Depuis 1532, la Bretagne a perdu son indépendance, mais reste autonome. Le Parlement gére la Provinve, sa fiscalité, son armée. Le commerce maritime, la Course et la Royale développe l’économie bretonne Mais les ingérences du pouvoir royal, les tentatives de fiscalisation jettent le trouble en Bretagne. Un vent nouveau se lève, un esprit de libération avec les prémices de la Révolution…
Cette conférence sera assurée par Alan VIAOUET, responsable de la section Histoire de Skol-Uhel ar Vro/Institut Culturel de Bretagne.
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■C'est du moins la version officielle de l'Histoire, car reprenant les travaux de l'écrivain et juriste Yann Brékilien, le Dr Mélennec a semble-t'il démontré la nullité multiple de ce Traité qui, ne comportant que la signature de la partie française, ne fut qu'un Edit Royal de François 1er, c'est-à-dire une sorte de Décret unilatéral n'engageant nullement la responsabilité bretonne.
Il sera donc intéressant d'entendre le point de vue du responsable de la section histoire de l'Institut Culturel de Bretagne sur cette contestation du «Traité» de 1532, ce qui du coup nous ramène au Traité de Nantes de 1499 (lors du mariage de la Duchesse Anne avec Louis XII de France) statuant sur notre rapport véritable à la France.
A défaut, s'instruire sur le droit public avant toute conférence sur pourquoi la BRETAGNE, province étrangère, à perdu son autonomie et son indépendance. les notions de DROIT étant obligatoire pour toute personne voulant expliquer cette partie de l'Histoire de Bretagne.
(voir sur le net : Traité de Nantes 1499 expliqué par Louis Mélennec, historien breton et diplômé de droit international)