Rencontre sur Hélène Cadou à Assérac

Agenda publié le 30/10/15 10:33 dans Littérature par Marie-Josée Christien pour Marie-Josée Christien

«Des Sources et des Livres» organisent une rencontre consacrée à la poète Hélène CADOU, décédée en 2014, auteur d'une importante oeuvre poétique et lauréate du prix Verlaine en 1990. Elle fut l'épouse du poète René Guy Cadou.

Le samedi 7 novembre à 15 heures

au Manoir de Faugaret

route de Pen Bé à Assérac

Conférences de Jean-Claude A. Coiffard et Jean-Marie Gilory

L'entrée est libre.

Jean-Claude A. Coiffard né en 1933. Nantais. Membre du Comité de rédaction de la revue Les cahiers de Rochefort, membre de l'association Poésie sur tout, rédacteur de la revue C'est-à-dire. Auteur de nombreux recueils de poésie, de plusieurs publications dans des revues françaises et étrangères. Conférencier, il a rédigé un bon nombre d'anthologies : Mauriac, Grall, Lamennais, Le Quintrec…, et a aussi animé l'émission de poésie Rivages. En 2002 il a écrit un essai intitulé Manoll Cadou, une amitié en plein c½ur. Le numéro 48 de la revue Chiendent aux Éditions du petit véhicule lui est consacré. L'académie littéraire de Bretagne et des Pays de la Loire lui a décerné en mai 2015 le Prix Yves Cosson de poésie pour l'ensemble de son ½uvre.

Jean-Marie Gilory né en 1941 à Tréhiguier, réside en Loire-Atlantique. Mousse à 14 ans, il devient capitaine au long cours à 27 puis administrateur des affaires maritimes. Grand admirateur de Saint-John Perse, il n'a lui-même jamais cessé d'écrire. Il est l'auteur de nombreux ouvrages : recueils de poésie, de nouvelles et d'aphorismes. En 2014 il est récompensé par le prix Écume de mers pour Les Songeries d'un rêveur insulaire. Il est par ailleurs rédacteur en chef de la revue de poésie contemporaine «7 à dire» et de «Sac à mots éditions».


Vos commentaires :
bruno le gras
Vendredi 27 septembre 2024
Hélène CADOU était une poétesse et non une poète!
la langue française est si belle qu'il serait dommage de ne pas l'utiliser correctement, ce me semble; d'autant plus qu'elle est dorénavant si malmenée dans les médias par ceux dont on pourrait s'attendre à ce qu'ils la défendent et la promeuvent ce qui bien entendu peut se faire tout en usant du breton.

Marie-Josée Christien
Vendredi 27 septembre 2024
Pour Bruno Le Gras,
Que les noms de métiers se déclinent au féminin, soit ! Mais «poète» n'est pas un métier. En outre, «poétesse» a une connotation désuète et péjorative qui n'en fait pas le pendant féminin de «poète».
J'ai mené une enquête en 2009 auprès de femmes «poètes» pour l'ouvrage «Femmes en littérature» que j'ai dirigé pour les éditions Spered Gouez. Le mot «poétesse» faisait l'unanimité contre lui.

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