Raymond Le Lann évolue pieds nus sur le plancher de la salle Carnot : comment danser le kas-a-barh pour les nuls ?
Humour, précision, décontraction : ce sont peut-être les mots qui définissent le mieux l'ambiance de la salle Carnot l'après-midi. Une centaine de danseurs suivent les indications du maître, regarder sa cavalière dans les yeux pour lui demander ensuite combien de tracteurs elle a, bien décomposer, aller un peu en arrière. Danse qui semble facile, le kas a barh est très subtil et peut passer à côté de l'objectif, se déplacer de façon harmonieuse et faire «voler» sa cavalière, ou son cavalier, après tout on peut échanger les rôles, non ?
17h00, changement de professeurs et d'élèves. Initiation à la muñera avec des danseurs galiciens. Plus sportif, les bras en l'air, des sautés, et deux rythmes différents. À voir le sourire des danseurs et des danseuses, on peut se dire que ce type d'activité entraîne aussi convivialité, échanges et joie de vivre !
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