France Inter a consacré un bref temps d'antenne au problème, mais on y apprend les sommes colossales investies par l'État pour «nettoyer» les plages.
«Pollution ultra toxique en Bretagne qu'on refuse toujours de regarder en face» : 50 000 tonnes d'algues vertes ramassées par an, avec un milliard d'euros dépensé par la Région. L'hydrogène sulfuré peut tuer en quelques secondes seulement... Et l'on ne traite pas les causes.
Le cavalier du cheval mort sur la grève a eu mille peines à faire entendre sa voix, à cause des services vétérinaires, des autorités sanitaires, «une plaie pour obtenir l'autopsie». Ne vaudrait-il pas mieux traiter les causes avant d'en traiter les effets ?
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