Une avant-première à Carhaix ce jeudi, au cinéma Le Grand Bleu

Communiqué de presse publié le 1/06/15 12:28 dans Cultures par Fanny Chauffin pour Fanny Chauffin
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Soazig Daniellou

Soazig Daniellou poursuit sa route de cinéaste et de documentariste : elle propose ici un portrait de quatre familles de l'Emsav, bien connues du mouvement breton.

Ils s'appellent Denez, Louarn, Kervella et Huon. Leurs parents ont décidé dans les années 1950 de parler breton à leurs enfants, quels que soient les lieux où ils vivaient. Ils organisent des camps de vacances l'été, enregistrent des histoires pour les autres enfants, inventent la langue de demain en famille.

Si les écoles en breton existent aujourd'hui, c'est sans nul doute en grande partie à cause de cette initiative qu'ils avaient prise à une époque où la langue était abandonnée par une grande partie de la population.

Le film est ponctué de témoignages, de photos d'époque, et de dessins originaux animés créés par Ana Duval-Guénnoc.

Projection en avant-première ce jeudi 4 juin au cinéma le Grand Bleu Carhaix, près du centre Glenmor, à 20h30. En présence de la réalisatrice.


Vos commentaires :
Alan meur
Jeudi 21 novembre 2024
super des familles qui embauchent leurs propres enfants ou cousins dans des organismes ou associations dont ils ou elles sont présidentes...
dans d'autres pays, ces comportements ont un nom...

Une réponse
Jeudi 21 novembre 2024
Népotisme, c'est la réponse ? Cela se pratique effectivement dans de nombreux pays se revendiquant même démocratiques.

Philippe Guilloux
Jeudi 21 novembre 2024
Alan Meur : oui ca a aussi un nom en France et si vous ne le savez pas, c'est très couramment employé par les députés, sénateurs, maires... mais bien évidemment, comme souvent, les bretons doivent à ce niveau être plus blancs que blancs.
D'autre part, comme il s'agit d'une avant-première, il me semble intéressant de savoir comment avez vous pu voir le film et savoir de quoi il parle ? Si ca n'est pas le cas, votre commentaire relève donc du procès d'intention.

Jean Albert
Jeudi 21 novembre 2024
Le sujet du documentaire (que je n'ai pas vu) me parait intéressant sociologiquement. Mon commentaire ci dessous est de portée générale et ne vise nullement les familles objet du documentaires mais vise les 3 premiers commentaires : ils relèvent à mon avis d'un débat malsain. Alan Meur doit apporter les preuves de ce qu'il avance et celà n'est pas lié au fait d'avoir vu ou non le documentaire comme veut le penser Philippe Guilloux. Maintenant s'il s'agit d'entreprises totalement privées et soumises à la loi du marché, je ne vois pas ce qui serait moralement ou pénalement condamnable. Pour Philippe Guilloux : comparer avec les élus qui peuvent être condamnés pour prise illègale d'intéret est déjà insinuer qu'il faudrait se poser des questions : plutot que d'énoncer que les «bretons» sont sommés de laver plus blancs, mieux vaudrait énoncer que les «bretons» se doivent laver ausi, oui aussi blanc.

Philippe Guilloux
Jeudi 21 novembre 2024
un film intéressant, une mise en image agréable, notamment avec l'utilisation des dessins. Et bien évidemment, rien à voir avec les insinuations de certains dans les commentaires ci-dessus qui relève de la malveillance, et pas par rapport au film.

Une réponse
Jeudi 21 novembre 2024
@ Jean Albert : Ça, c'est drôle ! L'un dit 3, l'autre dit 2, le dernier dira 1. Car il ne s'agit que d'un seul commentaire que vous jugez malsain : le premier. Il fallait lire, sans médire ni juger. Décidement, la démocratie...

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