Deux quotidiens l'ont annoncée début 2017 :
- le 31 janvier : Le Parisien : (voir le site)
- le 1er février : Le Figaro immobilier : (voir le site)
En août 2016 Le Figaro immobilier avait présenté « l'unique phare breton de Paris » : (voir le site)
Ces trois pages (voir aussi les commentaires) content en détail et en photos l'histoire de cette curieuse construction qui date de 25 ans, ainsi que les différentes composantes qui l'environnent.
Située en bordure Est du XVe, le long du talus de la ligne de chemin de fer qui va à Montparnasse.
Plus récemment ces pages donnent les étapes de la démolition totale au bénéfice de la construction de logements sociaux pour Paris Habitat.
Malgré des protestations de riverains... impuissantes à l'empêcher.
Pourtant, dans le n° 31 de Info quinze, magazine d'information de la mairie du XVe, de mars, avril, mai 2017, page 14, nous trouvons cet article sur le quartier Castagnary :
« Le secteur Castagnary bientôt redynamisé.
Certains quartiers parisiens voient leurs commerçants et artisans disparaître. C'est pour tenter d'enrayer ce phénomène qu'un contrat de revitalisation artisanale et commerciale bâti avec les Mairies d'arrondissement, les commerçants, les riverains et les associations locales des douze secteurs parisiens concernés a été mis en place.
Dans le XVe la rue Castagnary et une partie des rues Falguière et Brancion sont concernées par une densité commerciale faible, 14 commerces pour 1.000 habitants pour une moyenne parisienne de 28 commerces pour 1.000 habitants.
C'est la Semaest, opérateur municipal, qui aura la charge de préempter ou de racheter de gré à gré des locaux à revaloriser dans le cadre d'un contrat Paris Commerces d'une durée de douze ans ».
Ceci est en contradiction avec la construction de logements sociaux de Paris Habitat rue Castagnary...
Nous espérons quelques réponses à nos questions à la Société historique et archéologique du XVe arrondissement, déposées à la Mairie du XVe le 3 avril - association qui y tient une permanence les lundis hors vacances scolaires, mais qui malheureusement n'a pas de site internet.
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