Monsieur Richert,
Non content d’avoir trahi les Alsaciens en oeuvrant ouvertement à la disparition de l’Alsace et en n’entreprenant aucun recours au Conseil d’État pour vous y opposer alors que vous seul étiez fondé à en former un, voilà que vous êtes devenu le supplétif du gouvernement socialiste en proposant avec lui la tristement nommée taxe « Richert », un impôt de 600 millions d’euros, qui frappera durement les contribuables alsaciens, pour financer votre « Grand Est » qui devait être source d’économies, alors qu’il n’en sera rien.
Pas étonnant dans ces conditions que vous soyez hué dans votre propre camp et traité de traître, comme ce fut le cas à Brumath le 9 juillet dernier.
Pas étonnant non plus que la région « Hauts-de-France », à travers son président Xavier Bertrand (LR), le 20 juillet, une lettre très acerbe à votre endroit et se retire de l’Association des régions de France que vous prétendez aussi présider en raison d’une imposition que vous vous étiez engagé à ne pas augmenter durant votre campagne.
La pétition des Alsaciens réunis contre cette taxe dépasse d’ailleurs les 34.000 signatures :
La honte ne s’empare-t-elle donc pas de vous chaque jour un peu plus ?
Quel homme êtes-vous donc pour ne pas voir que vous faites totalement fausse route, que tout le monde finira par vous haïr et vous laisser tomber ?
Voilà que le député LR Laurent Furst lance une pétition pour la fusion des départements du Bas-Rhin et du Haut-Rhin avec le soutien du député Éric Straumann, président du Conseil départemental du Haut-Rhin. Ce n’est pas anodin, car cela va à l’encontre de vos desseins mortifères pour l’Alsace !
Monsieur Richert, vous n’êtes finalement qu’un bien triste sire, uniquement assoiffé de pouvoir, mais totalement indifférent au bien-être des Alsaciens qui sauront se souvenir de vos trahisons et du pantin que vous êtes devenu aux mains du Premier ministre Manuel Valls.
L’Alsace saura renaître sans vous,
Vive l’Alsace ,
Les Alsaciens Réunis
■«l’Association des Régions de France qui demande à l’Etat de créer une taxe dont le produit sera partagé entre les régions (sans qu’on en connaisse la clé de répartition)» - jacques.schleef -
Vous avez bien lu. Il s'agit bien d'un impôt central qui sera ensuite reventilé selon une clé de répartition inconnue. Sera-t-elle même rendue publique. Pas sûr!
Autrement dit, la Bretagne B4 pourra payer pour d'autres...
La révolte des Bonnets rouges en Bretagne, qui avait pour principal but d'éviter d'étouffer l'économie bretonne, n'aura servi à rien. La taxe poids lourds revient sous une autre modalité: la taxe régionale! Mais cette fois-ci sans les portiques routiers!
Ah, au fait, c'était quoi la finalité des grandes régions? Faire des économies... d'échelle, c'est bien çà, n'est-ce-pas ?
Ar gouarnamant gall, me lâr deoc'h, pebezh lampon!
la dette publique française se serait élevée, fin 2008, à 21,4 milliards d’euros au lieu de 1327,1 milliards si une telle loi n’était pas passée,
et qu’en 2015 elle a atteint les 96,9% du PIB en Janvier pour atteindre 2 103,2 milliards d’euros
Avec l’Europe, la loi Pompidou-Rothschild a laissé place aux traités de Maastricht et de Lisbonne, l’article 123 de ce dernier étant on ne peut plus clair
En savoir plus sur Voir le site
image: Voir le site
dette-intêrets-illegitime
Le véritable problème de la France, c’est cette dette qui n’a pu être mise en place que grâce à Georges Pompidou, cela suite à la démission un peut forcée de Charles De Gaulle.