Invitée sur le plateau de Bali Breizh, la deuxième femme présidente de Diwan, raconte le travail quotidien de cette école pas tout à fait comme les autres.
Lucide et consciente des limites pour la revitalisation de la langue bretonne d'un enseignement en immersion qui concerne 4 000 élèves, elle parcourt les différents domaines sur lesquels la société bretonne doit travailler rapidement : la législation, le recrutement et la formation des enseignants, l'augmentation du nombre d'enfants scolarisés...
Elle raconte ici son parcours de journaliste passionnée par la navigation à voile, par l'accueil des réfugiés, et par l'apprentissage des langues. Quatre nouvelles écoles sont en projet à la rentrée.
Si la demande sociale explose concernant le bilinguisme précoce, il faut dès maintenant devancer les choses en formant les enseignants et en encourageant les enseignants brittophones à enseigner en breton, quand ils le font en français.
■Article 8
Diwan se déclare solidaire de tous les peuples qui luttent pour leur identité culturelle, en y insérant les travailleurs immigrés, affirmant que leurs diversités concourent à enrichir le patrimoine humain.
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Il y a une tendance chez les bretons à être très performants quant il s'agit de défendre les intérêts des autres et d'être nuls quant il s'agit de leurs propres intérêts.
On pourrait aussi se pencher sur la catégorie sociologique mobilisée sur cette question. Que verrait-on ?
Diwan, simple annexe du PS français.
Kaer ho peus lavaret, ne stourm ket repuidi Tregastell evit o identelezh sevenadurel. Pennek eo ar fedoù.
Je vous remercie pour votre ème censure!
C'est typique des gens comme vous!
Ca croit avoir des valeurs, alors qu'il n'en est rien!
Votre dernière censure était quand je vous n'avez pas supporté que je vous rappelle l'argent qui se fait sur le dos des «migrants», démarche à laquelle vous participez... Eux pour de l'argent, vous pour flatter votre «bonne conscience»!
Ce qui est terrible, c'est que vous utilisez Diwan pour votre idéologie et peu importe les conséquences pour les enfants! Alors que de tous les enfants en Europe, les enfants de Bretagne sont ceux qui ont le moins accès à leur culture et leur identité, et cela dans une proportion sans équivalence!
Il est vraiment temps que les Bretons se libèrent des dictateurs de la pensée, ceux qui veulent «formater» le peuple! Et d'autant qu'ils sont au contact des enfants!
Stéphanie n'en est pas encore à votre stade, mais elle commence à prendre cette direction. Elle n'imagine pas la désapprobation que ses prises de positions sur les «migrants» et le «FN» succitent chez des gens qui soutiennent fortement Diwan mais qui n'apprécient pas le mélange des genres sur fond d'opportunisme...! Surtout que Diwan est un combat prioritaire en Bretagne qui méritent mieux que cela!
60 ans de gauchisme, on fait de la Bretagne le pays d'Europe le plus arriéré en matière de défense des droits de l'homme et en matière de Démocratie!
Espérons pour les enfants de Bretagne que votre attitude ne casse pas la dynamique de Diwan!
Même si je ne partage pas votre utilisation du mot «capitalisme», je suis d'accord avec votre remarque.
Mais il a peu de gens, à commencer par nos «bonnes âmes» qui se soucient de la déstabilisation dans les pays concernés réalisée par nos gouvernements et en particulier celui de Hollande!
Comme hier le monde était pour eux une horreur où vivaient des sous hommes qu'il fallait «civiliser», aujourd'hui ce même monde est toujours une horreur dont on doit d'extirper les êtres qui y vivent pour les accueillir chez nous et ainsi les sauver! Et ceux qui s'opposent à leur vision du monde sont qualifiés de «racistes» quand ce n'est pas d' «ennemis»!
Et le réalisme n'a nullement sa place dans leur logique : La population de l'Afrique doit augmenter de 700 millions en 25 ans, pas grave on va les accueillir en Europe, territoire 5 fois plus petit!
On se doit d'analyser la démarche qui amène à ces visions du monde particulièrement questionnables!
Les forces navales européennes en Méditerranée viennent de protester officiellement contre les ONG qui refusent de signaler la position des «boats people» en les accusant d'être directement informé par les trafiquants eux-mêmes et en dénonçant l'argent du «business charity» (argent perdu, quand ce sont les navires militaires qui procèdent au sauvetage).
Trafiquants et humanitaire sont main dans la main (chacun défendant son intérêt, souvent financier), sans compter les gouvernements qui déstabilisent les pays pour obtenir les matières premières et se permettent de faire la morale aux citoyens pour ensuite accueillir les migrants.
Même la mafia vient de se vanter que le «migrant» est un produit commercial plus rentable et pratiquement sans risque comparé à la drogue!
Il suffit de voir le silence des écologistes Bretons (idem pour les Français) sur la question de l'opération militaire au Mali destinée à sécuriser les approvisionnement en Uranium, ce qui est un secret de polichinelle en dehors de nos frontières hexagonales...
Sans même évoquer la Libye, pays vivant tranquillement en paix, mais dont les «bonnes âmes» n'aimaient pas la «gueule du Dictateur» tout comme nos gouvernements qui aimaient encore moins sa politique s'opposant frontalement à la «France-Afrique» (qu'ils avaient cru un temps modérer lors de la vente de Rafales, refusé par le gars en question...)
A l'évidence, supprimer une «sale gueule» est préférable à des milliers de morts de personnes et d'enfants! Surtout quand le Black-out des médias nous épargne la vue des conséquences de nos prétentions!
En espérant que Fanny ne censure pas... encore une fois!
Mais je ne me fais pas d'illusion!