En 1918, le Kurdistan était divisé et réparti dans quatre autre pays. La Turquie perpétrait le génocide arménien en 1915, avec 1,5 million d'Arméniens tués et disparus.
Mardi 17 janvier à 20 h 30, les associations Chlorofilm et Féa accueilleront le réalisateur Mikael Baudu avec son film «Kurdistan, rêver au printemps» et les deux photographes qu'il a suivis dans son périple à travers le Kurdistan.
Invité par les AKB (Amitiés Kurdes de Bretagne), il a filmé la réalité de la vie des Kurdes, dans des quartiers excentrés, dans des immenses camps de réfugiés, mais il a aussi rencontré des jeunes combattantes kurdes, et des universitaires qui appellent à une transformation en profondeur de la société kurde, à un «printemps kurde»...
En première partie, un film d'animation primé plusieurs fois, réalisé par la jeune Ornella Macchia d'origine italienne et arménienne, raconte l'histoire d'un homme qui, au marché couvert d'Averan, invite le passant dans son arrière boutique pour partager ses fruits et son histoire qui est aussi celle du génocide arménien...
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