Les réfugiés sont plus ou moins bien accueillis. En Finistère, les CADA, devenus COELIA, créés à l'initiative du grand Indigné Stéphane Hessel rendent leur quotidien plus vivable à de nombreux réfugiés à Brest, Quimper et Quimperlé. Mais après deux ans, que deviennent-ils ?
Démarches en Préfecture, soutien des bénévoles de nombreuses associations, ... ou la rue, et la clandestinité. Des enfants, des adolescents sont en danger sur notre territoire, et nous n'avons que peu de politiques concertées, intelligentes, soucieuses du bien être et de l'accueil de ces populations. On nous sert de «l'appel d'air», à longueur de temps, la menace islamiste, le manque de travail...
A Calais, la situation est pire. Mais il est temps de mieux organiser, de mieux fédérer les énergies et les femmes et les hommes de bonne volonté, à l'exemple de Yolande Moreau. Qui donnera le morceau de sucre ?
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