Kuzul ar Brezhoneg tient à apporter son soutien à la famille du petit Fañch, victime de l'acharnement caricatural de la justice qui vient de remettre en cause la décision sage et respectueuse de droits humains du maire de Quimper.
Asseoir une circulaire sur des textes datant du 2 Thermidor An II (loi) et du 24 prairial An XI (arrêté) en ignorant les textes internationaux relatifs aux droits humains et l'article 75-1 de la Constitution paraît pour le moins paradoxal. En quoi un «signe diacritique» utilisé en breton, langue qui «appartient au patrimoine de la France», peut-il être considéré comme étranger ?
Le respect du droit des personnes et en l'occurrence ceux dʼun enfant, et le simple bon sens devraient amener à éviter des mesures aussi clairement discriminatoires.
Kuzul ar Brezhoneg espère que la sagesse gagnera. Il continuera à soutenir la famille de Fañch dans sa lutte pour le respect des droits humain, de l'ouverture et de la tolérance.
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