciaire),etc
Cela commence par le non paiement de l'impôt qui va engraisser Paris : Vous pouvez envoyer une lettre, avec AR, au centre des impôts dont vous êtes supposé être redevable « en demandant, expressément, l'application du traité de Nantes de janvier 1499 et de ses 13 clauses : dont le non paiement de taxes et impôts en Bretagne qui n'ont pas été votées par l'Assemblée nationale des États de Bretagne. En ajoutant que vous demandez ''le remboursement des 5 dernières années que l'état français à perçu indûment.» en plus de l'année 2017, pour les impôts sur le revenu ainsi que pour les impôts sur le Foncier (l'état français n'ayant aucun titre de propriété en Bretagne historique) ainsi que les impôts taxes d'habitations.
En donnant les références du Traité : J934 (Archives nationales françaises)
En précisant que les Traités internationaux sont au dessus des lois Françaises, et que vous ferez un recours auprès des instances Européennes en cas de refus auprès de la CEDH.
Si vous êtes commerçants, agriculteurs ou indépendants vous pouvez faire la même démarche pour les impôts et taxes que l'on vous demande (vous en êtes exonérés au point de vue du droit public, D.I.P)
Gardez précieusement le courrier que vous recevrez.
Le Crédit Mutuel Maritime de Bretagne au départ, il une soixantaine d'années et qui a drainé une grande partie de l'argent du monde maritime, Breton en l’occurrence. auquel a été ensuite ajouté, «Normandie», vient de passer, se diluer, voilà trois ou quatre mois, dans un groupe recréé : La BANQUE POPULAIRE GRAND OUEST - CRÉDIT MARITIME GRAND OUEST.
L'appellation CRÉDIT MARITIME (Sans la partie Banque Populaire) a été maintenue pour des raisons commerciales évidentes dans ses zones d'influences historiques les plus importantes et traditionnelles, c'est à dire MARITIMES.
Sur les documents c'est cette appellation, avec en minuscule au dessous: Grand Ouest.